Critique Des Courtisans

et qu’il est fidèle au roi ( le Chat ) « maître » - Le Chat, il représente le roi, il parait gentil et juste « saint homme », « bon apôtre » mais les apparences sont trompeuses et il se dévoile intraitable. Le Lapin et la Belette sont les courtisans du roi (Chat) Résumé : La Belette s’empare du terrier du Lapin pendant que celui-ci est parti quelques heures. Quand le Lapin rentre, il ordonne à la Belette de sortir et la menace « Ou je vais avertir tous les Rats du pays » mais la Belette

des courtisans de Louis XIV pour montrer le caractère intemporel des Hommes. Chap. 18 s’intitule « De la cour ». Il se plait à décrire les mœurs des courtisans à travers un registre didactique et ironique. Problématique : Comment ce portrait met-il en évidence l’art du paraître chez les Courtisans ? I. La peinture de la cour : un univers d’illusion & de manipulation : Illusion : monde du paraître, goût des apparences. Manipulation : Stratégie de séduction, arrivistes. A. Les courtisans :leurs

transposer dans le contexte actuel de son époque. C'est, à travers ses fables éditées dans douze livres parus entre 1668 et 1694, qu'il nous communique ses idées. Mais, afin d'éviter la censure, dans ses critiques, Jean de la fOntaine représente les hommes - notamment Louis XIV et ses courtisans - par des animaux. Nous nous sommes ainsi demandé comment les fables de Jean de la Fontaine révélaient l'engagement de leur auteur. Dans une première partie, nous verrons donc le contexte historique à l'époque

les mœurs de ce siècle que je décrits, bien que je les tire souvent de la cour de France et des hommes de ma nation, on ne peut pas néanmoins les restreindre à une seule cour, ni les renfermer en un seul pays. » ainsi on comprend que LB a élargi sa critique qui deviens universelle : son but et alors d’améliorer l’homme et non d’humilier le lecteur. Alors, afin mettre en scène ces caractère sans viser quelconque lb leurs donne une fonction d’universalité. Suite à ces observations lb

ministres le conseillant sur les dossiers importants du moment d’où le nombre variable. Le roi écarte de ce conseil les grands du royaume et les princes le réduisant à un tout petit comité garantissant une plus grande discrétion et évitant que tous les courtisans se préoccupent trop des affaires d’Etat : « Il ne parle jamais d’affaires d’Etat, si ce n’est avec les ministres en Conseil » (lignes 57-58). En effet, Louis XIV tient à ce que le sujet de ce conseil reste secret au point qu’on ne tient aucun procès-verbal

à rebondissements a-La situation initiale b-Les péripéties c-Le coup de théâtre final (dénouement) II-Un récit à visé morale A-Les ridicules de la fables a-La critique des courtisans -hypocrisie -rimes antithétique «être»/ «paraître» -champ lexical de la comédie -image des courtisans en pantins b-La critique du monarque vanité royale: -«nous» de majesté -tutoiement méprisant à l’égard du cerf -usage de l’alexandrin dans le discours du roi tyrannie royale: -usage de l’impératif

I. Les prostituées et comment en faire un art A. Les différents types de prostituées On distingue donc deux sortes de filles de joie selon les classes sociales : Les courtisanes Les ouvrières Certaines sont regroupées dans des maisons closes, qui fera office d’un troisième sous-titre. a) Les courtisanes Les courtisanes se donnaient aux classes sociales les plus élevées comme les rois, les princes, etc… Les pères de famille amenaient leur fils chez ce genre de prostituées dans l’objectif

Fontaine affirme «dans l’Avertissement qu’il lui a donné « un air et un tour un peu différent ». En effet, le propos se fait beaucoup plus critique et satirique. Plusieurs poèmes abordent la question de l’absolutisme royal et de l’homme confronté à ce pouvoir. L’observation porte sur tous les aspects de la vie à la cour et notamment sur les rapports entre rois et courtisans. Extrait : c’est à cette veine qu’appartiennent les « Obsèques de la Lionne ». Nous sommes en présence d’une situation particulière

Jean de La Fontaine Introduction : La Fontaine affirme dans ses Fables que: « L'apologue unit le plaisir du récit à l'enseignement d'une morale ». Au XVIIème siècle, le roi au pouvoir est Louis XIV, ce siècle a connu de nombreuses révolutions et critiques du pouvoir. Les auteurs sont des moralistes, ils peignent l’homme de façon pessimiste pour tenter de le corriger. Ils cherchent à plaire et instruire. Selon la rhétorique classique, il fallait obéir à des règles : le placere (plaire), le docere (instruire)

histoire simple mais théâtralisé 2) différents types de comique 3) le plaisir de lire un texte versifié II- Au delà de l'exercice de style, la réflexion d'un moraliste 1) place à la morale : le récit, illustration de la thèse 2) critique de la rumeur et du manque de jugement 3) réflexion qui s'intègre dans les préoccupations de l'époque Comparaison avec L'Ours et l'Amateur des jardins où il y a également un manque de jugement. La Mort et le Mourant Fable 1 - Livre VIII