Critique Des Courtisans

contraste �logieux / d�pr�ciatif, �ne franchise) · Contraste foule / certains animaux pr�cis II - Une sc�ne critique de la justice et du pouvoir 1. Le pouvoir : le roi et les courtisans · Personnages : lion brutale et injuste · Utilisation de mod�lisateurs / de verbes d�actions qui expriment la brutalit� (� d�vorer �) · Nombre de vers consacr�s au Roi important · Courtisans : rh�torique, pouvoir de la parole, figure de style, �nonciation (pas � la premi�re personne) · Certains

une représentation de la société du temps de la fontaine, une dénonciation du système judiciaire. L’auteur vise l’inquisition en dénonçant le principe du bous émissaire, et critique le pouvoir absolu et les courtisans. [...] [...] Mais l’âne n’a pas d’avocat, et la justice est en fait rendue par le lion seul. Les courtisans ne sont la que pour approuver. le principe du bouc émissaire L’âne est sacrifié pour la communauté : on cria haro sur le baudet C’est la bataille de la société contre l’individu

Eléments d'introduction : - « Les Regrets » écrit de 1553 à 1557 à Rome. - Publié en 1558 en France. - Critique en particulier la Cour Romaine. (cf : Les Antiquités de Rome). - Sonnet en alexandrin. Rime ABBA pour les quatrains et CCD-EED pour le sizain. - Du Bellay, poète de la Pléiade. (expliquer ce qu'est la Pléiade). I- Un éloge de la femme ... : • Description physique de la femme idéale. Le corps de la femme est vanté par l'isotopie des matières précieuses : « argent » / « dorée »

morale v27 à 38 : coup de théâtre v39 à 51 : deuxième coup de théâtre et renversement de la situation v52 à v55 ; deuxième morale La fable est rendu vivant par l'alternance récit / discours : Dénonciation calomnieuse du courtisan , Discours du Roi, Discours du Cerf comportant le discours enchâssé de la reine, commentaire de la foule.. Mélange des mondes animal et humain : habituel chez La Fontaine, mais ici , il y a peu de références animales ; « ongles » aux lieu de « griffes

(le titre nous l’indique dès le début «  la Cour du Lion », le Lion représentera le Roi). Les mots « charnier »v15 ; « antre »v22 ; « griffe »v22 sont les seuls tarmes qui nous ramènes au Monde animal.                                        -les courtisans = l’ours, le singe, le renard.    Chaque animal représente un comportement humain :  -          Le Lion : l’orgueil, la vanité, la puissance. C’est un stéréotype puisque le Roi est toujours représenté par le Lion dans les fables. Le Lion est

contre avards). Les rôles féminins sont joués par des hommes, et sont dans la pièce des courtisanes. Elles subissent l’autorité des hommes. L’action scénique est confiée aux esclaves. Vieux : cheveux blancs, longue barbe, bâton en main, marche et parle lentement, (senex) Jeunes : longue chevelure, ton plaintif, (adulescens) Esclave : roux, front plissé et sourcils froncé, tuniques courtes, (servus) Courtisane : porte beaucoup de bijoux, cherche à séduire, (meretrix) Mère de famille : symbole

Messieurs les Courtisans, la Reine, le Roi ». Des formules intrigantes qui poussent à la réflexion : « Oh! Que des grands seigneurs, au Léopard semblables, n’ont que l’habit pour tous talents! » Il fait aussi des allusion à la noblesse, sur la réalité du XVIIe s. La Fontaine était un moraliste, il critique au fil de ses fables le monde de la cour, l’assujettissement, la bassesse des courtisans, la flatterie. Dans « Les Obsèques de la Lionne », une des moralités dénonce l’hypocrisie des courtisans mais surtout

obsèques de la Lionne obéit évidemment à ces principes du classicisme, mais tire son originalité de sa longueur et de ses multiples rebondissements. Le récit conte la cérémonie d’obsèques de la femme du Lion, de la reine, et décrit les réactions des courtisans, puis plus particulièrement celle du cerf. Nous nous demanderons comment l’auteur arrive ici à dresser un portrait des puissants ? Tout d’abord, nous mettrons en avant la vivacité de cette fable, son rythme prononcé, avant de nous intéresser à

contraste élogieux / dépréciatif, âne franchise) · Contraste foule / certains animaux précis II - Une scène critique de la justice et du pouvoir 1. Le pouvoir : le roi et les courtisans · Personnages : lion brutale et injuste · Utilisation de modélisateurs / de verbes d’actions qui expriment la brutalité (« dévorer ») · Nombre de vers consacrés au Roi important · Courtisans : rhétorique, pouvoir de la parole, figure de style, énonciation (pas à la première personne) · Certains ne font

persuader, amadouer (appel aux sentiments) registre affectif vers 15. Utilise des nuances (« je crois », « peut-être ») = modélisateurs. Hésitation, fausse modestie pour nuancer, adoucir le ton et cherche à manipuler, appeler à la bienveillance de ses courtisans. * Honnêteté forcée du Roi qui se montre sans scrupules, cruel. Autres modélisateurs → habileté oratoire puis rejet vers 30 «  Le Berger » après un phénomène d’attente. Hésitation puis aveux → fausse modestie. Personnage ambigu (vers 30). Ton