Cour administrative d'appel de Nancy

international public 1.3.2.3. Un Droit international spécial: le Droit communautaire / de l'UE 1.3.2.4. Vue d'ensemble 1.3.3. Les sources de Droit à caractère indicatif 1.3.3.1. Le système tripolaire: textes, jurisprudence, doctrine 1.3.3.2. Doctrine administrative et expertise technique et scientifique 1.3.3.3. Les avis et recommandations 1.3.3.4. La pratique institutionnalisée: coutume, usages et bonnes pratiques 1.3.3.5. Les normes et spécififications de type normatif 1.3.3.5.1. Les normes stricto sensu

partie de l'action administrative, qui s'est développée en France depuis deux siècles. Outre la connaissance de ses sources et de ses mécanismes de contrôle par la justice administrative, la discipline entend répondre à trois questions fondamentales: qui, quoi, comment? Quelles sont les institutions administratives (État, collectivités territoriales, établissements publics)? Quelles sont leurs missions (police, service public)? Par quels procédés juridiques l'activité administrative s'exerce-t-elle

partie de l'action administrative, qui s'est développée en France depuis deux siècles. Outre la connaissance de ses sources et de ses mécanismes de contrôle par la justice administrative, la discipline entend répondre à trois questions fondamentales: qui, quoi, comment? Quelles sont les institutions administratives (État, collectivités territoriales, établissements publics)? Quelles sont leurs missions (police, service public)? Par quels procédés juridiques l'activité administrative s'exerce-t-elle

lui. Même la Cour de cassation n’exerce pas de contrôle car elle considère que l’interprétation des contrats est une question de fait qui relève du pouvoir souverain des juges du fond. Le seul contrôle qu’elle exerce est lorsque l’on reproche au juge du fond d’avoir dénaturé des clauses claires et précises. Sur le sens donné à un contrat, elle n’exerce donc pas son contrôle, hormis si l’une des parties estime que le contrat était clair et n’avait pas à être interprété, dès lors la Cour de Cassation

très difficilement. Ex : le Président de la République (PDR, actuellement Monsieur Jacques Chirac) fait des décrets comme les maires, pourtant l’un est constitutionnel et l’autre administratif. La distinction des fonctions gouvernementales et administratives est très relative mais non pour autant dépourvue de portée juridique. En effet, on verra que le juge administratif (JA) se déclare incompétent pour connaître de certains actes : -ceux concernant les rapports entre exécutif et législatif (par exemple

défaut, la responsabilité civile de ce dernier ne pourrait pas être retenue. En l’absence de cas de jurisprudence au Maroc, nous citons le cas français où les juges de fond se sont ralliés assez vite à cette position doctrinale(9). La position de la Cour de Cassation a été plus lente à se dégager. Dans ses premiers arrêts, la Chambre commerciale a pu retenir la responsabilité civile d’un commissaire aux comptes sans décider si l’intéressé était lié par une obligation de moyens ou une obligation de

qui ont forgé la France (comme la poste dans presque chaque villes/villages). Idées : D'abord le droit administratif est en pagaille, il y a une période de changement ce qui créé une instabilité dans ce droit sauf en matière d'organisation administrative && de police admin. De plus, le droit européen tient en tenaille ce droit = les juridictions subissent la pression du droit européen && de la convention UE. Ensuite, plusieurs facteurs interviennent : l'admin, le juge admin && l'administré (citoyen

séparés des fonctions administratives. En textualiser se principe … c’est mis a l’abri du juge judiciaire. Par ailleurs, c’est le régime Napoléonnier est le plus décisif au dvlp des administrations/ pour la juridiction administration = institutionnalise le Droit comme on le connait today. Les plaintes étaient traité de manière aléatoire. C’est la Constit. du 22 Frimaire an VIII = crée la juridiction en Droit administratif + Conseil d’Etat (juridiction suprême administrative). Le 28 plûviose an VIII

imposer à un adopté simple majeur une adjonction de nom ? Dans un premier temps, La Cour de cassation a précisé en se fondant sur l’article 363 al 1 que l’adopté ne peut pas conserver son nom d’origine, sans adjonction, et qu’il n’a pas à consentir à l’adjonction même s’il est majeur (Cass. 1re civ., 22 févr. 2005, Dr famille 2005, comm. 72, obs. P. Murat). Elle y cassait la décision d'une cour d'appel qui avait fait droit à la demande des adoptés, lesquels, majeurs, n'avaient consenti à leur

royauté. Sous la révolution il y a continuité de cette administration, celle-ci est toujours soumise à des règles exorbitantes. Il y a cependant une spécificité des règles applicables à l’administratif et séparation des autorités judiciaires et administratives. Au XIXème siècle avant la IIIème République, il y a une affirmation d’un exorbitant pouvoir en faveur de l’administration et une structuration de juridictions spécifiques (tribunaux spéciaux, juge had oc). Il faut différencier le droit administratif