Courtisan

mensonges et de contrefaire toute sincérité. Ce n’est plus l’italien des poèmes de l’Arioste que Du Bellay admirait tant, mais l’italien des intrigues ponti- ficales, l’introduction du théâtre dans la vie sociale. Au contraire de la parole des courtisans où la subjectivité maximale, celle du mensonge et de l’ambiguïté, va de pair avec l’occultation de l’acte de parole, chez Du Bellay le discours authentique – franc – est tel parce qu’il s’affiche tel quel. De sorte aussi qu’on ne puisse vraiment

risques. III/ La satire de la cour A/ Les courtisans Les courtisans = troupe indiférenciée. masse anonyme et servile --> caractèrisée par son suivisme. Reproche = absence d'intelligence. Trop bête pr réfléchir ( 1esprit pr 100 corps). Esprit, caractère uniforme. Accent mis sur la servilité des courtisans. Ils veulent plaire à leur roi = immitateur servile. Voc. de l'immitation = être, paraître, "peuple caméléon, peuple singe". Les courtisans st ds le principe de l'immitation immédiat et

comme des sauvages., LB nous montre ici que les courtisans deviennent des sauvages.==> Cette fin du texte nous indique premièrement que LB parle bel et bien des courtisans, et nous fait part du fait que, objectivement, il trouve que les courtisans se rapprochent beaucoup des sauvages.Conclusion :LB nous montre à travers ce texte son regard objectif des courtisans, il dénonce l’hypocrisie des femmes, les jeunes hommes mal-élevés, et les courtisans en général ne sont même plus des hommes.

les courtisans.  - dans l’importance des liens sociaux avec la relation entre la femme du Lion et le lion roi, entre le cerf son fils et sa femme..  3. Fidélité à la réalité psychologique humaine : les animaux éprouvent des sentiments et des défauts humains.  - colère, violence, autorité royale, orgueil, arrogance et mépris aristocratique pour le roi  - cruauté de la reine qui prend plaisir à voir souffrir son mari  - l’hypocrisie, la méchanceté et la réaction commune pour les courtisans  4

fabuliste du XVIIème siècle, pendant le règne de Louis XIV. Dans sa fable Les obsèques de la lionne, il montre à travers les animaux de la forêt le comportement hypocrite du roi et de ses courtisans. Il utilise les animaux pour éviter la censure. C’est pourquoi nous commencerons par parler du roi et de ses courtisans, et nous terminerons par expliquer pourquoi c’est une fable vivante.         Dès les premiers vers, nous remarquons que le lion manifeste autorité et majesté. Les premiers mots, en

la mort de la lionne. Cette fable raconte les obsèques de la reine, la femme du lion et décrit les réactions des courtisans, du roi, et du cerf. MONTRER QUE CETTE FABLE EST SATIRIQUE : Une satire consiste à dénoncer les aspects et/ou défauts de la société, à critiquer et à se moquer dans le but de faire rire. Cette satire n’a que deux buts : blâmer le roi et blâmer les courtisans. Le roi a énormément de défauts. Nous pouvons dire qu’il est autoritaire car il utilise des verbes : venez, venger

le lion se mit à crier, il y a une réaction immédiate des courtisans (« Le prince aux cris s’abandonna, / et tout son antre résonna. »). Les deux mouvements narratifs sont dynamisés par l’introduction de paroles rapportées II/ Satire des courtisans 1) Le mimétisme Du vers 12 au vers 16, le fabuliste décrit le mimétisme des courtisans. Une alternance action/réaction est présente entre le lion et les autres animaux. Les courtisans sont de fidèles serviteurs, ils consolent le roi (vers 4)

contraire à son but de plaire au roi. Finalement, Mme de sévigné empreinte au théâtre, en effet, elle utilise en premier lieu le comique de situation avec le roi qui en ne révélant pas le nom de l’auteur du madrigal, à joué un mauvais tour à son courtisan, entrainant la joie de ses complices et du lecteur. Mais également le comique de caractère en montrant le ridicule du type fréquent à la cour, le flatteur hypocrite dont le Maréchal est le parfait exemple.Partie 3, de la ligne 17 à 22, nous verrons

Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime une fille du père Goriot, Delphine de Nucingen, dont il sera l’amant dans Splendeurs et misères des courtisanes. Très vite il fait son chemin dans les plus hautes sphères sociales (la Maison Nucingen). Il devient banquier dans le Bal de Sceaux. Fréquentant les meilleurs salons (le Cabinet des Antiques), il est très recherché par la marquise de Listomère (Illusions

I. Les prostituées et comment en faire un art A. Les différents types de prostituées On distingue donc deux sortes de filles de joie selon les classes sociales : Les courtisanes Les ouvrières Certaines sont regroupées dans des maisons closes, qui fera office d’un troisième sous-titre. a) Les courtisanes Les courtisanes se donnaient aux classes sociales les plus élevées comme les rois, les princes, etc… Les pères de famille amenaient leur fils chez ce genre de prostituées dans l’objectif