Critique de la faculté de juger

Explication d’un texte de Descartes «Peut-être d'autres entendent-ils par indifférence la faculté positive de se déterminer pour l'un ou l'autre de deux contraires, c'est-à-dire de poursuivre ou de fuir, d'affirmer ou de nier. Cette faculté positive, je n'ai pas nié qu'elle fût dans la volonté. Bien plus, j'estime qu'elle s'y trouve, non seulement dans ces actes où elle n'est poussée par aucune raison évidente d'un côté plutôt que de l'autre, mais aussi dans tous les autres; à tel point que, lorsqu'une

raisonner Au sens le plus universelle, la culture est le processus par lequel l'homme accède à son humanité. L'humanité, ce n'est pas simplement le fait de partager le même patrimoine génétique, être un homosapiens, c'est plutôt un ensemble de facultés qui rend un sujet responsable capable de s'ouvrir à l'autre (Glissement du sens descriptif au sens normatif) *Descriptif: ce qui est *Normatif: ce qui doit être pour être digne de son humanité (= essence) La Culture n'est pas seulement un ensemble

est expression des idées et de l’esprit 24 C. Le bien 25 1. L’art au service de la libération suprême (Schopenhauer) 25 2. L’art au service de la vie (Nietzsche) 26 3. L’art au service du bien (Tolstoï) 27 4. Le goût comme faculté éthique et politique (Kant, Arendt) 27 5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 28 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 30 Annexe 31 Résumé 31 La question de l’imitation de la nature 34 Toute

(qu’un seul Argument + 1 contre argument) Saâd Idrissi Oudghiri-S5-Mgt Hôtelier Dissertation : On ne saurait faire de doute que notre époque est porteuse d’un certain nombre de changements qui nous obligent à procéder à des évaluations critiques de nos décisions morales par rapport à la raison et à l’émotion. De fait, la réalité de ce début de millénaire contraste avec le monde tel qu’il existait il y a plus longtemps. Toutefois, la question suivante se pose : la raison et l’émotion sont-elles

d’autrui et dans le respect de ce qu’on est, voilà le projet auquel nous convie d’Ansembourg. En effet, la plupart d’entre nous en sont encore aux balbutiements lorsque nous tentons de communiquer.Nous sommes habitués à évaluer les autres, à les juger et à les étiqueter sans leur révéler quels sont nos propres sentiments, sans oser nous dire. Qui, parmi nous, peut se vanter de faire l’effort d’inventorier les sentiments qui motivent ses jugements avant de les énoncer ? Qui prend la peine d’identifier

classique, la rupture dans l’enchaînement des vers se corrélant d’une rupture avec la société à l’image de ses goûts littéraires. Pourtant, tous les goûts et toutes les opinions ne semblent pas se valoir puisqu’il existe des théories esthétiques, des critiques d’art ou encore des artistes qui sont reconnus par le plus grand nombre et d’autres pas. Ainsi, si certains jugements esthétiques prédominent dans la pensée commune, l’existence d’une idée partagée du Beau est possible. Comme l’expose Oscar

Toutefois, qu’est-ce qui fait la spécificité de l’artiste ? L’artiste semble apparaître comme celui qui crée des œuvres belles, des œuvres de génie. Qu’est-ce alors que le génie ? Ici, vous pouvez vous reporter aux analyses de Kant dans la Critique de la faculté de juger, il définit la génie comme un don naturel. Dès lors, parler d’un don naturel, n’est-ce pas affirmer que l’homme est naturellement artiste ? La question ne doit alors plus être entendue comme nous l’avons fait dans un premier temps, impliquant

comprendre et se faire des autres. Il est donc le cobaye parfait pour cette tentative d’augmentation des facultés intellectuelles d’un être humain de façon artificielle. D’ailleurs, on peut se rendre compte du niveau d’intelligence de Charlie dans les premiers chapitres du roman. En effet, dans les premières pages du livre on découvre un personnage qui a du mal à s’exprimer correctement à en juger par les nombreuses fautes d’orthographe et de syntaxe qu’on retrouve dans les premières pages  de son compte-rendu

Revue néo-scolastique. 11° année, N°43, 1904. pp. 299-320. doi : 10.3406/phlou.1904.1844 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/phlou_0776-5541_1904_num_11_43_1844 XII. LA* VÉRITÉ SELON KANT. analogue Kant le mot critique a, en philosophie,— scien Pour a celui qu'il a en histoire. C'est l'art un sens tifiquement établi dans ses préceptes et dans ses résultats — non de détruire mais de construire à coup sûr, non d'abattre mais ■ d'élaguer, non de percer à jour

mais aussi dans le quotidien aux contines que l'on peut chanter aux enfants entre autres. - l'art populaire au sens d'un art qui est populaire, autrement dit aimé par et de tous. Ici une référence à Kant s'avère incontournable : KANT, Critique de la faculté de juger « Est beau ce qui plaît universellement sans concept ». Comme pour Kant être sensible à la beauté implique une sensibilité dépourvue de ses intérêts particuliers, le plaisir éprouvé n'est pas un plaisir particulier - le sujet dit «