Cour De Cassation 3 Mai 1995

tribunaux correctionnels pour les infractions les plus graves. Ce jury populaire sera mis en place pour les .. réduire la pratique de la correctionnalisation: réduit la qualification criminelle en qualification correctionnel pour ne pas passer par la cour d'assise. Elle siège par session. La pratique de la correctionnalisation, délai réduit pour le passage en audience du prévenu avec peine élevée. Réforme de la justice pénale des mineurs: avec un code. Cette justice est basée sur l'ordonnance de

Faits : La société SA PIKASCEAU (cédant) cède à sa banque ( bénéficiaire) les factures qu'elle a établies pour obtenir le paiement de ses créances qu'elle détient sur trois de ses clientes. Le préposé de la société cédante signe a cet effet 3 bordereaux Dailly puisqu'il mentione sur acte les mentions suivantes ' acte de cession de créance professionnelle ' 'soumis aux dispositions des articles L313-23 à l'313-34' 1)Le premier bordereau émis désigne les créances cédées sur la société QUANDINSKY

la cause du contrat ne réside pas dans l'utilisation que compte faire l'acquéreur de la chose vendue, mais dans le transfert de propriété de cette chose, et qu'en prenant en compte, pour déterminer cette cause, le prétendu mobile de l'acquéreur, la cour d'appel aurait violé les articles 1131, 1133 et 1589 du Code civil ; et alors, d'autre part, qu'en déclarant nulle pour cause illicite la vente d'objets banals au prétexte que ceux-ci pourraient servir à escroquer des tiers, bien qu'il soit nécessaire

grièvement blessé, il a assigné la SNCF en réparation de son préjudice sur le fondement de l’article 1147 du Code civil et subsidiairement, sur celui des articles 1382 et 1384 al. 1er, du même Code ; que l’arrêt confirmatif attaqué (Paris, 30 mai 1995) l’é débouté de son action ; Sur le moyen unique, pris en sa première branche : Attendu que M. X fait grief à l’arrêt de ne pas avoir retenu l’obligation contractuelle de sécurité pesant sur la SNCF à l’égard des voyageurs au motif qu’il ne démontrait

Cassation 20 janvier 2010 L'existence d'une relation de travail salariée ne dépend ni de la volonté exprimée par les parties, ni de la dénomination qu'elles ont donné à leur convention, mais des conditions de fait dans lesquelles est exercée l'activité des travailleurs, et l'engagement religieux d'une personne n'est susceptible d'exclure l'existence d'un contrat de travail que pour les activités qu'elle accomplit pour le compte et au bénéfice d'une congrégation ou d'une association cultuelle légalement

comptables belges et normes comptables internationales IAS/IFRS : principales divergences (hors IAS 32/39) * La comptabilité complète des grandes associations * Les obligations comptables des associations   Par application de l'article 307, § 3, du Code des Impôts sur les Revenus (C.I.R.), les comptes annuels sont partie intégrante de la déclaration fiscale et doivent y être joints. Dans la mesure où la déclaration fait normalement foi des revenus imposables jusqu'à preuve du contraire, on

réglé par le Droit français Chronologiquement c’est une décision rendue par la Cour Européenne des droits de l’homme, le 25 mars 1992, qui a unifié la jurisprudence française en matière de transsexualisme. Dès lors, il convient d’étudier cette jurisprudence avant et après 1992. La jurisprudence avant 1992 Avant 1992, même après expertise médicale posant un diagnostic de transsexualisme véritable, la Cour de cassation refusait la demande de changement de la mention de sexe sur l’acte de naissance

obligatoire du contrat ce qui explique ensuite possibilité de contrainte la personne non exécutante. Un engagement oral entre deux parties est un contrat la difficulté se situe au niveau de la preuve. Document 3 Passage important attendu que et mais attendu que à la fin de l’arrêt. La cour d’appel recherche ici la cohérence du comportement de la société. Le pouvoir de l’accord de la volonté dans la création de l’obligation. Chaque personne et libre et responsable chaque personne ne supporte

père et mère du fait de leur enfant mineur 1- Cass. civ. 2ème, 19 février 1997, JCP 1997. ii. 22848, concl. KESSOUS et note G. VINEY ; D. 1997. Somm. 290, obs. D. MAZEAUD. 2- Cass. crim. 8 février 2005, JCP. 2005. I. 149, n° 5, obs. G. VINEY. 3- Cass. Ass. plén. 13 décembre 2002 (2 arrêts) : D. 2003. 231, obs. P. JOURDAIN. V. également sur le sujet : La responsabilité du fait d’autrui, Actualité et évolutions, Colloque organisé par le Centre de droit de la responsabilité de l’Université

SEANCE 6 : L’IDENTIFICATION DES PERSONNES PHYSIQUES Décision n°1 : Structure : arrêt de rejet de la cour de cassation par la première chambre civile en date du 20 février 1996 qui porte sur la légitimité du changement de prénoms d’une personne. Fiche d’arrêt : Cour de cassation, première chambre civile, arrêt de rejet en date du 20 février 1996. En l’espèce, Melle Balaguer a pour prénoms « Edith-Catherine » Melle Balaguer saisit le tribunal de grande instance