Couleur du ciel

photographie proposée : 1) Composition de l’image Le cadrage est un cadrage vertical mettant en avant une femme photographiée en plan rapproché poitrine. Le plan est donc accentué sur le visage et ses cheveux qui virevoltent. Le choix de la couleur Noir et Blanc est mise en valeur par une bonne gestion de la lumière, très certainement réalisé dans un studio photo. Les lignes directrices représentées par les cheveux donnent un effet aérien : ils vont dans tous les sens. La règle des tiers

L’arrière-plan est composé d’un ciel et d’un champ. Les couleurs sont sombres et se confondent presque. Le champ est lui aussi fissuré à plusieurs endroits, il est désertique. 2.2-Analyse globale Le tableau est composé de deux plans : au 1er plan, le personnage et au 2eme plan, le ciel et le champ. Le personnage est au centre il prend la plupart de la place sur le tableau. On voit : * des lignes horizontales : la ligne d’horizon (qui sépare la terre du ciel) et les 4 lignes du corset ;

planètes de notre système solaire portent toutes un nom de Dieu ou de Déesse de la mythologie romaine et/ou grecque. Le soleil et la lune Le soleil vient d’Hélios. Ce dernier a été noyé et les Dieux compatissants donnèrent son nom au «  Feu sacré du Ciel ». Sa sœur, Séléné se suicida en apprenant la mort de son frère. Encore une fois, les Dieux sont intervenus pour la changer en astre, c’est à dire, la Lune de manière a ce que le frère et la sœur puissent se retrouver lors des éclipses. Mercure

dimensions 204cmx69cm. Particularité : Cette œuvre est divisée en trois parties (latérales, centrale, et la prédelle), on l’appelle un tryptique. C’est une peinture expressionniste car elle évoque des sentiments du peintre Palette, couleurs employées : Dans ce tableau, les couleurs utilisées sont des nuances de rouge, représentant la mort et le sang et de brun représentant la terre des tranchées, quotidien des soldats. On voit dans ce tableau la boue, la mort donc la guerre. On distingue également un point

l'oeuvre, mais il y a aussi d'autres éléments qui attirent notre attention. En ce qui est des couleurs, je trouve très intéressant le contraste de couleurs qui est présent dans cette oeuvre. En effet, dans le trois quart de l'oeuvre, ce sont des couleurs assez chaudes, donc des couleurs assez foncées, des tons de bruns, verts et orange qui sont présents, tandis que dans le coin en haut à droite, il y a des couleurs beaucoup plus , froides et clairs comme le blanc et le bleu, ce qui fait un contraste assez

soudain se lève et tes yeux changent L'été taille la nue au tablier des anges Le ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blés Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure Mère des Sept douleurs ô lumière mouillée Sept glaives ont percé le prisme des couleurs Le jour est plus poignant qui point entre les pleurs L'iris troué de noir plus

champ et du ciel. Les couleurs sont sombres et se confondent presque. Le champ est lui-aussi fendu à plusieurs endroits, il est désertique. IV. Analyse de l’œuvre (sa composition, sa structure, l’espace, la mumière, la texture…) : Le tableau est composé de deux plans : au premier plan, Frida, et au second le champ et le ciel. Le personnage est au centre, il prend presque toute la place. Il y a des lignes horizontales au second plan, avec la ligne d’horizon (démarcation entre le ciel et le champ)

De la fumée  Le spectre de la lumière blanche… … est continu et s’étale du rouge au violet  … contient des raies noires sur un fond coloré  … contient des raies colorées sur un fond noir  … contient toutes les couleurs de l’arc-en-ciel  … est celui d’une source polychromatique  … est celui d’une source monochromatique  Rouge jaune vert bleu violet Plus la température de la source lumineuse est grande, plus le spectre s’enrichit … T augmente

Lumière et couleurs "Nous, nous voulions voir la réalité, nue et claire, presque sans art", Otto Dix[2] Les trois panneaux principaux du triptyque du peintre allemand sont éclairés d’une lumière blafarde, qui semble presque « sélective ». Elle provient du coin supérieur gauche de la partie centrale et atteint les deux panneaux extérieurs, créant ainsi un lien entre les trois moments de la guerre que l’artiste évoque. En temps « normal », une lumière blanche dont la source se situe dans le ciel ou tout

passionnée du sujet, est qualifiée de ténèbres, d’ « espace noir », de « noire immensité », « de grande ombre douce tombée du ciel », qui grandit et s’épaissit, qui « noie la ville, comme une onde insaisissable et impénétrable, cache, efface, détruit les couleurs et les formes, étreint les maisons, les êtres et les monuments de son imperceptible toucher. » On le voit, la couleur qui prédomine dans cette première description est le noir qui renvoie à la qualité propre à la nuit, à savoir l’obscurité,