Critique Des Courtisans

Fables ( initialement dédiées au Dauphin alors agé en 1668 de 7 ans ). La Fontaine cherche a critiquer les courtisans et le roi pour cela, il mêle dans cette fable un coté plaisant et un coté satirique. Pour répondre a la question : Comment L.F. si prend t-il pour arriver à ses fins ? J’ai choisi un plan en 2 parties : D’abord l’aspect plaisant et vivant de la fable puis l’aspect satirique et la critique de la société. I) La fable satirique a) Forme dynamique avec de nombreux passés simples;

Montaigne est un grand écrivain, philosophe et moraliste français de la Renaissance. Son œuvre majeure, les Essais, recueil où il traite des sujets très divers, se compose de textes critiques qui sont en fait ses propres réflexions sur la nature de l'homme. Dans cet extrait du troisième chapitre de son œuvre consacré au voyage, Montaigne parle du voyage comme étant un enrichissement et une leçon de vie pour l'homme. Nous étudierons en quoi ce texte est-il humaniste, en nous concentrant sur l'aspect

s'adapte et apparaît convivial. III- Une sagesse humaniste. 1) La critique de l'ethnocentrisme et du sentiment de supériorité des F. Maxime initiale: "chaque usage a sa raison". Brève, présent de VG (universel et intemporel), impersonnalité, morale. Rationalise toutes formes de mœurs, de cultures, ne hiérarchise pas les cultures. 2) La critique de la vanité. Il fait un parallèle entre le comportement des jeunes courtisans et les Français à l'étranger. Le rejet de l'autre peut se faire au sein

plaisante du milieu de la Cour. Les animaux lui servent donc parfois de truchement pour parler de ce qui le dérange dans le comportement de ses contemporains. Ainsi dans « Les Obsèques de la lionne », le lecteur est invité à constater que le milieu des courtisans joue une comédie qui peut s’avérer extrêmement dangereuse si l’on ne dispose pas d’une bonne connaissance de son fonctionnement et d’un excellent esprit d’à-propos. Nous montrerons que la vivacité et la variété du récit sont mises au service d’une

est un moraliste du classicisme. Il analyse de façon générale et universelle les comportements des hommes, leurs qualités, mais surtout leurs défauts. Il est un observateur lucide et féroce du monde qui l'entoure. Dans les obsèques de la Lionne, il critique la comédie de la vie à la cour qu'il a fréquenté. Il nous en rapporte quelques portraits. I) Un récit vif et varié 1) Une progression claire -récit relativement long ( comme souvent 2e recueil) -progression claire en 2 temps: deuil officiel

plaire a son lecteur. Une esthétique de la diversité _On observe un système de metres varié : on joue sur différents longueur : un système de vers très varié (octosyllabes et alexandrins) qui s’adapte a différents situations. Alexandrin lance la critique v.17-19. Octosyllabe pour évoquer la décision très rapide du lion v.36-38 renforcé par les 3 imperatifs. Alexandrin pour evoquer le sejour chez les Dieux. _Registre de langue variés v.56 pour clore la fable on observe une expression familiere « goberont »

+ Cour plénière (9) : importance du roi et sentiment d’importance qu’il teinet à montrer, à « étaler » (12) Qui ne fût ail au prix (24) + Que sens-tu ? (29) + Sans odorat (32) : importance de ce que sentent les courtisans, symbolique de ce qu’ils sont prêts à faire en tant que courtisans. Le dernier rejet Sans odorat : c’est la bonne solution, il ne faut pas avoir de pensée personnelle, il faut voir et sentir ce que le monarque veut que l’on voie et sente.  Alternance de différents types de discours

omnisciente l'enchaînement des évènements. Pr donner plus de vivacité au récit --> utilisation du présent de vérité générale. Fais le choix de l'hétérométrie. La Fontaine = maître d'œuvre. Augmente ou diminue la narration à sa guise. Fabuliste --> regard critique --> éclaire les différents intervenants. Il attribue aux animaux des titres humains. Pers. ambigus --> véritable personnification du bestiaire. B/ Les parties dialoguées La Fontaine cède la parole aux différents intervenants. Donne la parole

certain rang social selon leur espèce. Chacun d’eux a un caractère spécifique qui lui est attribué et qu’on a la possibilité de retrouver dans ses autres fables. Le Renard par exemple, apparaît régulièrement dans ses fables, il incarne le courtisan du roi. Il utilise son intelligence pour tromper son entourage, ce qui provoque des retournements de situation parfois comique tel que le montre la fable Le Lion, le Loup et le Renard. Dans ce récit le Renard use de sa perspicacité pour se venger

malades de la Peste", cette fable attaque les puissants en dénonçant le caractère tyrannique du Roi, son injustice, sa bêtise et l'hypocrisie des courtisans ; mais cette fois-ci le plus faible, à savoir le Cerf, sort vainqueur grâce à son intelligence et sa vivacité d'esprit. Nous montrerons que la vivacité et la variété du récit sont mises au service d'une critique véhémente contre la société qui gravite autour du Roi-Soleil. I. Un récit vivant, attrayant 1. Récit riche en rebondissements - Des