Critique Des Courtisans

The socially stratified world of prostitutes, ranging from low-ranking sex workers to high-class courtesans, presents a fascinating microcosm of French society as a whole. We will read selections from Honoré de Balzac, Splendeur et misère des courtisanes; Victor Hugo, Les Misérables; and Gustave Flaubert, L’éducation sentimentale; as well as Boule-de-Suif and other stories by Guy de Maupassant; La fille Elisa by Edmond de Goncourt; Nana by Emile Zola; Marthe by Joris-Karl Huysmans; La dame aux camélias

fable prête à l’animal les qualités et les défauts de l’homme et le monde animal crée par La Fontaine est la représentation de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine représente l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. 1.Une fable habilement menée a)Un Préambule qui rappelle les récits mythologiques tragiques • Intrigue évoque tragédie d"Œdipe roi" (Sophocle) : Thèbes ravagée par peste, on recherche le coupable de ce châtiment divin. • Épidémie

Il fait l’éloge des mœurs politiques anglaises et critique les travers de la politique française . PLAN : 1. L 1-12 : L’Angleterre et le commerce. Puissance de l’Angleterre, sens de l’organisation, capacité à projeter 3 flottes en même temps. 2. L 13-20 : Anecdote illustrant la puissance du commerce et de l’argent. 3. L 21-25 : Le commerce : activité permise aux nobles en Angleterre 4. L 26- à la fin : Critique cinglante de la France : opposition entre le marquis

Fontaine grandit en se passionnant pour la lecture... Analyse : Plan : I/ Fable classique avec des qualités de composition 1) Dynamismes et rimes 2) Animaux=symboles des personnes avec leurs qualités oratoires II/ Puis la critique de fond 1) Critique du pouvoir, de la justice, de la cour 2) Pris parti de l’âne par La Fontaine III/ Travail de l’éloquence 1) L’éloquence au service de l’individu : le renard, le lion 2) L’éloquence contre l’individu : l’âne I/ Fable classique

manipulateur : "dévoré force mouton même parfois berger" : ses péchés le rendent cruel, féroce, sans scrupules - Exagération amusée : "Appétit de glouton, force moutons" - Manie ironie: "me dévouerai donc, s'il le faut" : sous-entend invite les courtisans à s'y opposer. Convaincre : - Son discours est construit logiquement : l.15 (expose la situation) l.20 (invite les autres) l.24 (propre confession) l.29 (invite les autres) l.33 marquées par des connecteurs. - Il Avoue lui-même, donne l'exemple

force mouton même parfois berger' : ses péchés le rendent cruel, féroce, sans scrupules • Exagération amusée. 'Appétit de glouton, force moutons' • Manie ironie: 'me dévouerai donc/s'il le faut': sous-entend qu'il ne le fera pas et invite les courtisans à s'y opposer. Convaincre : • Discours construit logiquement : lg 15 (il expose la situation) lg 20 (il invite les autres) lg 24 (il fait propre confession) lg 29 (il invite les autres) lg 33. Marqué par des connecteurs • Avoue lui-même, donne

comme support d'idées révolutionnaires, allant contre les politiques, les courtisans et plus généralement contre le gouvernement. Il commence le chapitre en s'attaquant aux courtisans qui lors de la nomination de Zadig comme ministre, se comportent facheusement ("les courtisans furents fâchés"). Voltaire insiste sur leur jalousie, leur conservatisme et leur manque d'ouverture. L'auteur place "l'envieux" au sein des courtisans, ce qui ne leur est pas valorisant. Au sein de ce chapitre on repère également

La cour du lion_ page 335 question 3: Dans cette fable, les animaux sont personnifiés en courtisans par leur traits de caractères. Tout d’abord, ils sont dotés de volonté « voulut connaitre » v.1, sachent lire et écrire « une circulaire écriture » v.6, sachent parler « lui dit Sire » v.28, « il manda » v.3 et connaissent les maladies humaines « un grand rhume »v.31 On y retrouve également le champ lexical de l’être humain: narine, mine, grimace, flatteur, colère… et le champ lexical de la monarchie:

anti-aulique. Le courtisan est en effet une de ses cibles favorites. Dans notre texte, La Bruyère décrit la brutalité de l’engouement ou de la désaffection des courtisans en fonction de la « faveur » dont jouissent les individus distingués par le pouvoir. Il dépeint ce phénomène de louange générale, qui peut être brutalement suivie par un blâme universel, comme un « prodige » au sens latin : une catastrophe naturelle, un déluge, un déferlement de « fureur » partagé par les courtisans. [Problématique :]

XIV est le monarque absolu du royaume. 5) Louis XIV choisit pour emblème le soleil. C'est l'astre qui donne vie à toute chose mais c'est aussi le symbole de l'ordre et de la régularité. Il régna en soleil sur la cour, les courtisans et la France. En effet, les courtisans assistaient à la journée du roi comme à la course journalière du soleil. 6) Les classes sociales qui composent la société de l’époque sont le Tiers-Etat, la Noblesse et le Clergé. 7) L’« honnête homme », c’est celui