Cour De Cassation Chambre Mixte 28 Novembre 2008

les juridiction est celle qui répartie d’une part les juridiction judiciaire et d’autre part les juridictions administratives. Il y a donc l’ordre judiciaire et l’ordre administratif. Au sommet de ses deux ordres se trouve la cour suprême, pour le judicaire : la cour de cassation et pour l’administratif : c’est le conseil d’état. Parfois le contentieux est difficile, on ne sait pas a quel domaine s’adresser. Le tribunal des conflits va aider pour se diriger. Pour le judiciaire : on l’utilise lorsque

entre les excès d’une liberté contractuelle débridée, non encadrée, et ceux liés à un encadrement trop rigide du contrat pour protéger une partie. Cet objectif d’équilibre est poursuivit par la réforme du droit des contrats en cours depuis 10 ans. En 2008 les choses semblent s’être accélérées, il y a eu un projet de réforme. Cette réforme ne sera qu’une codification des évolutions jurisprudentielles depuis 1804. Partie I – LA FORMATION DU CONTRAT Pour produire effet, un contrat doit être selon

nommés. Peut il exister d’autre quasi contrat de création prétorienne ? (Qui sont prévu par la loi) Dans ce cas il y aurait une autre catégorie de contrat innomé. Cette question largement débattue a été relancée à la suite des deux arrêts de la chambre mixte de la Cass du 6 septembre 2002 qui ont considérablement infléchie la définition classique de quasi contrat. Certains juges ont constaté que la notion de quasi contrat pouvait très bien s’appliquer à l’acte d’assistance où a l’apparence. Acte

UNJF - Tous droits réservés (parfois Le ministère public • Peines privatives de liberté • Amendes et autres peines • Tribunal de police Juridiction compétente (contraventions), juge de proximité • Tribunal (délits) correctionnel • Cour d'assises (crimes) Ces rapports se réduisent à trois principes essentiels. A. Unité de la faute pénale et de la faute civile Un comportement constitutif d'une infraction pénale (crime, délit ou contravention) constitue en même temps une faute

densité que la réalité de la personnalité juridique reconnue aux êtres humains. Pour les autres, la personnalité des sociétés serait une fiction. Elle ne serait qu’un mécanisme justifiant la situation juridique reconnue aux collectivités. La Cour de cassation paraît avoir consacré la thèse de la réalité des personnes morales, en énonçant que « la personnalité civile n’est pas une création de la loi, qu’elle appartient en principe à tout groupement pourvu d’une possibilité d’expression collective pour

mondialisation La mobilité des couples a conduit inévitablement à comparer les systèmes respectifs. Existe une convention internationale. La convention de La Haye a voulu régler la loi applicable aux régimes matrimoniaux. La France l’a ratifiée par la loi du 28 Octobre 1997. Elle intégrée dans le Code Civil aux articles 1397-2 et suivant. Cette convention permet aux époux lorsqu’il y a un élément d’extranéité de changer librement de régime matrimonial. Ceci a obligé le droit français interne a évolué. On a

parfois, on interroge le conseil constitutionnel pour savoir si une institution ou non atteint cette liberté matrimoniale. Depuis le 23 juin 2008 il est possible de recourir à la Question Prioritaire de Constitutionnalité, il s’agit de l’article 61-1 de la constitution. Il est donc possible d’invoquer l’inconstitutionnalité d’une disposition législative. Le 28 janvier 2011, la QPC a été posée au conseil constitutionnel sur le mariage homosexuel pour savoir si les articles du code civil étaient contraires

fermement condamnée par l’Eglise. La fidélité, qui est l’essence du mariage catholique, se trouve dépénalisée en France par la loi du 11 juillet 1975. Enfin, alors que la religion condamne les relations homosexuelles, le droit français, par la loi du 15 novembre 1999, crée le pacte civil de solidarité organisant la vie commune de couples de sexes différents ou de même sexe. Dans le but d’assurer la protection de la laïcité, le droit va parfois légiférer sur des questions religieuses. C’est ainsi que les

René TEULADE, Richard TUHEIAVA, André VANTOMME et Richard YUNG, sénateurs, LE CONSEILCONSTITUTIONNEL, Vu la Constitution, dans sa rédaction résultant de la loi constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008 de modernisation des institutions de la Ve République ; Vu l'ordonnance n° 58-1067 du 7 novembre 1958 modifiée portant loi organique sur le Conseil constitutionnel ; Vu la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 modifiée relative aux lois de finances ; Vu la loi organique relative

revanche, si on considère que le cautionnement hypothécaire est une sureté réelle, donc une hypothèque, alors c’est l’article 1422 qui s’applique : donc, il faut le consentement du conjoint car il y a co-gestion. Arrêt de la chambre Mixte du 2 décembre 2005 : La Cour de Cassation dit : « le cautionnement hypothécaire n’est pas un cautionnement, c’est une sureté réelle ». Et le législateur va prendre le relais avec l’ordonnance du 23 mars 2006, et va ajouter un alinéa 2 à l’article 1422. Donc c’est soumis