Coût moyen pondéré du capital

hiérarchie des coûts Chapitre 2 : L inventaire permanent Chapitre 3 : les charges de la comptabilité analytique Chapitre 4 : le traitement des charges de la comptabilité analytique Chapitre 5 : les éléments correctifs du coût de production Partie 2/ la méthode des coûts partiels chapitre 1 : COÛT VARIABLE & MARGE : chapitre 2 : LE SEUIL DE RENTABILITÉ Chapitre 3 : L imputation rationnelle des charges fixes 7 10 10 12 18 20 25 32 32 35 39 6 INTRODUCTION GENERALE 1- les insuffisances de la comptabilité

générale permet d’avoir un résultat global dégagé par le compte de produits et de charges (CPC) et la situation patrimoniale de l’entreprise (bilan). Ses objectifs sont d’être : un moyen de preuve entre commerçants, un moyen d’information des associés, des épargnants, des salariés et des tiers en général et enfin, un moyen de calcul de l’assiette des différents impôts. Elle satisfait à des objectifs d’ordre fiscal, juridique, financier et économique. Cependant, cette comptabilité générale ne donne en

passif du bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeur comptable et valeur de marché des capitaux propres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La valeur de marché de l’actif économique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

unités en fonds propres et un maximum de 92 unités au moyen de ses autres sources de financement tels que les dépôts, les emprunts, le financement interbancaire..). Le ratio Cooke, qui tient le nom de Peter William Cooke (un directeur de la banque d’Angleterre et président du comité de Bâle a l’époque), est un ratio de solvabilité bancaire, qui fixe une limite à l’encours pondéré des prêts accordés par un établissement financier en fonction des capitaux propres de la banque. Ce ratio permet de subordonner

000 1 800 000 1 700 000 2004 2005 2006 Le chiffre d'affaires s'élève à 2 312 061 Euros en 2006, contre 2 108 900 Euros en 2005, soit une évolution à la hausse de 9.63 % sur un an. En valeurs constantes, le C.A. croît de 9.61 %. La progression moyenne du chiffre d'affaires, sur l'ensemble de la période étudiée, est de 5.96 %. L'augmentation du chiffre d'affaires en 2006 confirme la croissance enregistrée au cours des années précédentes. Rapport d'analyse financière – Copyright Actoria Europe SA

Conformité opinion Accord sur les faits Lettre de représentation Opinion / Avis Quelle est la différence entre la valeur et le prix ?  Distinction entre « Valeur », « Coût » et « Prix » Une valeur se démontre et un prix se constate   Décote à appliquer si offre > demande Surcote à appliquer si offre < demande COUT objectivité VALEUR UTILITE subjectivité Zone de marché PRIX  CCEF : « La valeur n’est pas le prix : la valeur de l’entreprise est la somme qu’un homme de l’art serait

année ; ils augmenteront de 10% par an au cours des cinq prochaines années. Le taux de l’IS à retenir est de 33,1/3%. Pour faire fonctionner cette nouvelle activité, il sera nécessaire de conserver un mois de stock de produits finis et d’accorder en moyenne 45 jours de crédit aux clients. Ces besoins sont à financer dès le démarrage du projet. NB : tous les calculs seront arrondis à l’euro le plus proche Travail à faire 1. Présenter dans un tableau le calcul des flux liés à l’exploitation

loin en mettant en place une communication globale sur la valeur . . . . . . . . 6 Les avantages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 Passer à une communication proactive . . . . . . . . 6 Fournir une information dynamique . . . . . . . . 6 Moyens à mettre en œuvre . . . . . . . . . . . . . . . 7 Comprendre les attentes des investisseurs et autres partenaires de l’entreprise . . . . . . . . . 7 Accorder une attention importante aux meilleures pratiques, notamment sectorielles . 7 Structurer

Le coût du capital 1. Pourquoi se poser la question ? Les capitaux de l’entreprise ne sont pas gratuits. Ils n’appartiennent d’ailleurs pas à l’entreprise, mais à ses financiers qui utilisent l’entreprise comme un véhicule de placement. Les capitaux sur lesquels nous allons nous pencher ne sont plus , ou pas encore dans la caisse. Ils ont été mis à la disposition de l'entreprise qui les a investis, ou seront bientôt à la disposition de l'entreprise par les fournisseurs de capitaux, parfois appelés

soustrayant le montant des dettes nettes figurant au bilan (ou en ajoutant la trésorerie nette si la société est en trésorerie positive) on obtient la valeur du capital. En divisant par le nombre d'actions (y compris les actions "virtuelles" telles que celles à émettre dans les BSA ou les stock options et en rajoutant alors dans le capital le montant de la levée de fonds correspondant) on obtient un cours objectif. La difficulté majeure est la détermination du taux d'actualisation. Celui-ci évolue