Criminelle 4 Mai 2000

DROIT PENAL GENERAL PLAN INTRODUCTION 1) Les fondements théoriques du droit pénal 2) La réalité du phénomène criminel 3) Les sources du droit pénale Première partie : L’INFRACTION Chapitre premier : LA CLASSIFICATION DES INFRACTIONS Section I : Les infractions classées selon leur gravité § 1 : Les contraventions § 2 : Les délits § 3 : Les crimes Section II : Les infractions classées selon leur nature § 1 : Les infractions politiques § 2 : Les infractions militaires § 3 : Les infractions de terrorisme

reconnue d’utilité publique Projet financé par Transparency International L’Observatoire de la corruption et du développement de la Transparence au Maroc DU 27 AVRIL AU 03 MAI 2013 N° 261 Dans ce numéro : MAROC 2 - 10 INTERNATIONAL 11 A SAVOIR 12 1 Revue de presse N° 261 du 27 avril au 03 mai 2013 MAROC Les thèmes de la fraude et de l’évasion fiscale et du renforcement du contrôle fiscal, abordés lors des Assises nationales de la fiscalité organisées les 29 et

Yves-Louis Sage La loi du 16 dcembre 1999 a autoris le gouvernement franais codifier par voie dordonnance dans un grand nombre de matires. Ainsi, lordonnance n2000-912 du 18 septembre 2000 devait proposer ce que lon a appel le nouveau code de commerce. Cet article propose un bilan de la rforme entreprise dans ce domaine tant en ce qui concerne la mthodologie retenue que les consquences qui sy rattachent. La mthode de la codification droit constant, utilise par le gouvernement franais, doit satisfaire

sécurité juridique. Le fait que le droit ne soit pas uniformément et globalement écrit (pour l’ensemble du territoire) laissait une grande marge à l’arbitraire des juridictions. Cette pratique de l’arbitraire étaient fort employés dans le domaine criminel. Il y avait donc un vœu de sécurité juridique. L’Ancien Régime (en la personne de Louis XIV essentiellement) tenta bien que mal au XVIIe siècle de répondre à ce besoin de codification, notamment en lançant publiant notamment un code sur la procédure

Gouverner le crime, les politiques criminelles françaises de la révolution au XXIe siècle, 2- Le temps des doutes, 1920-2004 Jean-Pierre Allinne Introduction générale : Politique réhabilitative politiques restaurative Chapitre 1 : L’entre-deux-guerres entre répression et humanisme Depuis la Révolution (1789), toutes les questions pénales sont traversées par l’objectif d’individualisation de la peine. Mais les commissions de réforme (dont celle de Chéron-Matter), n’ont pas débouché

connétable, la connétabilité, qui deviendra maréchaussée en 1536. Ces gens d’armes sont compétents sur tout le royaume à l’exception des villes. En 1536, l’édit de Paris étend le domaine de compétence de la maréchaussée qui peut poursuivre d’autres criminels que les gens de guerre. Parallèlement, au xive siècle, la royauté organise la déconcentration territoriale de son pouvoir avec la création des prévôts dans les prévôtés placées sous la responsabilité des baillis (administrateurs du domaine royal

RESPONSABILITE PENALE de CHACUN des membres du gvt : CRIMINALITE GOUVERNANTE L’introduction de l’art 121-2 en 92 dans le code pénal sur la responsabilité pénale des personnes publiques, la loi du 13 mai 1996 sur la responsabilité pénale pour des faits d’imprudence ou de négligence, révisée par la loi du 10 juillet 2000 limitant la responsabilité des décideurs publics comme privés (violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de sécurité ou de prudence, ou faute d’une particulière gravité

notamment la torture , l’aveu étant considéré comme la reine des preuves en même temps que le début de la rédemption du coupable. Le lieutenant particulier criminel est institué par François 1er en 1522 dans ce contexte, et conforté sous Louis XIV par la grande ordonnance criminelle de 1670. Jusqu’ à la fin de l’ancien régime, le lieutenant criminel cumule des fonctions de police, d’instruction, et de jugement en participant aux formations de jugement. La Révolution confie les fonctions d’instruction

réparation sur le fondement de l’article 1384 alinéa 1er, du Code civil les comités et leur assureur commun. La Cour d’appel d’Agen fait droit à sa demande mais la 2ème Chambre Civile de la Cour de cassation casse la décision, par un arrêt du 13 mai 2004. Le 4 juillet 2006, la Cour d’appel de Bordeaux, qui statue sur renvoi après cassation, considère que les comités sont responsables et les condamnent à indemniser la victime. En effet, celle-ci retient qu’il suffit à la victime de rapporter la preuve

siècle, Etude politique et sociale, Paris Economica, 1985. Chartier, Roger « La monarchie d’Argot entre le mythe et l’histoire » in Les marginaux et les exclus dans l’histoire, Cahiers de Jussieu, n° 5, 1979. Delamare, Nicolas, Traité de la police, 4 vol., in-folio, Paris, 1705-1738. Denis, Vincent, Une histoire de l’identité, France, 1715/1815, Seyssel, Champ Vallon, Société des études robespierristes, 2008. Domat, Jean, Les Lois civiles, in folio, Paris, 1735. Dyonnet, Nicole, « Le commissaire