Courtisan

Lucien à la fin d'Illusions perdues et dans Splendeurs et misères des courtisanes. Entre dans la police qu'il dirige dans La Cousine Bette. - CORALIE : comédienne, maîtresse de Camusot après l'avoir été de de Marsay, amante de Lucien. Elle sert de modèle à Joseph Brideau dans La Rabouilleuse.  – DAURIAT : libraire au Palais-Royal, n'édite Les Marguerites, de Lucien de Rubempré qu'en 1825, dans Splendeurs et misères des courtisanes. Est l'éditeur de Canalis dans Modeste Mignon. – Baron du CHATELET :

réservaient un emploi sulbaterne peu propre à satisfaire ses grandes ambitions. Blessé dans son amour, il regarda dans les Regrets, la horde de courtisans romains dont il souligne, dans le sonnet Marcher d’un grave pas, le ridicule. En quoi l’ironie est-elle ici au service du poète ? Nous montrerons, à la fois ce caractère ridicule des courtisans, leur moralité des douteuses et comment le poète se livre dans Marcher d’un grave pas à un portrait de lui –même sans complésance . I. Le ridicule

PLANI tout d’abord nous étudierons l’influence néfaste de la Cour sur la moralité des courtisans lII Puis nous évoquerons le dilemme du courtisan au travers d’une question « comment être là sans être là? »III Enfin , en conclusion, nous verrons le réel objectif de La Bruyère au travers de ce portrait ANALYSE LINEAIRE- I - Influence néfaste de la cour ou comment elle corrompt les courtisans de « N’espèrez plus de candeur » à « ou que nul du moins lui soit contraire »ProcédéscitationsinterprétationsLe

LES OBSEQUES DE LA LIONNE JEAN DE LA FONTAINE C’est une satire de la cour et de l’hypocrisie des courtisans De plus c’est aussi une critique de la naïveté du roi. Il faut savoir que ce que Jean de La Fontaine dénonce dans ce texte ne s’applique pas à son époque puisque c’est Louis 14 qui a inventé le concept de la cour pour augmenter son pouvoir. Il y a du vers 1 au 16, le récit du deuil à la cour Du vers 17 au 23, une parenthèse permettant d’analyser le fonctionnement de la cour. Du vers

vieillesse et sollicite la Cour. Seul le renard se tient à l’écart du ballet des courtisans. Dénoncé par le loup, il renverse la situation par un habile discours et fait écorcher vif le loup.La fable met en scène le roi et surtout le monde nuisible et cruel des courtisans à qui La Fontaine paraît adresser la fable. Nous assistons à une mise en scène du pouvoir royal et des ruses diverses employées par les courtisans. La fable, comme souvent chez La Fontaine, s’articule en trois temps : inquiétude

Le Tricheur à L'as de Carreau. Chez une courtisane bien connue, un fils prodigue d’une famille de la haute bourgeoisie Parisienne, avait décidé de jouer aux cartes une dizaine de pièces d’or, car sa fiancée voulait un beau collier qui en Coutait cinq fois plus. Mais un tricheur était à la table de jeu. Le jeu La partie de rami avait commencé il y a quelques minutes déjà, et pesait un silence de mort dans la petite pièce .Le jeune prodigue installé à la droite de la table, nommé Mr Alain se

Fontaine en 1678 décrit la cour et ses courtisans mais surtout la façon dont il faut s’y prendre pour être accepté auprès du roi et le comportement à avoir en sa présence. Le roi voulant connaitre son royaume invite tous les alentours à un « grand festin » qui sera pour certains, fatal. La Fontaine critique l’hypocrisie des courtisans V21 « flatteur excessif » mais également le pouvoir du roi (symbolisé par le lion dans cette fable) et sa sévérité envers les courtisans si on ne lui dit pas ce qu’il attend :

la satire de l’absolutisme royal et de ses courtisans. En effet, dans ces fables , le Lion représente le roi Louis XIV, et le loup , le renard : ses courtisans, qui sont des bonimenteurs et flatteurs «  Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ; vos scrupule font voir trop de délicatesse » «  le Loup en fait sa cour » . C ‘est ainsi une peinture des mœurs de la cour. La morale de la fable le Lion , le Loup et le Renard : «  Messieurs les courtisans, cessez de vous détruire : faites si vous pouvez

France. Dans son poème La Fontaine utilise des animaux pour critiquer l'hypocrisie générale des courtisans mais également critiquer le roi à travers le courant littéraire du classicisme dans le but de corriger les vices et péchés de la société (courtisans) tout en plaisant et en instruisant. Problématique : Comment, à travers ses animaux, Jean de La Fontaine critique-t-il le roi ainsi que les courtisans du XVIIe siècle ? Annonce de plan : 1er mouvement (La convocation du Roi) : Du vers 1 au vers 15

mais morale trop général, il l’a transformé et l’étoffe pour aboutir à une fable satire des courtisans qui gravitent autour du Roi.La fontaine a été exilé de Versailles pour avoir manifesté pour Nicolas Fouquet : il s’est devant sa porte de prisonCette fable, il la complexifie : double intrigues  un roi gâteux, sénile usé par l’âge (lion) qui veut rajeunir. 2nd intrigue : guerre ouverte entre les courtisans : le loup et le renard.La fontaine n’hésite pas à être extrêmes violent (le loup mort) : la