Coût moyen

d’évaluer le coût des fonds propres d’une entreprise. OBJECTIFS Relier le risque au rendement Calculer la valeur d’un titre Permet de préciser les deux types de risque : Risque d’exploitation Risque d’endettement PRINCIPES Le coût des fonds propres est fonction du : Rendement des placements sans risque Rendement des valeurs cotées Coefficient Béta de la firme Niveau d’endettement R. Duprat Page 1 / 4 Pansard & Associés Présentation du MEDAF 1. FORMULE DU MEDAF Le coût du capital

ou des investissements dont le taux de rentabilité s'avère être supérieur aux taux de rentabilité exigé (le coût moyen pondéré du capital) compte tenu du risque de l'investissement. La création de valeur est l'objectif rationnel de tout dirigeant de société. Cependant dans un monde concurrentiel, il est très difficile de trouver durablement des investissements qui rapportent plus que leur coût du capital compte tenu de leurs risques, car de telles opportunités attirent naturellement de nombreux candidats

Cas Entreprise fin.com L’entreprise fin.com est spécialisée dans les terminaux de paiement. Le capital de la société est divisé en 805 600 actions ordinaires de nominal 10 €. Le cours moyen de l’action cette année a été de 128 €. Le montant des dettes financières s’élève à 90 millions d’euros. La dette se partage en : * une dette obligataire inscrite au bilan pour 60 millions d’euros, * des autres dettes financières pour 30 millions d’euros. La dette obligataire a été émise deux années

conduisent à un cout donne . L a concurrence parfaite dans le marché concurrentiel : Il y a de nombreux acheteur + vendeurs = atomicité. Les produits offerts sont homogènes = Homogénéités des produits. Marche concurrentiel : lieu de rencontre entre acheteurs et vendeurs dans le but de faires des échange de produits identiques de sorte chaque acheteur et vendeur est preneur. Coût moyen : cout totale / quantité produite Cout totale : cout fixe +cout variable Cout marginal :l’augmentation

------------------------------------------------- - Investissements [Acquisitions – Cessions] Free Cash Flow Détermination du taux d’actualisation Le taux d’actualisation retenu pour actualiser les FCF est le coût moyen « pondéré » du capital (CMPC), c’est-à-dire le coût moyen pondéré des ressources de l’entreprise (capitaux propres et dettes). Cette situation résulte du fait que « le bilan est fongible ». En d’autres termes il n’est pas possible de déterminer au regard des comptes d’une

valeur moyenne Vm de la fonction f sur [4 ; 20]. b) Donner la valeur approchée arrondie à 10−2 de Vm . Partie C Application de la partie A Une entreprise produit, chaque jour, entre 4 et 20 tonnes de sel pour l’industrie. On admet que lorsque x tonnes de sel sont produites, avec 4 x 20, le coût moyen de la production d’une tonne de sel est f (x) dizaines d’euros, où f est la fonction définie au début de la partie A. 1. Déterminer la quantité de sel à produire pour que le coût moyen de production

profit, ce qui l’a conduit à choisir une quantité à produire particulière tel que sa recette marginal = coût marginal. Rm = Cm RT = p* x q* CT = CM x q* profit = RT – CT profit > 0 car P>CM La firme réalise un profit positif parce que le prix est > au coût moyen Schéma 2 à refaire Schema 2 : dans cette situation l’entreprise fait des pertes car le prix est inférieure au cout moyen. C’est néanmoins dans cette situation qu’elle maximise son profit, qu’elle minimise ses pertes. Pour toute

|16 | | 2 . Méthodes de tenue , de valorisation |17 | |2.1. Le coût moyen pondéré (CMP ou PMP ou CUMP)  |17 | |2.2 L’utilisation des prix par lots  |18

B. La standardisation du coût. Le coût moyen d’une entreprise baisse quand le volume de production augmente. Elle doit donc garder tous les mois la même quantité de production. Cela réalise une économie d’échelles. En effet plus elle produit, plus elle devra dépenser en nouvelles machines, nouveaux bâtiments, ect.., ce qui augmentera son coût fixe. De plus, avant de s’engager dans la production, l’entreprise doit engager des salariés

= 10 x 1,5 = 15 moins value de 5 euros donc prise en compte par le compte Michelin 15 x 5 = 75 soit une plus value de 15 euros N.B. interdiction de compenser les moins values par les plus values donc principe de non compensation. - principe de coût historique ou de nominalisme monétaire En vertu de ce principe 1 est toujours = 1 même s’il se déprécie dans le temps. Cela implique que la comptabilité ne tient pas compte de l’inflation et enregistre des coûts historiques. Ex. : du matériel de