Courbe de niveau

représentations de fonctions : Seconde Généralités sur les fonctions Exercice 7 La courbe ci-dessous est la courbe représentative d'une fonction f. Fiche d'exercices 2 Corrigez les erreurs du tableau de valeurs : x -3 -2 -1 f(x) 0 -2 0 Exercice 8 0 -2 1 -5,5 2 -5 3 -0,5 On considère la fonction f définie sur [− 2 ; 2] par f ( x) = x2 . x+5 Les points suivants sont-ils sur la courbe représentative de f : 4⎞ ⎛ 9⎞ ⎛ 1⎞ ⎛ 1⎞ ⎛ O (0 ; 0) ; A⎜1 ; ⎟ ; B⎜ 3 ; ⎟ ; C⎜ - 2 ; ⎟ ;

inflexions de la demande ont une plus grande influence sur la production et l'emploi que sur les prix; les prix et spécialement les salaires réagissent lentement au changement de l'offre et de la demande. De là, il en découle que pour les keynésiens, le niveau usuel de l'emploi n'est pas idéal car il est sujet à la fois aux caprices de la demande et à des ajustements des prix trop lents. Aussi, bien des keynésiens, mais pas tous sont-ils en faveur de politiques de stabilisation. Enfin, et de façon encore

Théorie Keynésienne Rupture de Keynes avec les néoclassique. Keynes considère que les prix sont fixes dans le cour terme. Cela est du a une circulation imparfaite de l’information sur les marchés. Les prix s’ajustent avec retard. Donc les quantités (niveau de l’emploi ; production.) vont s’ajuster plus rapidement que les prix. Il y a un délai d’ajustement. Donc les quantités vont s’ajuster plus vite que les prix. Il y a donc un ajustement par les quantités, par la production et par l’emploi. Plutôt

| | | |V :  vitesse de circulation de la monnaie | | | |P : niveau général des prix | | | |Y : niveau de la production | | | |

existant dans un pays. Cette loi, reformulée par RICARDO (1817) puis par Irving FISHER (1911), est connue sous le nom de théorie quantitative de la monnaie : M.V = P.Y M : masse monétaire V :  vitesse de circulation de la monnaie P : niveau général des prix Y : niveau de la production   3 - Les variantes nationales Le mercantilisme espagnol (bullionisme / de bullion : lingot) et italien C’est la forme la plus pure de chrysohédonisme : les métaux précieux, but suprême de l’individu, qu’il s’agit

strictement convexes Samira OUKARFI – MICROECONOMIE Le comportement du consommateur (20) Utilité et préférences du consommateur ii. La représentation graphique des préférences : la courbe d’indifférence (CI) La relation de préférence indifférence peut faire l’objet d’une représentation graphique sous forme de courbes d’indifférences Une CI représente toutes les combinaisons de biens (paniers) qui procurent la même satisfaction pour un consommateur Tous les paniers situés sur une même CI apportent

Figure 4 : Courbe de croissance malthusienne avec N t le nombre d’individus dans la population au temps (t), N 0 le nombre initial au temps t 0 et r m le taux d’accroissement intrinsèque ou inné au paramètre de Malthus. L’équation de la courbe d’accroissement de la population est Nt= N 0 e rt ou ( dN/dt)= rN qui est, comme son nom l’indique, une fonction exponentielle. Le taux d’accroissement intrinsèque (r ou rm) est calculé comme le logarithme naturel de la pente de la courbe. L’allure de

Question n°60 : En quoi la courbe des taux-rendements est-elle un indicateur économique fondamental ? Introduction : La courbe des taux est une représentation graphique où les taux d’intérêts placés en ordonnée sont définis en fonction de la durée (de 0 à 30 ans en général) d’une même classe d’instruments financiers qu’on retrouve placée en abscisse. La lecture de la courbe des taux permet de comprendre : - les choix économiques réalisés par les différents

A) Le niveau de vie n'est pas représenté par le PIB : – le PIB par habitant lui révèle correctement le pouvoir d'achat, ce dernier n'est pas toujours aussi représentatif et élevé que le PIB du pays en question comme nous le montre les courbes PIB et PIB par habitant des 3 zones du monde (doc 1)qui n’augmentent pas de la même façon avec la courbe du PIB par habitant en dessous. (ex : Chine => PIB = 10360 Mds de $, PIB/hab. = 7593,9 $ en 2014) ==> le PIB par habitant représente mieux le niveau de niveau

musées, du cinéma…) tandis qu’un verre d’eau, une fois la soif apaisée ne sera plus utile. 2. La notion d’utilité totale L’utilité totale est l’utilité retirée de l’acquisition d’une quantité x d’un bien A. On peut définir pour le bien A une courbe d’utilité u=f(x), x étant la quantité du bien A qui sera consommée. 1 verre : 8ut, 8umg (8-0) 2 verres : 11ut, 3umg (11-8) 3 verres : 12ut, 1umg (12-11) 4 verres : 12,5ut, 0.5umg On est plus qu’à satiété, l’utilité va devenir négative.