Cours Finance Publique

La dépense publique est elle un véritable moteur de la croissance au Maroc ? INTRODUCTION 2 1. QUELQUES CONSIDERATIONS THEORIQUES 3 2. LES TENTATIVES D’EXPLICATION EMPIRIQUES 4 3. LA SITUATION DU MAROC 5 3.1 INVESTISSEMENTS ET CROISSANCE AU MAROC 6 3.2 ALLOCATIONS DES DEPENSES PUBLIQUES 8 3.3 LA REPARTITION SECTORIELLE DES DEPENSES 9 4. LA DETERMINATION D’UN NIVEAU OPTIMAL DES DEPENSES POUR L’ECONOMIE NATIONALE 10 5. TENDANCES ACTUELLES 11 ANNEXES METHODOLOGIQUES 13 1. LA RELATION ENTRE

et programmer ses dépenses en fonction de la politique qu’il veut mener. Cette prévision de recettes et des dépenses de l’Etat se fait dans un document appelé budget de l’Etat. Le budget constitue l’instrument principal par le biais duquel l’État finance ses interventions dans les différents domaines et lui permet en conséquence d’exercer effectivement ses prérogatives qui n’ont cessé de s’élargir pour toucher de façon directe ou indirecte tout les secteurs d’activité. Il révèle les contraintes qui

2.3. Objectifs prioritaires du Projet de Loi de Finances 2012 Le Maroc, sous l’impulsion de Sa Majesté Le Roi, s’est engagé depuis quelques années dans la voie des réformes visant :  la modernisation des structures de l’économie du pays  le renforcement de sa compétitivité pour un meilleur positionnement régional et mondial,  le développement de la solidarité sociale par la valorisation des ressources humaines et la répartition équitable des fruits de la croissance, notamment

..................................................................... 2 Présentation et analyse G G G G G G G Les grandes lignes de la Loi de Finances 2013 ......................................................... 4 7 9 Prévisions économiques : une croissance de 4,5% pour 2013 Les secteurs sociaux au coeur de la Loi de Finances 2013 ..................... .............................. Consolidation de l’investissement public et poursuite des grands chantiers d’infrastructure

(marché secondaire) La Bourse est une source de financement unique qui offre aux entreprises les moyens de financer leur croissance et aux Etat et collectivités publiques les moyens de gérer leurs déficits budgétaires La Bourse est un lieu d'échange sur lequel on peut acheter et vendre toute sorte de produits (matières premières, actions, obligations, devises,…) ! ! Copyright : EVAL FINANCE – Le BOURSIER 2008 - ESG !"! Les marchés secondaires ! On distingue sur les marchés secondaires

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ----------------------- Le Conseil des Ministres DIRECTIVE N°07/2009/CM/UEMOA PORTANT REGLEMENT GENERAL SUR LA COMPTABILITE PUBLIQUE AU SEIN DE L’UEMOA LE CONSEIL DES MINISTRES DE L’UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA) -------------------------------Vu le Traité de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine, notamment en ses articles 16, 20, 21 et 67 ; Vu la Déclaration de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement,

ressources et les charges de l’Etat. Il est arrêté par le parlement ds les lois de finance qui traduisent les objectifs éco et financiers du gvt. Il existe trois catégories de lois de finances : - La loi de finance initiale, votée qq semaines avant le début de l’année - Lois de finances rectificatives, au cours de l’année, peuvent modifier les dispositions de la loi de finance initiale. - Lois de règlement, au cours de l’année suivante, constate les résultats d’exécution du budget et ajuste les

Loi de finances, Etapes d’élaboration, principes d’exécution, lexique de concepts et notions budgétaires usuels A/ Les étapes d'élaboration et d'adoption de la Loi de finances au Maroc (Procédure normale ne tenant pas compte de contraintes politiques, telles que celles qui ont eu lieu au cours de l’année) 1er trimestre de l’année précédant celle pour laquelle le budget sera adopté (décembre - mi-mars) : établissement des prévisions de dépenses budgétaires et préparation – par le ministère

CORRIGE TYPE EPREUVE DE FINANCES PUBLIQUES II 1- Le consentement à l’impôt est un devoir du citoyen et consiste à contribuer aux dépenses et charges publiques. C’est un devoir qui est né en Grande Bretagne avec la Magna Carta (Grande Charte) de 1215, par laquelle le Roi Jean Sans Terre admettait qu’il ne pourra lever l’impôt qu’avec le consentement des représentants des contribuables puis avec le Bill of Rights (Pétition des droits) de 1689 qui consacre définitivement, outre le consentement à

une grande transparente dans l’utilisation des ressources publiques afin de : * Accroître la valeur ajoutée. * Maîtriser les risques. * Améliorer la performance de processus. * Améliorer le contrôle de la gestion publique. Notre pays vit ses mutations au quotidien car il se trouve fortement influencé par les vagues de privatisation des entreprises publiques et les processus de décentralisation dans l’administration publique d’une part, et les impératifs de la bonne gouvernance d’autre