Critique de l'islam

changement. Il faut dépasser le bon sens pour arriver à la raison (réflexion de Descartes). Quand on essaye d’élargir, produire = intellectuel. Un religieux est-il rationnel ? Est-ce qu’on peut vouloir être un intellectuel ? L’intellectuel est critique, moderne, progressiste, polémique, altruiste.  Quelqu’un qui pense à moderniser le comportement humain = définition française. Donc, un théologien ne l’est pas si on suit cette définition-là. ÊTRE MODERNE = questionnement au quotidien, remise

ILERI ILECI Le communautarisme Le communautarisme de l'Islam, ennemi ou ami de la République? Languille Julie Miraglia Marc-Antoine Séminaire Science Politique 12/12/2011 Sommaire Introduction ....................................................................................................................................................... 3 I/ Axe d’analyse des «Banlieues de la République» .........................................................................................

conflits ont une résonnance planétaire. On s’appuie sur les acquis des classes de seconde et première (des liens sont à faire en particulier le thème 2 du programme de première). Au baccalauréat, sont possibles aussi bien une composition qu’une étude critique d’un ou deux documents. Bibliographie et sitographie sommaires (voir aussi  HYPERLINK "http://eduscol.education.fr" http://eduscol.education.fr) *H. Laurens et V. Cloarec, Le Moyen-Orient au XX è s., Paris, Colin, 2003. *« Israël-Palestine »

religion et la morale puissent posséder les mêmes fondements dans le sens où les religions sont en premier lieu, fondées sur des divinités, et dans un second lieu, d’une très grande diversité. L’un des aspects de la religion donnant le plus à la critique est la référence pour sa morale à un personnage divin, pris comme modèle. Ainsi le christianisme a pris les instructions de Jésus Christ et de Dieu comme repère et mode de conduite. Le croyant entre dans un cercle vicieux en adhérant à ce principe

différents principes dans la religion donnent une morale qui permet aux hommes de vivre dans des conditions favorables et dans une idéologie de paix. Ce cadre et ces enseignements religieux sont justifiés pour les bienfaits des hommes. Par exemple, dans l’Islam l’alcool est formellement interdit à cause de ses méfaits pour la santé, de même pour les drogues. C’est un des éléments de la religion statique chez Bergson. La religion statique permet à l’homme de s’écarte de tout ce qui touche à l’égoïsme dans

des principes | |forts que donne l'islam mais aussi du travail d'adaptation et de réflexion des autorités religieuses, en fonction du contexte. Il s'ensuit | |une grande diversité de comportements en matière de gestion marketing et de consommation, allant de la tradition à la modernité, et des | |stratégies compétitives variées pour répondre à cet environnement complexe. | | | L'islam est la deuxième religion dans le monde

une humanité trop encline aux erreurs. Une controverse à ce sujet éclate entre juifs et catholiques autour de la personne de Jésus. Un nouveau prophète est apparu vers 630 après J.C., l’ange Gabriel lui ordonnant de prêcher une nouvelle religion, l’Islam, révélée par le Coran. Onze cent ans, et d’innombrables massacres et guerres de religions plus tard, le siècle des Lumières et l’individualisme conduisent progressivement, en Occident, à une évanescence du religieux : celui-ci ne sous-tend plus

grands courants de l’islam : Sunnisme et Chiisme( Iran principalement). La population juive ainsi que les minorités chrétiennes sont des éléments de cette diversité. 3) La présence des lieux saints des trois grands monothéismes : Place particulière de Jérusalem et les grandes tensions qui s’attachent à son contrôle. Deux autres grands lieux saints de l’islam, La Mecque et Médine, dont le contrôle par la dynastie saoudienne (sunnites, gardiens des lieux saints) est critiqué notamment par l’Iran

de l’Est… Les causes religieuses tiennent une place importante parmi divers facteurs qui expliquent ces conflits. Par exemple la persécution des minorités chrétiennes en pays musulmans, la méfiance grandissante en Europe occidentale sinon contre l’islam du moins contre ses extrémistes que l’on assimile aisément aux terroristes. Aujourd’hui se dégage un constat : les conflits politiques et économiques finissent toujours par trouver une solution, alors que le domaine religieux semble souvent inaccessible

Boutih, alors vice-président d'SOS Racisme, trouve « scandaleux que l'on puisse au nom de la laïcité intervenir ainsi dans la vie privée des gens, malmener les convictions personnelles »4. L'Humanité du 6 octobre 1989 continue : « volonté de mettre l'islam au ghetto, relents de racisme, démission éducative, Malek Boutih ne mâche pas ses mots ». SOS Racisme demandera la réintégration des trois élèves et déclarera : « En aucun cas, une sanction ne peut être infligée à des élèves en vertu de leur foi.