Courtisan

 il  regarda  dans  Les  Regrets   la  horde  de  courtisans  romains  dont  il  souligne  dans  le  sonnet  «  Marcher  d’un  grave  pas…  »  le   ridicule.  En  quoi  l’ironie  est  elle  ici  au  service  du  poète.  Nous  montrerons  à  la  fois  ce  caractère   ridicule  des  courtisans,  leur  moralité  douteuse  et  comment  le  poète  se

parole pour exprimer son point de vue sur la cour, plus précisément sur les courtisans, qualifiés de « caméléons » : animalisation, ils sont se que le roi veut qu’ils soient. Ces courtisans sont aussi « singes du maître » il l’imite, « un seul esprit anime » : l’esprit du roi, « simple ressort » : ordre de la mécanique. Tout cela pour dire qu’ils vont dans le même sens que le roi. Cible de la Fontaine : les courtisans, la justice arbitraire du roi (comparé à Caligula) v 1 : diérèse, périphrase

la Cour", La Bruyère dénonce les vices et les corruptions de la cour de son époque. Il décrit la cour comme un lieu où les courtisans se livrent à toutes sortes de bassesses pour plaire au prince, où l'hypocrisie et la flatterie règnent, où l'on est prêt à tout pour obtenir des faveurs et des avantages. Il présente la cour comme une sorte de fausse utopie pour les courtisans qui croient qu'ils peuvent atteindre le bonheur et la réussite en suivant les règles et les codes de conduite de la cour. La

travers une série de portrait qui lui permettent de dénoncer avec humour les travers des Hommes. La remarque 32 du livre 8 intitulé « De la cour » nous présente une satire des courtisans qui sont une des cible favorite de La Bruyère .Dans cette remarque il décrit l’engouement ou la désaffection des courtisans en fonction de la faveur dont un homme peut jouir auprès du roi autrement dit l’éloge ou le blâme qui dépend de la faveur du roi. Décrivant un phénomène de louange général parfois suivie

l’ « heureux » possesseur de la peau de chagrin, son camarade Emile, et deux courtisanes, Aquilina et Euphrasie. Celles-ci, comme pour annoncer l’analepse qui suivra – et qui aura pour titre « la femme sans cœur – évoquent les caractéristiques de leur existence sans avenir. Pour définir le statut de ces deux femmes et leur discours fataliste, nous allons mettre en valeur dans un premier axe l’hédonisme désespéré des courtisanes, puis dans un deuxième temps, nous remarquerons que Balzac utilise une écriture

histoire dans une société où tout est définit par rapport au roi. La lionne est « La femme du Lion » (v.1). Et le lion est « prince » (v.3). La Fontaine critique la société et le pouvoir royale, il met en scène les courtisans et le roi au travers d’une personnification des animaux. Les courtisans sont de fidèles serviteurs : ils consolent le roi « De certains compliments de consolations » (v.4). Ils l’imitent « à son exemple » (v.15) et s’efforcent de lui plaire : « Amuser les Rois par les songes. » (v

créant ainsi un effet d'attente, de suspens. Il dénonce explicitement la condition des courtisans de son époque. La structure est en quelque sorte théâtralisée car on pourrait comparer les deux parties aux actes d'une pièce de théâtre et l'intervention de La Fontaine à l'entracte. La Fontaine met en place le deuil de la Lionne de façon théâtralisée. L'enterrement donne lieu aux nombreuses condoléances des courtisans : "certains compliments de consolations - Qui sont surcroît d’affliction" (v. 4 - 5)

un premier temps cette œuvre était un roman, toutefois Dumas fils adapta le texte pour la scène en 1852. Cette histoire prend racine dans le vécu de l’auteur. En effet, afin d’écrire son livre Alexandre Dumas fils s’inspira de sa liaison avec la courtisane Marie Duplessis. Il n’arrivait pas à supporter sa condition d’enfant « Bâtard », ainsi en 1844 lors de sa rencontre avec Marie Duplessis il découvrit une certaine stabilité. C’est en ce sens qu’Alexandre Dumas fils fit Marguerite à l’image de Marie

de la fable "Les obsèques de la Lionne" de Jean de La Fontaine Introduction Comme "Les animaux malades de la Peste", cette fable attaque les puissants en dénonçant le caractère tyrannique du Roi, son injustice, sa bêtise et l'hypocrisie des courtisans ; mais cette fois-ci le plus faible, à savoir le Cerf, sort vainqueur grâce à son intelligence et sa vivacité d'esprit. Nous montrerons que la vivacité et la variété du récit sont mises au service d'une critique véhémente contre la société qui gravite

période du classicisme : un mouvement littéraire qui s’inspire de l’Antiquité gréco-romaine et se caractérise par la recherche de l’ordre. Cette fable raconte les funérailles de la Lionne, du roi. Tous les courtisans du roi sont tristes sauf le Cerf car celle-ci avait tué sa femme et son fils. Un courtisan le dénonça au roi en ajoutant qu’il l’avait vu rire. Le lion très en colère contre le Cerf qui ment au roi pour se défendre. Le Lion entend ce qu’il a envie d’entendre et le Cerf devient même son ami