Critique De La Société A Travers La Fable

Cette fable illustre une morale et met en scène des animaux pour mieux évoquer les hommes. Elle met en évidence une réalité cruelle à portée universelle : le dialogue entre le loup et l’agneau met en évidence le comportement de celui qui non seulement exerce sa violence sur le plus faible mais cherche à la justifier. I. Deux personnages opposés a) Le loup Cruel, tyrannique, supérieur. Champ lexical de la haine : "plein de rage", "colère"… Le Loup se comporte en prédateur, soumis à ses instincts

DISPENSER? En premier lieu, la littérature a été inventée par les hommes dans le but de divertir, puis elle a ensuite servie à relater des faits historiques ou biographiques. Elle devient à partir du XVe siècle un outil permettant de dépeindre une satire ou une critique de la société à travers la fiction, moyen pour les différents écrivains et philosophes d’exprimer leur opinion librement sans subir de censure ou d’oppression de la part de la société ou de l’Etat. Ils peuvent ainsi dénoncer l’injustice

lui-même réfléchir et est au service de la raisonII) Opposition : Mais, il en est d’autres· Fantaisie pose un souci du réalisme · Le récit : un texte qui peut détourner d la moraleIII) Amplification : De plus, est-ce la finalité d’une fable de faire réfléchir· Le but de la fable est bien l’enseignement qu’on peut en tirer · L’articulation et complémentarité de la fantaisie et de la Raison : atout redoutable La fantaisie empêche-t-elle l’usage de la Raison. Autrement, est ce que c’est la fantaisie qui perturbe

d’anciens auteurs de fables tels Esope ou la Bruyère, écrit lui aussi de nombreux recueils de fables, dans lesquels il peint les travers de ses contemporains et de la société. A travers ses récits, sont souvent mis en scène des animaux-types qui illustrent une morale que LF veut inculquer à ses lecteurs. Cependant, on verra dans la Fable de La laitière et le pot au lait, fable X du livre VII, qu’elle prend des allures bien particulières : en effet on montrera d’abord que LF donne Perrette en pâturer

Fontaine, grande figure du classicisme, remet au goût du jour le genre de la Fable au XVIIème siècle, en s’inspirant des Anciens, notamment d’Esope ou encore de Phèdre. Dédicacées à l’héritier de Louis XIV, il utilise souvent le monde animal pour dénoncer les injustices de son temps. La forme de la fable correspond parfaitement à l’idéal classique de brièveté, et du « plaire et instruire ». Les obsèques de la Lionne obéit évidemment à ces principes du classicisme, mais tire son originalité de sa longueur

du professeur, Fables (livres VII à XI), Jean de La Fontaine Objet d’étude : La littérature d’idées du XVIème au XVIIIème siècle Parcours : Imagination et pensée au XVIIème siècle 1. Deux séquences pédagogiques au choix à partir du volume des Fables de Folio + Lycée : Première séquence : Éveiller la pensée critique du lecteur : Les Fables et le docere Problématique : Comment La Fontaine pose-t-il dans les Fables un regard critique sur la société du XVIIème siècle afin d’instruire

LA BESACE La Fontaine est né à Chateau Thierry (1621-1695), poete francais de la période classique. Attiré par la vie écclésiastique. Il entre au céminaire mais réalise qu'il n'a pas la foi. Il fait du droit, se marie avec une fille de 14ans. 1648 : ils se séparent et il part s'installer à Paris. 1664-1696 : Publication de fables et de contes, dans le meme temps, il se met au service de la Duchesse d'Orléan. Il mène une vie brillante, mondaine ou il fréquente des ecrivains comme Moliere,

s'agit ici d'une sorte de fable animalière qui répond aux conventions accpetables du genre : les animaux parlent, pensent, agissent comme des humains. ce sont des silhouettes schématiques, même si elles prennent une personnalité. Il s'agit là de ce qui caractérise l'aspect « fable » du récit, sa composante irrationnelle, acceptable par un enfant parce qu'elle relève du merveilleux des contes et fables traditionnelles. - humour et ironie le lecteur éprouve un plaisir à constater la naïveté des

Fontaine I Deux animaux semblables mais différents dans leurs mode de vie. A) Le loup Un sauvage, « la peau sur les os » .Il est affamé, misérable. Mais il est malin : «  il l'aborde humblement », il le flatte, car il a évalué les rapports de force et se méfie. → position de faiblesse. B) Le chien Un domestique, Il est « aussi puissant que beau » ; « gras »; « polit ». Il se porte bien, a une vie aisée... Il a le pouvoir sur le loup, c'est lui qui parle le plus, sûr de lui , il explique

Lorsque Jean De La Fontaine publia ses fables en 1668, il les dédicaça à des enfants ainsi, il annonça ouvertement ses aspirations didactiques. « Le corbeau et le Renard », « La Cigale et la Fourmi », nous avons tous appris à l'école ces Fables de la Fontaine qui connurent en leur temps un glorieux succès pour l'originalité des récits et le caractère attrayant du monde animal.Pourtant, à peine un siècle plus tard, Rousseau, écrivain des lumières, critiqua ces fables dans Émile ou de l'éducation,