Cruauté

cette scène n'est pas à la fois ironique et tragique? Afin de répondre nous verons tout d'abord qu'il y a un duel entre Camille etPerdican, puis qu'il n'y à pas d''échappatoires pour les personnages et enfin que Camille fait preuve d'une grande cruauté lors de cette scène. On assiste à un duel entre Camille et Perdican, avec uneaccumulation de négation et de nombreuses anaphores, 'Je n'ai pas cherché', 'je n'ai pas répété, 'je n'ai pas feint' etc... De nombreuses reproches, des passages du vouvoiement

"L'aveugle" Guy de Maupassant est un autuer de la seconde moitier du 19éme siecle . C 'est un auteur réaliste l'aveugle est une nouvelle, c'est l'histoire de son horrible et "blamche"mort .Mais qui dénonce aussi la cruauté des gens à cette époque contre les cecité.nous étudirons comment maupassant crée une montée de suspence et de tension dramatique et pour finir nous montrerons enquoi c'est une mort "blanche"  Maupassant crée une montée de suspence mais aussi il crée de la tension dramatique 

rapace, qui engendre le mépris et la haine tout ensemble. Chapitres XVII De la cruauté et de la clémence, et s'il vaut mieux être aimé que craint Continuant à suivre les autres qualités précédemment énoncées, je dis que tout prince doit désirer d'être réputé clément et non cruel. Il faut pourtant bien prendre garde de ne point user mal à propos de la clémence. César Borgia passait pour cruel, mais sa cruauté rétablit l'ordre et l'union dans la Romagne; elle y ramena la tranquillité et l'obéissance

champs sont communs à chaque œuvre. Tout d'abord, le champs lexical de la femme et des termes servant à définir la Dame en question. Chez Ronsard (« maistresse », « belle » (v. 1) ; « dame », « cruelle » (v. 5) ; « sa douce beauté » (v. 9) ; « sa cruauté » (v. 10)) et chez Brassens (« jolie fleur », « peau d'vache » (v. 5), « pas de tête » (v. 17), « peste » (v. 28)), la femme est tout autant considérée comme belle que cruelle. Il y a aussi le champs du corps humain, afin de définir les atouts de

critique du filmLa Petite de Louis Malle, parue dans Télérama n0 2959 en septembre 2006 et écrite par Frédéric Strauss. Il s'agit d'un texte informatif. Ce document résume l'histoire du film, celle d'une filletteprostituée. Ce texte présente la cruauté de cette vie. L'idée que l'argent est à l'origine de cela est également présente.1.2. Le deuxième document est une photographie d'une partie de fresque, prise par Élisabeth Deliry Antheaume au Cap en 1998. Cette fresque aété réalisée par des enfants

cette marque révélatrice. (1point) L’aspect de sa personnalité qui apparaît sur le portrait est son côté sombre, monstrueux, sa cruauté.L’auteur insiste sur cet élément en le répétant à trois reprises dans le texte : « une ombre de cruauté » l.6, « les rides de cruauté » l.11 et « cette touche cruelle » à la fin du texte. 3- Envous appuyant sur le point de vue et le lexique utilisés, analysez comment l'auteur, dans le premier paragraphe, nous fait partager les doutes de Dorian Gray. (4 points)

volontairement pour infliger une forte souffrance à un individu. Le fait de souffrir est un véritable supplice pour celui qui l’endure. Tous les peuples de tous les temps ont appliqué se système en l’adaptant selon leur croyance, leur gouvernant, leur cruauté ou leur idées. On retrouve ces pratiques dans la fable de Jean de la Fontaine, Les Animaux malades de la peste, de 1678, ou bien dans Candide, roman de Voltaire en 1759 ou même encore toujours chez Voltaire en 1764 dans l’article « supplices » du

les mets sur le gril, on les noie, on les jette à des chiens... » dénonce le comportement des espagnols     B. Il dénonce pour faire réagir   ▪ Met en avant la soif d’or des espagnols par l’anaphore « de l’or » ▪ Champ lexical de la cruauté : « massacres, assassinent, cadavres, extermination » il veut faire réagir ▪ Registre pathétique p56 qui souligne la mort ▪ La comparaison « comme des bêtes d’abattoir » met en avant le sadisme que Las Casas veut dénoncer     II. La religion

Me voilà libérer du camp de concentration de Buchenwald. Ce que j’y ai vécu, Max, est au-delà d’horrible. La cruauté en ce lieu n’avait pas de limite, les premiers mois je priais sans arrêt, je me raccrochait à mes souvenirs, à la vie. Et je compris enfin, Max, mon erreur d’avoir pu me laisser intégrer cette idéologie ; Comment ai-je pu être en accord avec ces massacres, avec cette cruauté ? Tu avais pourtant essayé de me résonner, j’ai été idiot et inconscient. Avant d’arriver à Buchenwald je pensais

l’immortaliser 2) Présenter le texte Dans le sonnet « quand vous serez vieille… », le poète invite la belle et fière Hélène à «cueillir les roses de la vie » après lui avoir fait voir, non sans une certaine cruauté, la vieille femme qu’elle sera un jour 3) Problématiser et annoncer le plan Comment cette cruauté s’exprime-t-elle et dans quel but Ronsard évoque-t-il de manière aussi sombre la vieillesse d’Hélène ? 1/ Représentation de la femme dans le poème 2/ La stratégie argumentative mise en œuvre par