Cour De Cassation Civ 1ère 4 Juillet 2006 Principe De Solidarité Dettes Ménagères

sexe différent ou de même sexe, qui vivent en couple ». Depuis 1999, le Code civil donne une définition précise du concubinage. Une jurisprudence réticente rechignait à prendre en compte que cette triste réalité qu’est l’essor du sida, la Cour de cassation ayant rappelé que : « conjoint en union libre », doit être compris comme ayant entendu avantager deux personnes ayant décidé de vivre comme des époux, sans pour autant s'unir par le mariage, ce qui ne peut concerner qu'un couple constitué d'un

Reg matrimoniaux Introduction : Le droit des RGM appelle l'imprécision sur sa nature , c'est une branche du DC et replacé dans le DC il constitue une matière spécifique , une matière secondaire , statutaire et sociologique . Ce sont les 4 caractéristiques de cette matière qui en font sa nature juridique . Para 1 : Une matière spécifique . Le mot matrimoniaux porte 2 enseignement , il porte sur le mariage ( fondation de la famille ) mais également sur une pluralité de règles de droits et de statut

situation de pur fait qui échappe largement au droit. Il s’agit du concubinage. D’autre part, elle peut également être dotée d’un statut légal, lequel suppose, pour pouvoir s’appliquer, l’établissement d’une convention privée. C’est le pacte civil de solidarité. Celui-ci est défini à l’article 515-1 du Code civil comme un contrat conclu par deux personnes physiques majeures, de sexe différent ou de même sexe, pour organiser leur vie commune. Le pacs se caractérise par sa nature hybride: la loi énonce

DROIT DE LA FAMILLE Odile ROY Première interrogation le 8 Mars à 16h50 (au bout de 4 séances de TD) Partiel = coefficient 3 Apporter le code civil pour les TD. Code civil autorisé pour toutes les interrogations. La famille au sens juridique est une famille instituée par une série de règles. Le droit de la famille n’est pas figé, il est en relation avec l’évolution des mœurs. Le mariage pour tous est une bonne illustration de l’évolution du droit de la famille. Il n’y a pas de vérité juridique

déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 et l'article 12 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme. La liberté matrimoniale implique de pouvoir se marier, comme de ne pas se marier. 1. La liberté de se marier. La liberté est en principe totale (elle est d’ordre public). Ainsi, toute clause ou condition qui interdirait de se marier devrait être nulle. Pourtant, la jurisprudence a reconnu que certaines « libéralités à charge » (ex. donation) pouvaient être subordonnées à une clause

Droit de la Famille Introduction préiminaire sur l'etre humain : Droit des personnes A) L'apparition de la vie La personnalité juridique est en principe acquise à la naissance , du coup avant l'enfant n'a pas de personnalité distincte de celle de sa mère. Toute la difficulté tient à la considération ou non du fœtus comme sujet de droit. La personne doit faire l'objet d'une déclaration qui sera réaliser dans les 3 jours qui suivent la naissance (art 55). sans cela , l'officier d'état

personne qui a subit une opération chirurgicale. La nullité du mariage peut être prononcé lorsque l’époux découvre que son époux à changé de sexe. Paragraphe 2 : les conditions liées à l’âge Art. 144 : fixe à l’âge de 18 ans le seuil minimum (2006) Permet de lutter contre les mariages forcés Art. 145 : le mariage peut quand même avoir lieu pour motif grave (Président dit oui) Cas pour la femme enceinte. Paragraphe 3 : conditions sur la santé des époux Le droit français rejette

alimentaire. B. La composition de la famille ou les liens familiaux Les liens familiaux résultent en principe des liens du sang, c'est-à-dire des liens de parenté. Il existe cependant d’autres liens. 1. Les liens familiaux résultant des liens du sang Le lien de parenté est le lien qui unit deux personnes qui descendent l’une de l’autre ou d’un auteur commun. Jusqu’en juillet 2005, on parlait de parenté légitime ou naturelle. La parenté se divise en deux branches : paternelle et maternelle

Civil a pris le principe de liberté des conventions matrimoniales qui fait place a un pluralisme. Il existe donc une diversité de régimes matrimoniaux entres lesquels les époux vont pouvoir effectuer un choix. Ce principe de liberté des conventions matrimoniales il a été possible de l’admettre car ce sont des rapports pécuniaires qui sont en cause à la différence des conséquences personnelles attachées au mariage qui elles ne peuvent pas faire l’objet de conventions. Le principe de la liberté se

sont posés, la vie/mort, la sexualité, homosexualité… Autour de ces questions interviennent les lois bioéthiques, apparues en France avec les lois du 29 juillet 1994, le droit pose les bases de ces diverses interrogations. Autre réforme bioéthique, celle du 6 aout 2004, reconduisant la quasi-totalité des dispositions posées en 1994. Le 7 juillet 2011, dernière réforme bioéthique. Il n’y a pas eu de grande réforme ; ne dégageant aucun grand consensus, notamment sur le problème des mères porteuses