Cramoisi

tttttttttttttttttttttttttttyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy yyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyLe rideau cramoisi : Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Les Diaboliques - Jules Amédée Barbey d’Aurevilly Vers 1850, en France, le narrateur rencontre, dans une diligence, le vicomte de Brassard, un célèbre dandy qui lui raconte l'aventure qui lui est arrivée

l’humiliation obsédait Mathilde durant toutes ces années. Usée et lassée, ces pensées l’attristèrent davantage. Son mari, qui était parti voir son frère, rentra précipitamment dans l’appartement. Les yeux écarquillés et le visage un rouge cramoisi, surprirent Mathilde. Il haletait et tenta de retrouver son souffle avant de s’exclamer : « Le collier… ! Mathilde… le collier !! Tu ne l’avais pas perdu, je viens de croiser Mme Dalencourt, la femme de l’adjoint au Ministre! Elle l’avait autour

( ligne 46.47) Noir et blanc *3: le corps est éclairé par le building ( ligne 6 ) Blanchâtre *1: les couleurs choisies son faites pour l’acte ( ligne 9 ) Rouge cramoisie ; sang -Les lieux choisis sont symboliques. *1: Julien fait son acte par l’élévation ( sacrifice humain) ( ligne 14.16.17) *2: traversée silencieuse de Milady comparé à la traversé de la mort ( ligne 32à 40 ) *3: Tchen est dans un endroit

titre pourrait avoir été donné par Manet postérieurement à la réalisation du tableau, lorsqu’il apprit le titre du prochain ouvrage de Zola. Le personnage Nana Nana est debout, se détachant sur un fond où une grue passe, effleurant les touffes cramoisies de pivoines géantes; elle est en corset, les épaules et les bras sont nus, la croupe renfle sous le jupon blanc, les jambes serrées dans des bas en soi grise, brochés sur le coup de pied, d’une fleur éclatante, se perdent, sans plis, dans des mules

romancier rehausse l'acte de son personnage par une mise en scéne qui lui confére un caractére théâtrale: - l'église: un lieu sacré et solennelle - les trois coups qui précéde la messe pourrait amorcer le début de la piéce de théâtre - les rideaux cramoisis (rouges vif) B) des signes prémonitoires (prémonition = pressentiment) apparaissent dans le passage: - les rideaux rouges qui sont repris au début de l'oeuvre (livre I chap.V). Il s'agit donc d'une prolepse (anticipation sur la suite), le destin

dans l’église de Verrières. Celle-ci est en effet décorée « d’étoffe cramoisie » qui crée, à la lumière du soleil, « un effet de lumière éblouissant, du caractère le plus imposant et le plus religieux ». « Julien tressaillit » à cette vue et s’assoit sur le banc de la famille Rênal. Plusieurs commentaires doivent être faits de ce passage ; en premier lieu, l’église de Verrières est celle, tendue des mêmes rideaux cramoisis, où Julien, à la fin du roman, tentera d’assassiner Madame de Rênal. Le

ans plus tard dans l’église de Verrières aussi. On remarque que le prénom de cet homme exécuté est une anagramme de Julien Sorel. Une autre similitude c’est la description: « Toutes les fenêtres hautes de l’édifice étaient voilées avec des rideaux cramoisis. » et le « reflet des rideaux rouges qui couvraient les fenêtres » au début du roman qui avec la lumière le font croire qu’il y a encore du sang sur le sol mais en réalité c’est de l’eau bénite. croit toucher au bonheur et à la réussite quand une

nouveau venir à l'immortalité. Ton feu divin brûla mon essence mortelle, Ton céleste m'éprit et me ravit aux Cieux, Ton âme était divine et la mienne fut telle : Déesse, tu me mis au rang des autres dieux. Ma bouche osa toucher la bouche cramoisie Pour cueillir, sans la mort, l'immortelle beauté, J'ai vécu de nectar, j'ai sucé l'ambroisie, Savourant le plus doux de la divinité. Aux yeux des Dieux jaloux, remplis de frénésie, J'ai des autels fumants comme les autres dieux, Et pour moi

"miraculeux", "dieux", "sacerdotale" → le hêtre est au centre qu'une cérémonie religieuse mais aussi fantastique. 3° Son apparence physique *Evolue comme un être vivant : "sa jeunesse" puis "son adolescence" puis son "élégance" puis "ses longs poils cramoisis" Conclusion : Le hêtre est comme une allégorie de Langlois : charismatique et respecté. Le hêtre est un personnage central dans la première partie du roman car il est le réceptacle des cadavres de M.V. Il apparaît comme un être ambigüe, hybride

vue change à la ligne 15, on entre dans une focalisation interne, nous comprenons que sa mise en scène dérape. Aussi, le décor qui nous est présenté l.7/8 montre que le personnage a choisi un endroit isolé, où sa cible est immobile. « Toutes … Cramoisis » Enfin on trouve aux lignes 8/9 une théâtralité dans le geste de Julien car la victime est innocente sur son banc d'église. C'est un moment de piété « Julien...ferveur » Julien, qui se prenait pour un grand assassin commence à hésiter à la ligne