Crise Du Fordisme

Aucune crise économique n'a dans les esprits la place qu'occupe celle de 1929. Le 24 octobre 1929, « jeudi noir » et les jours suivants, les actions à Wall Street (la bourse de New York) s'effondrent ; des centaines de milliers d'actionnaires sont ruinés, les entreprises voient fondre leurs capitaux ; les banques font faillite. Cette crise est un événement historique considérable. Elle va en effet entraîner tous les pays industriels dans une période de dépression durant plus de dix ans bouleversant

(conception) et au passage du salaire à l'heure. Taylor rencontra une grande efficacité dans la sidérurgie et il formalisa sa méthode dans un livre intitulé " The principles of scientific management" en 1911. Ce système ne doit pas être confondu avec le fordisme, procédé de travail à la chaine qu'Henry Ford fut l'un des premiers à mettre en oeuvre et dont le Taylorisme ne constitue qu'une composante. L'organisation scientifique de F.W. Taylor repose schématiquement sur la double vision du travail:

gestion et dans leur mode de production avec l’introduction du taylorisme et du fordisme. Globalement, la période 1850-1939 se caractérise par une forte croissance entraînant un bouleversement des sociétés industrielles et l’émergence d’une société de consommation, aux États-Unis en particulier. Cependant, cette croissance n’est ni régulière ni uniforme: des périodes de croissance alternent avec des périodes de crise. La crise des années 1930, consécutive au krach de Wall Street, entraîne l’ensemble des

se font sur la MO et donc donne plus envie de développer le PT. La TVA est réductible sur l'investissement. À la fin des 30G, il y a un relatif sur investissement, il y a beaucoup de de production n'ont utilisé. Pendant les années 1975 à 1985, le crise économique est installée et arrête l'investissement. Il y a un sur investissement, une augmentation du coût de production, le partage de la VA qui est la richesse créée par tous les agents économiques se faisait avant vers les ouvriers, mais maintenant

fois, ainsi à une logique « top-down », se substitue une organisation plus flexible du travail apparue avec le toyotisme. Benjamin Coriat utilise la formule « penser à l’envers » car on part du client et on remonte à la production (contrairement au fordisme). La méthode toyotiste marque le déclin du taylorisme, et permet la réduction de la part d’emploi affectée à l’encadrement du personnel, ce qui augmente à son tour les inégalités car les échelons intermédiaires sont aspirés vers le haut ou déclassés

de l’ouvrier est déshumanisé, il fait un geste répétitif pour perdre le moins de temps possible. Fordisme : taylorisme + politique de hauts salaires : les hauts salaires motivent les ouvriers et leurs permet de devenir eux-mêmes consommateurs de leur propre voitures. I. Croissance et crise A. Longue période de croissance éco Les périodes d’après-guerre sont des périodes de crise. Crise de type ancien : effondrement de la p° agricole Conséquence : augmentation des prix

transformations sont "successives", car leur apparition se succède dans le temps, cela ne signifie pas qu'un mode d'organisation disparaît quand un autre apparaît. Les deux modes d'organisation co-existent en général, on le verra avec le fordisme et ce que certains appellent le post-fordisme. Organiser le travail, c'est en fait le diviser en fonction de certains principes. Ce sont surtout ces principes qui se transforment. Maisle principe même de la division du travail, et de la spécialisation qui va avec, est

organisation du travail : Taylorisme et Fordisme. Gain de productivité Une croissance cyclique interrompue par des crises. 2. La crise de 1929.  Krach de Wall Street : le « jeudi noir » le 24 octobre 1929 : contexte de surproduction + bulle spéculative. Prix des actions surévalué, actionnaire s’en rendent compte = vente en masse => effondrement de la production (plus de financier, baisse du PA, entreprise faillite= chômage de masse.  Diffusion de la crise due à la mondialisation (internationalisation

s’appuyer sur quelques grandes expériences comme les usines Ford, le cas Volvo, le toyotisme… Son ouvrage est composé de quatre chapitres. Le premier chapitre relate les apports de l’école classique de l’organisation (Taylor et le taylorisme, Ford et le fordisme, Fayol et l’administration industrielle, Weber et la rationalisation de l’organisation). Première vague de réflexion dominant la pensée scientifique et managériale des années 1900 et 1930, la théorie classique des organisations se définit comme la

d’autorité sur un autre mais devient dépendant du travail des autres. * La sélection et la formation des ouvriers pour exécuter des tâches simples. * La rémunération en fonction de la conformité du travail effectué. Doc 8p102 : Le fordisme : le passage à la p° de masse 1. Apport de la Ford : * travail à la chaine/convoyeur. les ouvriers restent immobiles à un poste et non l’inverse imposition d’une cadence par la chaine (temps imposé) * standardisation des pièces. fait