Crayon de couleur

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perpendiculaires: Lignes de longueurs et d’épaisseurs variables: LES VALEURS • La valeur est le degré de clarté ou d’obscurité dans un ton ou dans une couleur. Puissance d’une teinte, variable selon l’accroissement ou la diminution de la clarté ou de l’obscurité. • Le clair-obscur est le résultat du contraste clair et foncé soit dans les tons ou dans les couleurs. Dans une œuvre picturale le sujet principal sera de valeurs claires et le fond sera plutôt de valeurs foncées. LES DÉGRADÉS • Suite de tons

semaines il peut les voir et les suivre des yeux. Dans la mesure du possible, variez les mobiles ! Ne laissez pas toujours bébé dans sa chambre, sortez-le, faites-lui découvrir d'autres lieux : des odeurs et des senteurs différentes, des bruits, des couleurs et des contrastes ... Bébé explore le monde qui l'entoure avec ses yeux, ses oreilles et sa bouche.   Le corps de bébé est plus détendu, il semble moins recroquevillé sur lui-même.   Couché sur le ventre le nourrisson parvient soulever sa tête

marchent, pas en groupe, ils sont éloignés l'un de l'autre. Les soldats sont aux milieux d'une pleine, ils n'y a rien autour d'eux, pas de village ni tranches. Dans ce dessin le ciel occupe 3/4 et la terre le dernier quard, les couleurs sont simple: le grise du crayon pour la terre et les soldats et beige du papier vieilli pour le ciel. Interprétation: Les soldats marchent vers le front surement depuis longtemps, ils ont peut-être commencé en formant un group mais et au fur à mesure qu'ils avancent

Marcel Duchamp Tu m' 1918 69,8 x 313 cmhuile et crayon sur toile, écouvillon, 3 épingles à nourrice, écrou.New Aven, Yale University Art Gallery, Katherine S. Dreier Bequest « Tu m' » est généralement considéré comme la dernière peinture de Duchamp. Ce tableau aux dimensions inhabituelles fut commandé par Katherine Dreier (amie et mécène) pour occuper un long espace vide au dessus de sa bibliothèque de New-York. Cette œuvre représente un tournant dans la carrière de Duchamp, elle est la

scène française actuelle. En 1979, Pierre Soulages, qui peint déjà depuis plus de trente ans, aborde une nouvelle phase de son travail qu'il qualifie d'Outrenoir. En se concentrant sur une couleur, le noir, et sur sa relation à la lumière, il conçoit un espace pictural qui, en dépit de l'emploi de cette couleur unique, se situe à l'opposé du monochrome dans la trajectoire de l'art moderne. Les Outrenoirs réalisés à partir de 1979 sont issus d’une journée de travail infructueuse au terme de laquelle

réalisation visuelle du fonctionnement d'un espace donné avec des couleurs et des figurés qui doivent être compris par tous. C'est pour cette raison que I'on parle de langage cartographique. Il faut donc respecter un code de couleurs et des figurés adaptés à ce que I'on veut représenter. * En cartographie, on utilise les crayons de couleur et les pointes fines MAIS surtout pas de crayon à papier et de fluo. Les crayons de couleur sont à utiliser lorsqu'il faut colorier une surface relativement

dans ses bras, elle aussi était occupée à coudre comme le montre la robe sur la table. L’autre fille s’applique à dessiner avec des crayons de couleur. Les enfants sont blonds et sages, ils semblent avoir peu d’écart en âge. La grand-mère et le père se ressemblent, ils sont sans doute mère et fils. Il manque cependant le grand-père. Les adultes sont habillés de couleurs sombres, les visages sont tristes, ce qui renforce l’impression de nostalgie ou de deuil qui émane du tableau. Contextes historique

par un nom d’épreuve et un numéro (Cf. épreuves ci-dessous). Avant la scène de préparation, un animateur constitue 4 équipes : A, B, C et D. Chaque équipe choisit un nom commençant par la lettre donnée par l’animateur et reçoit des feuilles et des crayons pour prendre des notes durant leur périple. Scène de présentation : Le professeur Cornflakes accueille les professeurs-stagiaires dans son laboratoire scientifique. Un animateur se trouve derrière un rideau. Il utilise des accessoires et prend

Beyeler). Elle fait partie d’une série de petites natures mortes vivement colorées entreprise par Léger après sa démobilisation fin 1917, en guise de retour à la peinture en même temps qu’à la vie civile (au front, il n’avait pu se livrer qu’au dessin au crayon, dont le Musée possède une belle suite de 28 croquis, purs jeux de contrastes de formes). Ces natures mortes ont pour thèmes les objets qui l’entourent (pot à tisane, poêle, pipe…), et fonctionnent comme des dispositifs mécaniques joueurs, Léger puisant