Courtisan

lyrisme. Ce genre littéraire était très utilisé par les membres de la Pléiades, notamment par Ronsard. Dés le deuxième vers du Bellay critique les courtisans du pape en la métamorphosant en « vieux singes ». Cette métaphore et filée avec l’usage de mot comme «caresser », « crèvent » ou « rage » au vers 10. Ce rappelle de l’animalisation des courtisans au vers 10 renvoie au vers 2 créant un cycle pouvant rappeler la monotonie et la récurrence de la vie à la cour. Pour appuyer sa critique du Bellay

Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime une fille du père Goriot, Delphine de Nucingen, dont il sera l’amant dans Splendeurs et misères des courtisanes. Très vite il fait son chemin dans les plus hautes sphères sociales (_la Maison Nucingen_). Il devient banquier dans le Bal de Sceaux. Fréquentant les meilleurs salons (_le Cabinet des Antiques_), il est très recherché par la marquise de Listomère

A/ Les Courtisanes  Durant le 19ème siècle la prostitution n’était pas considéré comme étant péjoratif mais plutôt comme une activité qui faisait partie du quotidien. A l’époque les prostitués étaient connus sous le nom de courtisane. Elles n’avaient pas de statut juridique précis. Elles étaient spécialement destinées aux classes sociales les plus élevées notamment les princes, rois etc. Dans ces familles le père emmenait son fils chez les courtisanes afin d’affirmer sa virilité. C’étais pour

VIII : « De la cour » :La fausseté de la cour : de 1 à 5.Le relativisme des valeurs de la cour : 9.Les courtisans et la vanité : 12 « singes de la royauté », contraints d’être prétentieux. Le va-et-vient des courtisans (grâce et disgrâce) : 16.Le rôle de la flatterie à Versailles : 18.L’homme de cour et l’apparence de son rang : 20.Le succès et la chute du courtisan loué puis blâmé par les mêmes courtisans : 32.On dit du mal de celui qui fait de l’ombre aux autres : 39.Le désir, l’ambition pour les postes

personnages types :  Les courtisans : troupe indifférenciée. masse anonyme et servile. Reproche = absence d'intelligence. Esprit, caractère uniforme. Accent mis sur la servilité des courtisans.  Le lion : un monarque absolu dont on ne voit que la cruauté, colérique. Son goût pour l'absolutisme. Les paroles du roi contiennent pour la plupart des impératifs. Parle de lui à la 1ère personne du pluriel. II) Une satire implicite de la cour 1) Courtisans :  Représentent courtisans de la cour de Louis XIV

découvrir les coutumes diverses et variées. Montaigne justifie cette thèse par toute une série d'arguments et d'exemples, qui sont développés. Puis Montaigne s'attaque à ses adversaires qui sont de deux catégories : les mauvais voyageurs et les courtisans. Ces deux catégories expriment une thèse commune : seul leur propre monde est valable, et tout ce qui est différent est sans valeur. Montaigne consacre un paragraphe à chacune de ces deux catégories. Il réutilise les mêmes mots intentionnellement

anti-aulique. Le courtisan est en effet une de ses cibles favorites. Dans notre texte, La Bruyère décrit la brutalité de l’engouement ou de la désaffection des courtisans en fonction de la « faveur » dont jouissent les individus distingués par le pouvoir. Il dépeint ce phénomène de louange générale, qui peut être brutalement suivie par un blâme universel, comme un « prodige » au sens latin : une catastrophe naturelle, un déluge, un déferlement de « fureur » partagé par les courtisans. [Problématique :]

découvrir les coutumes diverses et variées. Montaigne justifie cette thèse par toute une série d'arguments et d'exemples, qui sont développés. Puis Montaigne s'attaque à ses adversaires qui sont de deux catégories : les mauvais voyageurs et les courtisans. Ces deux catégories expriment une thèse commune : seul leur propre monde est valable, et tout ce qui est différent est sans valeur. Montaigne consacre un paragraphe à chacune de ces deux catégories. Il réutilise les mêmes mots intentionnellement

Dauphin. Dans son œuvre, La Fontaine fait une critique sociale et universelle de l’homme à travers les animaux. Cela lui permet d’éviter la censure. Ici il s’agit de La cour du lion, extrait du livre VII du deuxième recueil. Il peint la cour et ses courtisans et donne des conseils sur le comportement à avoir aux prés de Louis 14. Annonce des axes Nous étudierons dans un premier temps la structure du texte, puis la peinture de la société faite par Rimbaud et pour finir la critique de la religion

1673. Au fond du jardin, on édifie en 1670-72 un petit palais aujourd’hui disparu « à la chinoise », en faïence, le Trianon de porcelaine. A partir de 1685, la construction de l’aile du nord permet d’aménager de nombreux appartements pour les courtisans. Certains sont spacieux mais la plupart se réduisent à deux pièces. Versailles est ainsi un perpétuel chantier. C)Le mécénat royal Versailles exalte la grandeur du Roi Soleil. L’image du souverain, astre qui répand lumière et chaleur sur le