Crise Carolingienne

Ils deviennent des centres d’évangélisation, foyers de civilisation et de vie intellectuelle. Les moines rédigent des textes juridiques, traduisent du latin et exploitent beaucoup les terres. 2 SUR 19 HISTOIRE DES INSTITUTIONS Chap. 2 - Les carolingiens Sect. 1 - Organisation politique et administrative de l’empire §1 - Le pouvoir de l’empereur ! A. B. C. D. Légitimation du pouvoir via le sacre : Pépin le Bref, ex-Maire du palais, arrive au pouvoir via un coup d’Etat. Il a recours au sacre

Dissertation : La conception du pouvoir sous les Carolingiens Depuis la chute de l’Empire romain d’Occident en 476 après Jésus Christ, les dynasties se sont succédé laissant apparaître les premières ébauches et théories sur l’organisation d’un Etat et de ses institutions. La conception du pouvoir est ce qui permet de différencier ces dynasties car cela implique des règles et une façon de gouverner bien spécifiques. La période Carolingienne qui a duré de 751 à 987, a succédé à la période

ecclésiastiques pendant la période des Carolingiens qui établissent un lien direct avec les rois de l’Ancien Testament, le sacre a alors une importance primordiale. De plus, l’Empereur doit se comporter d’une manière particulière alors que son royaume est considéré comme une royauté divine légitimée par Dieu et l’obéissance de ses sujets découle de la nature de son pouvoir divin. Tandis que l’Eglise tient un rôle décisif sur le règne du roi sous l’Empire carolingien, Hincmar de Reims (806-882) élabore

instructions donnés aux officiers (détenteurs d’un office). Les capitulaires concernant l’Eglise sont nombreux du fait de l’union étroite du temporel et du spirituel dans le monde carolingien (cf importance du sacre). Ainsi, les capitulaires reprennent les canons conciliaires en leur donnant des sanctions civiles, mais les Carolingiens n’hésitent pas à édicter des règles de discipline ecclésiastique (ex : réglementer les élections épiscopales ou l’assistance à la messe dominicale) : « pourvu que l’ordre ecclésiastique

latine se perdait en Occident. Puis sous la dynastie des Carolingiens, après que Charles Martel, un Franc austrasien eut usurpé le pouvoir à l'issue d'une crise économique et démographique qui parachevait de fait la disparition de la culture romaine et l'entrée dans le Moyen-âge. Sous le règne de son petit-fils connu sous le nom de Charlemagne (du latin Karolus Magnus, c'est-à-dire Charles le Grand), le troisième souverain carolingien, les Francs conquirent la Bavière en 788 et la Basse-Saxe

hésitation, il le fait. Aussitôt le roi Wisigoth meurt d'une crise cardiaque et ses "lieutenants" se disputent la succession et perdent la bataille. Suite à cela, Clovis et toute son armée se convertissent à la religion chrétienne. Dans ce sujet nous traiterons du droit appliqué dans le peuple franc entre le 5ème et le 10ème siècle, c’est à dire entre la dynastie Mérovingienne en place de 481 à 751 et la dynastie Carolingienne en place de 751 à 987. L'origine des Francs, peuple

X° (mérovingiens du V° au VIII° siècle, carolingiens de 750 au X° siècle, arrivée des capétiens au X° siècle (Hugues Capet)) * Le moyen-âge central du XI° au XIII° : de Capet à Saint Louis (Louis IX, le roi croisé 1226-1270). Renaissance urbaine, activité économique, culturelle, religieuse. Montée de la puissance royale. Théocratie pontificale, réforme grégorienne, naissance des ordres mendiants… * Le bas moyen-âge du XIV° au XV° : temps de crise et temps d’espoir. Peste noire (1347-1348

nous trouvons au Moyen-âge. Traditionnellement nous distinguons le Haut Moyen-âge du Moyen-âge français. Ainsi, notre étude portera sur le Haut Moyen-âge qui correspond pleinement aux monarchies franques avec les dynasties des Mérovingiens et des Carolingiens. Il s’agit d’étudier les enjeux porté par le sujet : le droit romain et le droit germanique sont relativement différents quant à leur contenu et à leur finalité. Le Haut Moyen-âge se caractérise par la confrontation entre les traditions romaine

Bührer-Thierry, Deswarte - analyse de l’introduction, de la première partie et du chapitre I de la partie II Introduction (Geneviève Bührer-Thierry, Thomas Deswarte) La question porte sur l’évolution des royaumes issus de l’empire carolingien, qui disparaît à la mort de Charles le Gros en 888. L’Italie est exclue de la question. La Germanie est en expansion vers l’Est, l’empire est rétabli en 962 par Otton Ier. Le royaume de Bourgogne est accaparé par Conrad II en 1032. La France est

amène à la décadence (les rois faignants). Sur la plan du droit, on connait des capitulaires et depuis le 6e, cette législation royale est discutée lors d’assemblées de Grands (les plaides généraux). *Les carolingiens (8 au 10e*) : Pépin le bref (741-768) → Il fonde les carolingiens, il a pour fils Charlemagne. Charlemagne ( 768-814) → Il va mener de grandes conquêtes qui seront constituées en empires. Sacré à Aix la Chapelle en 800. {text:soft-page-break} Louis I, le pieux (814-840)