Croissance Déséquilibrée

3 Le modèle ivoirien et les obstacles à l’émergence de la petite et moyenne industrie (PMI) Jean-Marie CHEVASSU Introduction De l’Indépendance au début des années 1980, la Côte-d’Ivoire a connu une croissance économique remarquable. Le modèle ivoirien était souvent cité en exemple en Afrique de l’Ouest, et on lui attribuait les résultats du << miracle ivoirien >>. Cependant, ce modèle a engendré de graves déséquilibres économiques et financiers qui ont atteint leur paroxysme au cours des années

Analyse du risque pays PÉROU FRAGILITES DE LA CROISSANCE : risque maîtrisable Une nette décélération de la croissance, en raison de la crise économique internationale Entre 2001 et 2008, le Pérou a connu une croissance ininterrompue, tirée principalement par la croissance des exportations du secteur primaire (mines, pêche, agriculture, hydrocarbures) grâce notamment aux cours élevés des matières premières

du XX e siècle, puis remaniées marginalement après la Seconde Guerre mondiale. Ce modèle, conçu avec un objectif de rattrapage – donc de croissance forte – et dans un contexte de relative fermeture du marché domestique, s'est ordonné autour d'un État régulateur, de groupes industriels puissants et de ménages poussés au travail assidu et à l'épargne. Croissance et plein-emploi assuraient le bon fonctionnement du modèle. C'est ainsi que l'État, par le biais réglementaire, a protégé des secteurs domestiques

UNICITE ET DIVERCITE DU TIERS MONDE (Genèse d’un concept, émergence d’une réalité) NOTIONS ASSOCIEES NOTIONS CLES NOTIONS OPPOSEES Pays du sud Développement Industrialisation Faible croissance économique Sous développement Pays riches Endettement Le tiers monde, Les tiers mondes Pays du nord Aide internationale Monde bipolaire Pauvreté massive Pays non-alignés Analphabétisme Pays moins avancés NPI, pays émergents. Plan

ceux qui voudront bien en profiter. INTRODUCTION La notion du sous-développement s’est imposée comme réalité à conscience du monde dans la décennie des années 1950 parallèlement au désir des puissances industrielles de faire la croissance. Le monde contemporain oppose donc les pays développés aux pays sous-développés. S’il est aisé de définir ce qu’est un pays en pleine expansion, les réponses sont diverses et plus hésitantes pour cerner le sous-développement. On peut cependant

naissances. La mortalité évoluait peu, si l’on excepte les aléas climatiques et épidémiques. Elle s’est maintenue entre 25 et 35‰ durant la dernière moitié du XIXème siècle tandis que la natalité, fortement grevée par une répartition des sexes déséquilibrée, se situait toujours en deçà. Le changement de tendance qui se produit dès 1902 est à mettre en relation avec une fécondité dopée par un meilleur équilibre des sexes. Cependant, la mortalité limite l’accroissement de la population qui reste inférieur

des pays du monde, occupe une place importante dans l’économie nationale par ses effets sur la répartition du revenu, la stabilité de l’emploi, l’état de santé de la population, la productivité de la main d’œuvre et d’une manière générale sur la croissance économique. De ce fait, il existe des fortes relations et une interdépendance manifeste entre l’économie nationale et la sécurité sociale ce qui laisse croire que tout changement au niveau da la politique économique et sociale et de l’évolution

l'intellectualisation. IV. UNE CROISSANCE EQUILIBREE ET DESEQUILIBREE Approche équilibrée de la croissance Nurske [5] définit une stratégie dans laquelle un pays doit lancer simultanément un large éventail d'industries afin d’atteindre une croissance soutenue. Il vise à créer suffisamment d'emplois pour générer une demande pour de nouveaux produits industriels. Par conséquent, un investissement initial important est nécessaire. Sous approche de croissance déséquilibrée, Hirschman [6] pensait qu’il

Introduction générale Les micros et petites entreprises (MPE) créées et /ou gérées par les jeunes constituent une base essentielle du tissu productif national. Elles occupent une place de choix dans l’économie en contribuant de manière significative à la croissance économique, à l’emploi, à la lutte contre la pauvreté et au développement local et régional. Numériquement très importante, leur contribution socio-économique reste cependant largement en deçà des potentialités que peuvent faire valoir ce genre

artisanat, BTP, commerce, tourisme, NTIC, transports, services financiers…).[2] A cet égard, et face aux enjeux résultants de l’ouverture de l’économie nationale, le rôle de la PME est appelé à être renforcé en vue d’en faire le vecteur d'une croissance durable et génératrice d'emploi. D’où la nécessité de la conjugaison des efforts des pouvoirs publics en termes d'accompagnement des PME (réformes, cadre juridique…), mais également et surtout des efforts de la part des PME pour se mettre à niveau[3]