Croissance Externe Attijariwafa Bank Cbao

synthèse – Mars 2013 Conseil de la Concurrence Liste des abréviations AWB Attijariwafa bank BAM Bank Al-Maghrib BCM Banque Commerciale du Maroc BCP Banque Centrale Populaire BMCE Banque Marocaine du Commerce Extérieur BMCI Banque Marocaine pour le Commerce et l’lndustrie BNP PARIBAS Banque Nationale de Paris – Banque de Paris et des Pays Bas BPR Banques Populaires Régionales CAM Crédit Agricole du Maroc CBAO Compagnie Bancaire de l’Afrique Occidentale CDG Caisse de Dépôt et de Gestion CDG

Attijariwafa bank au 30 juin 2013 2 035 272 260 Communication financière 2013 Information Financière et Relations Investisseurs : Ibtissam Abouharia e-mail : i.abouharia@attijariwafa.com Résultats 13 13 RÉSULTATS CONSOLIDÉS au 30 juin 2013 Rentabilité maintenue et solidité financière accrue dans un environnement peu favorable Le Conseil d’Administration d’Attijariwafa bank s’est réuni le 05 septembre 2013, sous la présidence de M. Mohamed El Kettani pour examiner l’activité

tout au long de la réalisation de ce mémoire, ainsi que pour l’inspiration, l’aide et le temps qu’il a bien voulu me consacrer. Mes remerciements s’adressent également à Monsieur Amine Rouay, Contrôleur de Gestion au sein d’Attijariwafa bank, et surtout Monsieur Mohamed Ouaaba (responsable du capital humain) pour leur générosité et la grande patience dont ils ont su faire preuve malgré leurs charges professionnelles intenses. J’exprime ma gratitude à tous les autres contrôleurs

Remerciements L‘élaboration de ce rapport, viens parachever cette période de stage de fin d‘étude au sein d‘ATTIJARIWAFA BANK, pour l‘obtention d‘un Master Banque et Marchés Financiers à l‘Université Hassan II de Casablanca. Ce pourquoi, je tiens à remercier dans un premier temps, Mr. BENNIS Mohamed, pour la confiance qu‘il m‘a accordé et tout le temps qu‘il m‘a consacré tout au long de cette période. Participant à l‘acheminement de ce rapport, en m‘encadrant et orientant mes travaux. Je tiens à

d’organismes divers témoigne certes des réserves de l’époque quant à l’adoption d’un organisme à part entière en matière de concurrence et d’organisation des marchés. Mais elle traduit aussi les tergiversations inhérentes à un contexte où les pressions, externes et internes, en faveur de l’ouverture 11 Rapport Annuel 2013 de l’économie buttaient sur les déficiences en matière de préparation du climat propice à la diffusion de la culture de la concurrence. De la sorte, l’hésitation constatée dans la transformation

Africaine (UMOA) et de la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO). Cette décision est née de leur volonté de renforcer l'efficacité des Institutions communautaires, au regard des évolutions majeures de l'environnement interne et externe de l'Union depuis la précédente réforme réalisée en 1973. En outre, elle s'explique par le besoin de corriger les difficultés d'application de certains textes et la nécessité d'adapter les politiques de l'espace communautaire aux meilleures pratiques

Etablissements Financiers Association Professionnelle des Institutions de Garanties Africaines Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest Banque Européenne d’Investissement Banque Internationale de Développement de la CEDEAO Banque Mondiale Bank of Africa Banque Ouest Africaine de développement Bâtiment et Travaux Public Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest Fonds Africain de Garantie et de Coopération Economique Fonds Auto Renouvelable pour l’Emploi Fonds pour le Développement

Projet de développement et besoins de financement 63 6.8. L’épargne des entreprises 64 6.9. Autres Services Bancaires 66 6.10. Capital Investissement 66 6.11. Autres Services non financiers 66 6.12. Perspectives ouvertes par la Stratégie de Croissance Accélérée 68 7. Conclusions essentielles de l’étude 69 8. Implications et Recommandations 71 8.1. Implications pour le gouvernement 71 8.2. Implication pour l’autorité monétaire et de supervision 74 8.3. Implications pour les intermédiaires

exploitation de la plus grande mine d’or au Burkina, ainsi que la rénovation des installations de certaines sociétés opérant dans le secteur minier. La consolidation de la croissance économique est perceptible, à des degrés divers, au niveau de l’ensemble des pays, à l’exception du Bénin et de la Côte d’Ivoire. TABLEAU N°1 : TAUX DE CROISSANCE RéEL DU PIB DANS LES ETATS MEMBRES DE L’UEMOA Bénin Burkina Côte Guinéed’Ivoire Bissau 2009 2010 2,7% 2,5% 3,2% 7,9% 3,8% 3,0% 3,0% 3,5% Mali Niger Sénégal Togo UEMOA

arabe de Tunisie Centre africain d’études supérieures en gestion BIMAO CICID Banque des institutions mutualistes d’Afrique de l’Ouest Comité interministériel de la coopération internationale et du développement (France) BK AM Bank-Al-Maghrib (Maroc) CIF AMMC BM Confédération des institutions financières (UEMOA) Autorité marocaine du marché des capitaux Banque mondiale CMF BNPP Conseil du marché financier (Tunisie) ANTIC BNP-Paribas Agence