Crise Chez Les Neo Classique

Dès 90, ONU relance sa pol de défense des DDH. 3. L'influence majeure des organisations éco : OI : rôle imp ds domaine éco pr l'accélération de la mond°. OI ont imposé aux Etats, modèle fav à libéralisation des éco et au dév du libre-échange. Avec crise dette (80's), FMI s'est spécia ds prévention et règlement crises F. Il a imposé aux Etats , Plans d'Ajustement Structurel reposant sur l'appli de recettes libérales (privatisa°, ouv aux capitaux..). Banque mondiale s'est lancée ds prêts conditionnels

du classicisme dirent leur dégoût pour cet « amas de cadavres », dont le réalisme leur paraît si éloi-gné du beau idéal cher aux davidiens. Dès le Salon de 1824, on peut dire que deux camps étaient d’égale force : les Davidiens (l’ancienne école classique) et les pre-miers romantiques, Delacroix en tête. Ingres, quant à lui, demeurait tiraillé entre les deux camps et très convoité par les uns et les autres. Le 2 janvier 1826 tous les jour-naux annoncèrent la mort de Louis David, mort en exil (à Bruxelles)

globale. Ainsi, l'enjeu de cette analyse est d'en connaître les origines pour favoriser l'essor et limiter la crise. I. LES CAUSES EXOGENES Les causes exogènes renvoient à des phénomènes extérieurs à la sphère économique mais qui ont des incidents sur elle. Les chocs sont positifs ou négatifs sur les fluctuations, elles peuvent provoquer soit des phases ascendantes, soit la crise. A. Les causes naturelles Elles ont un double effet. • Effet négatif Ce sont les chocs climatiques

Jevons – Jean-Baptiste Say – Malthus, Walras – Keynes. 1/- La pensée économique classique On a du mal à trouver l'origine et la paternité de ce mot, mais il semble que Karl Marx est été le premier à utiliser ce concept pour qualifier la pensée économique de Smith et Ricardo. Ce mot semble avoir un lien étroit avec la théorie de la valeur. (D'où vient la valeur d'un bien?). Tout les auteurs classiques pensent qu'à l'échange la valeur des biens échangés ce trouves dans les quantités de travailles

précurseurs de l’économie politique classique, en parallèle avec l’évolution des faits économiques ayant précédé la Révolution industrielle. L’économie politique classique est ensuite abordée après un chapitre consacré à la Révolution industrielle, à travers les auteurs fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. La naissance de l’école néo-classique et les courants socialistes sont également étudiés avant d’aborder la crise de 1929 et l’analyse keynésienne

après avoir découvert Pompey. Ce style disparaît progressivement pour laisser place au romantisme, nom donné au courant littéraire de cette période. 1830/1914, de nouvelles références, par opposition au classique, on se réfère au moyen Age. Le romantisme marque une coupure nette avec le classique, on rejette le rationalisme, il y a une ouverture géographique (occident) et historique (le Moyen Age). En 1830 c’est l’apparition des premiers chemins de fer. 1850/1890, seconde moitié du 19éme siècle

Chapitre 4 La critique de l’économie politique classique : Karl Marx, F. Engels et le marxisme (1848-1924)4.1 Karl Marx : la synthèse entre philosophie allemande, utopisme social français et économie politique anglaise La pensée philosophique de Marx le mène à sa pensée économique , qui finira par primer sur tout le reste Marx part de 1789 , moment magique de

L’économie politique et les grandes écoles économiques Chapitre 4 : Théories économiques et libéralisme : 1- Aperçu sur le libéralisme et l’économie du marché 2- L’école mercantiliste 3- L’école physiocrate 4- L’école classique 5- L’école néo-classique * L’équilibre du consommateur * L’équilibre du producteur * L’équilibre partiel * L’équilibre général 6- L’école keynésienne * Contexte d’apparition * Critique de la théorie des orthodoxes * La construction

bulles financières et immobilières et la crise économique qui s’en est suivi ont entraîné des conséquences extrêmement préjudiciables sur l’activité et la croissance .De nombreuses voix se sont élevées pour se demander si le système économique n’était pas devenu incontrôlable,si il n’avait pas perdu la raison,si il n’était pas devenu fou. Pour tenter d’analyser la complexité du fonctionnement d’une économie gravement perturbé par une crise qualifiée de majeure ,il faut en effet

conjonction de deux évolutions déterminantes : - la rupture dans le rythme de croissance qui accentue la compétition et rend les marchés plus imprévisibles et instables; -la modification des comportements de consommation. En plus du défi classique de productivité, les entreprises doivent relayer aujourd'hui celui de la flexibilité. Certaines entreprises tentent de conserver les atouts du système taylorien tout en introduisant davantage de flexibilité dans : - la gestion de la main-d'œuvre