Coût moyen pondéré du capital

La pertinence nécessite une bonne définition du modèle. Sur le modèle financier, de nouvelles attentes en terme de rentabilité (ex : les actionnaires exigent une rentabilité plus forte, nouvelles technologies qui engendrent de nouveaux besoin de capitaux…) => mauvaise pertinence su modèle financier La non performance du modèle financier c’est des couts qui partent dans tous les sens, des marges deviennent insuffisantes, mauvaise maitrise de la trésorerie. Tous les facteurs de risques sont à la

c’est estimer un potentiel industriel ou commercial générateur de revenus. Selon J.M. Keynes, la valeur fondamentale d’une entreprise correspond à une estimation de la valeur actuelle des flux futurs de revenus attachés à la détention de son capital. En résumé, on peut retenir que l’évaluation d’une entreprise consiste à déterminer le prix le plus probable auquel une transaction pourrait se conclure dans des conditions normales de marché . 1.2 Valeur et prix Il ne faut pas confondre une

des choix différents liés à des financements différents. Usage Recette Dépenses Acquisition 2 • -) Caractéristique des flux. • Les dépenses initiales d’investissement : – Coût HT de l’immobilisation • Investissements induits en BFE sous forme d’actifs circulants • Si utilisation des actifs existants Coût = valeur vénale • Durée de vie : – Durée économique du projet, pas fiscale ou technique. Période d’exploitation et de perception du cash flow de recettes. • Problème d’obsolescence

se distingue de la comptabilité générale par le fait qu’au lieu de recenser des charges classées (donc des charges par nature), les charges seront reclassées et ventilées par destination. L’entreprise est considérée comme un assemblage complexe de moyens, de techniques, de responsabilités. Elle détermine quelle part de la charge peut être attribuée à tel produit ou à telle activité, à tel sous-ensemble de l’entreprise (par exemple : usine, atelier...) à tel responsable. Le but de la comptabilité

de l'Union Européenne). Ses champs de spécialisation et d’intérêts sont les suivants :  Acquisitions, fusions et cessions d’entreprises  Évaluations des entreprises et des titres  Financement et ingénierie financière (inclus capital de risque)  4 Planification stratégique L’évaluation d’entreprise en pratique  Rapprochements d’entreprises Pour informations complémentaires : www.karpicek.net 5 2. Introduction L’évaluation d’entreprise en

SEPTIEME LECON LA FONCTION « APPROVISIONNEMENT » (SUITE) 1. Critique du modèle de WILSON a) Hypothèses de travail Le modèle de WILSON suppose la fixité d’un certain nombre de paramètres : Ø le coût de passation ; Ø le taux de possession du stock ; Ø le prix unitaire de l’article à gérer ; Ø la quantité consommée annuellement. Enfin, il considère que le pouvoir de négociation des fournisseurs est nul. b) Avantages et inconvénients des deux méthodes q Quantités fixes à dates variables

souvent sous-valorisés ............................................. 30 2. La préférence pour « la pureté des titres cotés » .................................................. 31 3 ii. a. b. 3. iii. a. La possibilité d’un arbitrage sur le coût du financement ..................................... 31 La valeur fiscale de l’opération ................................................................................ 32 Le régime fiscal français en matière d’externalisation de l’immobilier.

consommation. Le groupe d'article qui est constitué de petit nombre important est désigné par A. Le groupe de grand nombre d'articles dont le volume est si petit qu'ils n'ont que peu d'effet sur le résultat est le groupe C. Entre ces deux, articles moyens en nombre et en volume sont ceux du groupe B. Le stock mérite d'être tenu après son bon rangement. La tenue d'un stock consiste à : · enregistrer les mouvements du stock ; · valoriser le stock pour le contrôle de gestion ; · procéder aux inventaires

obtenue grâce à la croissance des ventes de la division des vêtements pour femmes, pour hommes, et de la division des chaussures2, mais les ventes ont été touchées négativement par le déclin et après la reprise de la division des accessoires. En 2006, le coût des ventes et les charges de ventes et administration ont évolué proportionnellement aux ventes (+ 8.8% en 2006/2005), mais en 2005 + 11.9%. Le bénéfice brut, à son tour, a enregistré une augmentation de 9.5% en 2006/2005 et de 38.3% en 2005/2004.

III……….……….……….……….……….……….……..25 3.1. Le LCR……….……….……….……….……….……….…………...25 3.2. Le NSFR……….……….……….……….……….……….…………26 D. L’impact de Bâle III……….……….……….……….……….……….………27 1. Les impacts globaux……….……….……….……….……….…………..27 2. L’estimation du coût des mesures Bâle III……….……….……….……..27 3. L’impact sur l’octroi de crédit……….……….……….……….……...….28 CONCLUSION……….……….……….……….……….……….……….……….………….30