Crédit Mutuel Concurrence Directe Indirecte

bien-être). * Opportunités Nos clients sont des entreprises de moins de 250 employés qui eux mêmes proposent nos services à leurs salariés. Le marché étant en plein expansion, il sera facile pour nous de nous implanter tout en veillant à la concurrence de plus en plus féroce. * Création de valeur En faisant appel à nos services, l’entreprise aura un gain der performance étant donné que les employés ne seront plus focalisés sur leurs problèmes personnels mais pourront se consacrer à temps

microcrédit Le microcrédit n’est pas une invention récente. Avant l’apparition de la pratique moderne du microcrédit il y a quelques décennies, il existait déjà depuis plusieurs siècles des institutions formelles comme les caisses d’épargne et de crédit ou des banques coopératives pour les plus pauvres apparues au 19ème siècle dans les pays développés ou des institutions informelles comme les tontines ou des prêteurs de village dans des différentes parties du monde. Le mouvement de la microfinance

1637 Effondrement du cours des tulipes à Amsterdam, considéré comme le premier krach financier des temps modernes. 1744 Les pasteurs écossais Wallace et Webster inventent les fonds de pension. 1852 1859-1864 Création du Crédit mobilier et du Crédit foncier. 1864 1931 Création des contrats à terme à la Bourse de commerce de Chicago. 1933 Adoption aux États-Unis du Glass-Steagall Act qui sépare les activités de banque de dépôt et celles de banque d’investissement. 1945

contrôle des assurances et des mutuelles (ACAM), l’ACP est une autorité administrative indépendante adossée à la BDF, Elle est chargée de l’agrément et de la surveillance des établissements bancaires et d’assurance (application des procédures) dans l’intérêt de la clientèle et de la préservation du système financier (vérifie la situation financière des établissements) . L’ ACP coopère également avec l’ AMF L’ ACP est compétente pour les établissements de crédit, les entreprises d’Investissement

du secteur bancaire fait qu’il soit moins ouvert à la concurrence que d’autres, et que les règles de concurrence permettent d’autoriser des coopérations et des ententes à un certain niveau. Les informations issues de l’étude documentaire seront affinées, dans la seconde étape, par les entretiens réalisés auprès des différents acteurs du secteur bancaire, à savoir, BANK AL-MAGHRIB, BANQUES, SOCIETES DE FINANCEMENT, ASSOCIATIONS DE MICRO-CREDIT, GPBM, APSF, FNAM, MENAGES, ENTREPRISES, CCG, MINISTERE

FONCTIONNELLE : 8 1.Organigramme : 8 2. la structure mixte : 9 3. les structures modernes : 10 4/ la structure participative : 10 VII/ L’ENVIRENNEMENT DE L’ENTRPRISE : 11 A/ Les données de l’environnement de l’entreprise : 11 1. Une concurrence vive : 11 2. Une tendance à la concentration : 11 3. Un financement d’origine difficile : 11 4. Une demande informée et exigeante : 11 B/ L’environnement national de l’entreprise : 11 1. le cadre local et régional : 11

la législation en matière d’assurance s’est opérée dans le cadre de toute une réforme économique et institutionnelle : - La loi de 1989 sur la privatisation du secteur public - Le dahir du 06.07.1993 relatif à l’exercice des établissements de crédit et à leur contrôle (Loi bancaire), modifiée par la loi de 2006 - Les trois lois du 21.09.1993 sur le marché des capitaux ont apporté des innovations au niveau de l’organisation et de la gestion de la bourse ainsi que les conditions d’exercice des

produits homogènes. Les situations de cartel nuisent nécessairement aux consommateurs qui ne peuvent profiter des effets positifs d'une véritable concurrence entre les vendeurs d'un même marché. C'est une pratique anticoncurrentielle car le but de cette collusion est d'accroître les bénéfices de membre par la réduction de la concurrence. Les lois sur la concurrence interdisent les ententes et donc les cartels. Un cartel entre plusieurs entreprises sur un marché oligopolistique peut représenter une entente

PREMIERE PARTIE : DU PRINCIPE DE PLEINE CONCURRENCE A LA THEORIE DES PRIX DE TRANSFERT……………………………………………………. 13 I- MISE EN ŒUVRE DU PRINCIPE DE PLEINE CONCURRENCE ……………………….. …………… 14 1- Le principe de pleine concurrence…………………………………………………………….. 15 1-1 Exposé du principe de pleine concurrence…………………………………… ……... 15 1-2 Les limites du principe de pleine concurrence……………………………………….. 17 1-3 Maintien du consensus international autour du principe de pleine concurrence…….. 18 2-Analyse de comparabilité ………………………………………………………………………

connaissances et les traits de caractères|-pas de compétences techniques, pas de domaine d’investissement-Dépendance des autres, vulnérable| les compétences et les traits de caractères|- Sans connaissances (clientèle, marché et tendances), la concurrence peut le conduire à l’échec | DIRECTION GÉNÉRALE · Fixer les objectifs, supervise, coordonne et vérifie l’état d’avancement de toutes les activités · Développe et encourage l’esprit d’équipe · Manage tous les directeurs · Prend les décisions