Courbe De Laffer

comportent en homo economicus et comparent les coûts et les avantages du fait d'aller travailler: ici, avec les revenus de transfert, rester chez soi devient nettement plus interessant pour beaucoup de personnes.→ « Trop d'impôts tue l'impôt a Courbe de Laffer. A un certain seuil d'imposition, les individus pratiquent soit une activité illégale, ce qui échappe au calcul de l'économie réelle (PIB) soit l'impôt devient désincitatif de toute activité.· Bernard Maris : Les patrons français ont développé

de ralentir la croissance économique et ici encore faire défaut aux recettes de ce même Etat. Mais l’Etat peut aussi chercher à combler le manque de recette dans les impôts. Cependant «  trop d’impôt tue l’impôt » (document 2 + référence à la courbe de Laffer). Dans d’autre terme, en mettant en place des charges fiscales trop lourdes et des impôts trop élevés, les entreprises et les ménages vont « voter avec leurs pieds ». Ces dernier vont respectivement ; délocaliser leurs entreprises, déménager

travail lui rapporte (c'est-à-dire le revenu) et ce que le travail lui coûte, car ce dernier l’oblige à renoncer aux loisirs. Un facteur décisif intervient dans l’arbitrage entre travail supplémentaire et loisirs : la fiscalité. En l’occurrence, Arthur LAFFER a montré que lorsque le taux de taxation du travail atteint un seuil critique, les individus préfèrent renoncer à travailler plutôt que de voir leurs revenus supplémentaires amputés (“Trop d’impôt tue l’impôt”). À partir du maximum, les contribuables

Inflation et Chômage 2 outils = Politique Monétaire et Politique Budgétaire A Le principe de TINBERGEN (1952) Chaque problème réclame un outil, et un seul. Pour l’inflation, la politique monétaire et pour le chômage, la politique budgétaire. B La courbe de PHILLIPS (1958) Il y a arbitrage entre inflation et chômage. Soit il y a de l’inflation et pas de chômage, soit il y a du chômage et pas d’inflation. C’est une remise en cause du principe de TINBERGEN. Mais dans les années 1970, il y a eu coexistence

de même l’ensemble du système fiscal d’un pays, se détruit lui-même en dépassant un certain niveau des taux de prélèvement ». L’économiste américain Arthur Laffer illustre cette proposition par une courbe qui porte son nom. Cet auteur introduit une relation entre l’augmentation des taux d’imposition et les niveaux de recettes fiscales. Laffer démontre que l’accroissement des taux d’imposition, qui frappent les revenus du travail et du capital, se traduit paradoxalement, au-delà d’un certain seuil

invisible ». Pour les économistes libéraux, la crise de 1975 est due à l'Etat : par ses prélèvements, il réduit la production. L'excès de prélèvements obligatoires exercerait un effet dissuasif sur l'activité des entreprises et des ménages (courbe de Laffer). En effet, une taxation trop lourde des bénéfices des entreprises découragerait l'investissement, l'imposition des, revenus issus de placements financiers serait peu favorable à l'épargne... De même, des prélèvements obligatoires trop élevés

économique CONTRE (libéraux) - désincitation au travail ; - effet d’éviction sur les entreprises privées - moindre compétitivité prix, en raison des coûts salariaux importants - fuite des capitaux - fuite des cerveaux - « trop d’impôt tue l’impôt » (courbe de Laffer, cf : cours sur les courants de pensée) ; - surconsommation coûteuse (théorie de l’alea moral et du passager clandestin*) 4 NB : - alea moral : théorie issue du métier de l’assurance : phénomène que l’on rencontre quand un assuré, du fait

La loi de la demande correspond à Ceteris paribus, la quantité demandée d’un bien baisse lorsque son prix augmente La courbe de demande représente la relation entre Le prix et la quantité demandée Pour un consommateur, le tableau suivant représente (intrus) : Prix 0 0,5 1 1,5 2 Quantité 12 10 8 6 4 La forme tabulaire de la courbe de demande La dépense du consommateur Le plan de demande La quantité demandée à chaque niveau de prix Pour

de niche fiscale freine sa redistribution - Faiblesse des prélèvements sur la propriété immobilière et les placements sans risque Trop grande taxation du travail = diminution de la compétitivité française. 2. Les critiques théoriques Courbe de Laffer Si 0% = paradis fiscales Si 100% = tyrannies fiscales Lien entre croissance du taux d’imposition et recettes fiscales. Analyse critique du coût du travail (hausse cotisation => hausse cout du travail) C. Les nouvelles solutions Page

professions) et,  peut être étendu aux (micro-)entreprises individuelles qui emploient des salaries réguliers en nombre inférieur à un niveau défini par l’effectif de salariés permanents (< 5). Annexe 2. La fiscalité est elle La courbe de Laffer trop lourde? Rendement des prélèvements obligatoires (P.O.) E Seuil de la pression socio-fiscale A 0% 30% α 60% 70% 100% Taux de prélèvements (% P.O. / PIB) Le seuil de la pression socio-fiscale (E) correspond au