Courtisan

l’ordre social, notamment les stratagèmes des parvenus et les bourgeois ambitieux) Remarques 1 à 11 Elles restituent les différents états de la société du siècle. « Le bourgeois » désigne cette classe mobile qui peut s’élever du roturier au courtisan, du paysan au diplomate, grâce au pouvoir de l’argent, les mariages stratégiques et/ou par quelques mensonges ou artifices. Remarque 12 Clitiphon Une anecdote personnelle transmise sous la forme d’un « dialogue » mais où seule la voix du

J’ai fait ce choix de présenter les morts des courtisanes dans mon anthologie, car je trouvais que c’était les moments les plus humains dans leurs vies de débauche. En effet leur naissance et leur mort sont sans doutes les seuls moments de leur existence qu’elles ont en communs avec les autres femmes. Malheureusement il n’y a pas tant de ressemblances que cela puisqu’une femme aura au moins le mérite de mourir avec son mari, tandis qu’une courtisane n’est pas mariée et a au mieux un homme pour qui

Situation finale - Le Cerf gracié Vers 52 à 56 : Moral Différents discours des différents locuteurs : Vers 32 à 38 : Le Roi au Cerf. Discourt direct Vers 39 à 43 : Le Cerf au Roi Vers 44 à 49 : La Reine au Cerf rapporté au Roi Vers 50 : Les courtisans Les Obsèques de la Lionne fable 14 livre 8 extrait recueil : « Fable » de Jean de la Fontaine. Inspiré humaniste italien XVème : Abstemius. Question obsèques Reine, quand sujet Roi (Cerf) pleure pas. Roi condamne Cerf a mort ce qui conduit Cerf

Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime une fille du père Goriot, Delphine de Nucingen, dont il sera l’amant dans Splendeurs et misères des courtisanes. Très vite il fait son chemin dans les plus hautes sphères sociales (la Maison Nucingen). Il devient banquier dans le Bal de Sceaux. Fréquentant les meilleurs salons (le Cabinet des Antiques), il est très recherché par la marquise de Listomère (Illusions

âne franchise) ·  Contraste foule / certains animaux précis II - Une scène critique de la justice et du pouvoir 1. Le pouvoir : le roi et les courtisan ·  Personnages : lion brutale et injuste ·  Utilisation de modélisateurs / de verbes d’actions qui expriment la brutalité (« dévorer ») ·  Nombre de vers consacrés au Roi important ·  Courtisans : rhétorique, pouvoir de la parole, figure de style, énonciation (pas à la première personne) ·  Certains ne font pas de confession : le renard

du début remplacé par la joie de la fin. Extrème rapidité des paroles des courtisans à la fin. Proposition de liaison : Dans un récit, les composants du récit sont les personnages, c’est à travers eux que La Fontaine met en place la cour et la critique du roi. Les personnages : personnification du roi et de son peuple La critique des courtisans L’hypocrisie : on remarque que les courtisans sont très peu évoqué comme des animaux, pas de personnalité. Comparaison

personnelles nous fait partager son plaisir pour la variété et la découverte. Dans une seconde partie Montaigne va blâmer le comportement des autres qui va à l'encontre du sien. Il bannira particulièrement la vanité des français qui voyagent puis des courtisans. Cet extrait à pour but de convaincre d'une thèse affirmée et argumentée par l'auteur qui s'avère être purement humaniste L'essai au service de l'argumentation: ➡essai: œuvre de réflexion explorant un sujet donné, selon le point de vue

autres sont en harmonie, Le Cerf ne meurt pas grâce à la ruse « v.39 à 51 ». Il y a des verbes d’actions : « Aussitôt chacun accourut » mouvement et action ponctuelle « A peine on eut ouï la chose, qu’on se mit à crier » Spontanéité des Courtisans, la succession d’actions dynamise le récit. Le narrateur prend en charge le récit, il est extérieur : « il » 3ème personne. « On entendit » le narrateur vit la situation comme une expérience personnelle. «On dirait que.. » implication du narrateur

Question sur le corpus: 1) La cible commune visée dans les deux textes est principalement les courtisans du roi, ou les membres de son entourage qui sont à son service. Jean de La Fontaine décrit les courtisans comme : « Les gens (qui) sont ce qu’il plaît au prince », c’est à dire toutes les personnes qui adaptent leur comportement et leurs attitudes aux désirs et aux attentes du roi. Mais les courtisans peuvent être aussi, selon La Fontaine, des gens qui : « …ne peuvent être ce qu’il plaît au prince

Monarque » v33. Au vers 13, l’ « antre » désigne la tanière du Lion. La cour semble un endroit de rivalité et de mesquinerie.  Le « Lion » v1 est le « Roi » v30 Les « Loups » v36 sont les « prévôts » v8  « Les Courtisans » v16 sont désignés par « Messieurs les Courtisans » v16, « le Cerf » v25 et un « flatteur » v28. La scène est très réaliste (solennelle). En effet, les obsèques et leur organisation sont en effet décrites avec beaucoup de réalité. C’est peut être un moyen de décrire