Courbe De Laffer

par un économiste américain : Arthur Laffer, a développé idée que plus le taux d’imposition augmente, plus le produit de l’impôt augmente ms seulement jusqu’à un certain stade, en effet selon Laffer, arrivé à un stade, le taux d‘imposition s’il continue à augmenter, va entrainer une baisse du produit de l’impôt. Les expressions tirées de courbe de Laffer : « trop d’impôt tue l’impôt » et « les gros taux tue les totaux ». Cette courbe de Laffer, avait déjà été exprimée fin XIXè par un éco libérale

les classiques 2.5 La pensée économique depuis Keynes 2.5.1 Une convergence entre les paradigmes classique et keynésien Le courant de la synthèse Les auteurs Hicks et le modèle IS-LM Tobin et le modèle de choix de portefeuille Samuelson et la courbe de Phillips Les nouveaux keynésiens Les fondements économiques La théorie du déséquilibre La nouvelle microéconomie du travail La concurrence monopolistique ¢ ¢ ¢ ¢ ¢ ¢ ¢ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡ ¡            

ressources Remarques : La justice sociale ne signifie pas nécessairement l’égalitarisme social Des choix différents des pays développés i) Les limites à la politique de redistribution (Economie de l’offre) Les effets pervers de la surfiscalité ou la courbe de Laffer : Le principe : l’impôt tue l’impôt Au delà d’un certain seuil d’imposition, les recettes fiscales diminuent de par la destruction de l’assiette imposable Il est donc possible d’augmenter les recettes fiscales en diminuant le taux d’imposition

la problématique de l’impact des déficits publics sur le taux d’inflation. Notre estimation d’une fonction de forme quadratique pour un échantillon de pays en développement indique que la courbe représentative des recettes de seigneuriage (en proportion du PIB) en fonction du taux d’inflation est de type Laffer : dans un premier temps, le ratio au PIB du financement monétaire des déficits publics réagit positivement à la variation du taux d’inflation et, dans un deuxième temps, commence à chuter

Chapitre 36. 2 chute de la civilisation suit la disparition de toute possibilité de production et c’est l’Etat qui en pâtit ». L’actualité de ses propos est telle qu’elle a inspiré le célèbre économiste LAFFER, conseiller du Président REGAN, pour établir la courbe, dite courbe de LAFFER qui met en exergue le caractère antiéconomique d’une fiscalité lourde. 4- Il est vrai que trop d’impôt tue l’impôt, mais il n’en reste pas moins vrai que peu d’impôt menace l’Etat et peut le tuer. Or, l’Etat

(au sein d’un même État) Il s’agit d’une valeur de 0 à 1. Le graphe est constitué d’une diagonale (l’égalité parfaite des revenus des individus) et d’une courbe de concentration qui représente la distribution effective des revenus. Le coefficient de Gini correspond au rapport entre ces deux valeurs (= surface entre les 2 courbes). Plus la courbe de concentration est proche de la diagonale, plus la surface est réduite et plus le coefficient de Gini est proche de zéro et donc l’égalité est importante

L’analyse économique de Ricardo 24 11. La loi de Say 26 12. Les termes du débat sur les Corn Laws 28 13. L’analyse néoclassique 32 14. L’analyse macroéconomique de Keynes 34 15. Les rigidités de prix 38 16. La courbe de Phillips 42 17. La nouvelle économie classique 46 18. La nouvelle économie keynésienne 48 3. Les grands moments de l’histoire économique 22 19. La Révolution industrielle anglaise (1760-1830) 50 20. La révolution des

potentiel productif de l’économie. La baisse des impôts s’inscrit dans cette logique, cependant que les dépenses d’éducation, de recherche et d’infrastructure se trouvent égale- ment justifiées. Le rapprochement avec les théoriciens de l’offre (A. Laffer) et les politiques conduites aux États-Unis dans les années 1980 sous l’ère Reagan peut être fait. 14 L’analyse macroéconomique de Keynes Point clef Selon Keynes, le libre jeu du marché conduit à l’apparition d’un équilibre de sous-emploi

l’efficacité   (productivité  liée  au  niveau  d’éducation  ou  à  l’état  de  santé  par  exemple)  puis  qu’il  y  a  un  effet   désincitatif  (acceptation  de  la  courbe  de  Laffer)  qui  n’est  jamais  complet  parce  que  l’activité   n’a   pas   seulement   des   déterminants   monétaires   (lien   social,   satisfaction   liée   à   l’accomplissement...)

répandaient alors à travers le monde, cette réforme devait avant tout satisfaire la première exigence de « l’économie de l’offre » au niveau fiscal : baisser la « pression » et élargir « l’assiette » fiscales. Ainsi, comme le suggère la fameuse « courbe de Laffer », c’est la baisse de la pression fiscale globale qui doit forcément conduire à la reprise de l’incitation à l’épargne et l’investissement, et partant de la croissance, génératrice d’un accroissement conséquent de la matière imposable. Cet élargissement