Crime de lèse-majesté

anciens conservés sans appauvrissement véritable. Elle sut aussi renouveler ses idéaux sous la 2 Il me reste à publier un ouvrage sur la famille chinoise et un ouvrage (Le Roi boit) où je compte étudier les éléments mystiques de l'idée chinoise de majesté. 8 La civilisation chinoise pression des faits, car la fondation de l'unité impériale s'accompagna d'une distribution toute nouvelle de l'activité sociale. L'ère impériale, dans l'histoire politique comme dans l'histoire de la société

royaux toutes affaires ou le roi ou ses prérogatives sont en causes. Cette définition est souple et va permettre toutes les extensions possibles. Le premier crime est le crime de lèse majesté : atteintes au roi ou au royaume. A partir du 14e siècle, on va considérer que les atteinte au affaires patrimoniales du roi sont des crimes de lèse majesté. Au 14e siècle, apparaitra le cas d’abus de justice : si le roi estime qu’une affaire est mal jugée, il va s’en saisir. Cette théorie a été créé pour les

l’empereur doit montrer qu’il est le princeps donc humilité, dans ses habits et dans sa parole et doit respecter ses pairs. Même si l’empereur est critiqué par le sénat il doit l’accepter, dès l’époque de Tibère on rétablie un ancienne loi, la loi de majesté, il existait avec l’empire une atteinte au peuple romain et ici c’est envers l’empereur donc les sénateurs peuvent créer des conflits. Autre problème c’est l’âge auquel on arrive comme pour Néron qui arrive à 17 ans, et il s’accomplit dans la transgression

particulier car sur leur terre, leur domaine ils jouissent de tous les droits régaliens. Leur justice est souveraine sauf en cas de dénie de justice. Ils ont un rang royal si bien que tous crimes contre leur personne est considéré comme un crime de lèse majesté. Ils sont réputés être hiérarchiquement supérieur à tous les autres princes ou rois de l’empire. Comment devient-on électeurs ? Cette dignité électorale se transmet par hérédité au profit de l’ainé des garçons. Ce texte va donner une

Les peines de l'Ancien Régime sont supprimées quand elles entraînent des mutilations. Quant à la peine de mort, elle est maintenue (après un très long débat) mais seulement dans l'hypothèse de crimes très graves : assassinat, incendie volontaire, crime de fausse monnaie, trahison et tous les complots politiques. Mais cette peine de mort est envisagée différemment, elle consiste désormais en une simple privation de la vie et elle ne peut plus être accompagnée de supplices corporels. * Pour conclure

nombreux et qui bénéficient d'un privilège de fort ou de clergé qui leur permet de n'être jugé que par la justice ecclésiastique. Elle est réputée pour être beaucoup plus indulgente, elle ne prononce pas la peine de mort directement, mais en cas de crime l'église peut retirer l'état de clerc puis livrer le jugé à la justice laïque. Faux clercs pour échapper à la justice seigneuriales. Elle est compétente pour d'autres catégories de personne les « miserabiles personae » les pauvres ou vulnérables (veuves

patriotisme, or les Chrétiens adorent un seul Dieu et ils refusent absolument de sacrifier à Rome. Ce refus les conduit logiquement à la mort car le refus de soumission aux symboles de Rome est puni de mort par le droit de l’Empire car il s’agit d’un crime de haute trahison. Ce culte exprime une opposition plus profonde qui concerne les rapports entre la religion et la cité. Ces formes religieuses antiques sont reliées. Le christianisme se veut universelle, se veut indépendant des frontières. Il se veut

blanche (par exemple, pour se faire aimer d’une jeune fille, il faut lui faire avaler une poudre obtenue en faisant brûler dès potron-minet 3 de ses cheveux et 5 feuilles de serpolet) l’Eglise condamne formellement la sorcellerie comme un « crime de lèse majesté divine », la substitution du diable à Dieu * la condamnation ecclésiastique a des fondements scripturaires ** l’Ancien Testament est assez riche en condamnations : on en trouve dans le Livre de Job, le Lévitique, l’Exode (« tu

n’a fait qu’arrondir les angles des territoires conquis sous la République. L’Empereur va donc utiliser tous ces pouvoirs pour construire une commission pour les affaires criminelles et politiques et éliminer les opposants politiques accusés de lèse-majesté. C’est un organe juridictionnel répressif. L’Empereur s’est saisi d’écouter, entendre, connaître d’affaires civiles, privées, notamment lorsque les préteurs ne peuvent plus créer des actions. Dans le livre des préteurs, il n’y avait aucune action

droit n’est pas du tout séparé de la divinité. Il ajoute au droit une dimension vindicative : les dieux vengent les mortels, car ils sont témoins de tous les crimes commis sur terre ; Sans la crainte, les hommes ne pourraient pas se tenir éloignés du crime. B- Sophoque Pour Sophoque, la justice apparaît sous les traits d’une vengeresse : les dieux punissent essentiellement l’hubris (la démesure), plus que les crimes. Pour lui, les lois sont fondées et se maintiennent en partie sur la peur.