Créon Hémon Sophocle

l'Alouette (1953). Son œuvre théâtrale est particulièrement abondante et variée : elle est constituée de nombreuses comédies et d'œuvres tragiques. | Date de création | La pièce Antigone était au départ un texte vieux de 2400 ans écris par Sophocle mais Anouilh l'a reprit l'a remise au jours en y mettant des événements contemporains. Anouilh l'a écrite en 1942 mais elle a été censuré par Hitler (car elle évoque la résistance d'un individu face à l'État) donc on a pu la jouer que deux ans après

George Steiner dans Les Antigones étudie, avec la science et l'intelligence qu'on lui connaît, les visages d'Antigone. La présente étude a pour objet de soulever des objections concernant la lecture par Kierkegaard de la tragédie de Sophocle, et l'interprétation qu'en donne Steiner. Il faut d'abord résumer le propos de Steiner: Kierkegaard avait lu Hegel, la Phénoménologie et l'Esthétique en particulier. Quelle est l'essence du tragique ? La responsabilité, l'acceptation de la culpabilité. Dans

sur Thèbes un an chacun en alternance. Mais Étéocle refuse de laisser le pouvoir à Polynice lorsque son tour arrive. Polynice lève par conséquent une armée en s'alliant à d'autres cités afin de reprendre le pouvoir, et les deux frères s'entretuent. Créon, leur oncle et successeur, rend hommage à Étéocle en lui offrant de grandes funérailles, mais laisse le corps de Polynice sans sépulture, l'accusant de trahison et d'avoir attaqué Thèbes, lui interdisant ainsi l'accès aux Enfers et laissant son âme

mains des gardes, p. 55-60. Scène 8 : …………………………………………………………………………………………………. Scène 9 : …………………………………………………………………………………………………. Scène 10 : Coup de théâtre : Ismène veut mourir avec sa sœur, p. 97-99. Nouvelle intervention du chœur : l’impuissance de Créon, p. ……………………………………….. Partie IV : Le destin en marche, p. ……….. Scène 11 : Père et fils, p. ………………………………………………………………………………… Scène 12 : ……………………………………………………………………………………………….. Scène 13 : Dialogue de sourds entre le garde et Antigone, p. 106-117

gouverner un an à tour de rôle et erre avec sa fille Antigone jusqu’à sa mort. A son retour à Thèbes, où elle doit épouser Hémon, le fils de son oncle Créon, la guerre éclate. Son frère Etéocle ne souhaite plus céder son trône à son frère Polynice au bout d’un an. Les deux frères entrent donc en guerre l’un contre l’autre, dans la Guerre des sept clans et meurent en s’affrontant. Créon, qui prend la tête de Thèbes, offre une sépulture à Etéocle, mais laisse le cadavre de Polynice pourrir en exemple de

personnage, elle produit un effet d'étrangeté par divers procédés de recul, comme l'adresse au spectateur. Ce dernier procédé est adopté par Jean Anouilh dans son adaptation de la pièce théâtrale Antigone de Sophocle. L’œuvre de Jean Anouilh apporte une nouvelle vision de celle de Sophocle. Le prologue sera l'un des élément qui affirment cette nouveauté. A l'origine, Le prologue signifie "pro-logos", c'est à dire avant le discours et avant l'action. il remplit la fonction de présentation. Cela

tragédie met en scène, bien souvent, des personnages exceptionnels. Tout est dans la démesure, notamment leur statut social : les personnages sont divins, légendaires, rois… Le personnage de Créon par exemple dans Antigone de Sophocle, est le roi de Thèbes, ou encore celui d’Antigone même, fille d’Œdipe et nièce de Créon. Les personnages tragiques sont également extraordinaires par leur caractère et leurs actes. Médée, héroïne de la pièce éponyme de Sénèque, illustre parfaitement cela : elle tue ses propres

leur chapeau sur la nuque, ce sont les gardes. » Sophocle est né en 495 Av JC et meurt en 406 Av JC, les premières traces de jeux de cartes remontent au VII° siècle. Il est donc très peu probable que Sophocle y est déjà jouer. Cet anachronisme, met en valeur l’indifférence des gardes de ce qui ce passe autour d’eux dés le début de la pièce. Ils font juste leur boulot. Ensuite la petite pelle retrouver ver la tombe de Polynice L’Antigone de Sophocle n’allait surement pas à la place avec sa petite

SOPHOCLE ANTIGONE Traduction de René Biberfeld ANTIGONE Ismène, ô ma sœur, toi qui es si chère à mon cœur, Sais-tu, de tous les maux qu'Oedipe nous a légués, Lequel Zeus nous réserve, tant que nous sommes encore en vie ? Il n'est rien de douloureux, rien qui n'entraîne son poids de malheurs, Ni de honteux, ni d'humiliant que je n'aie vu S'ajouter à tes maux ainsi qu'aux miens. Qu'est ce à présent que cette déclaration à tous les citoyens, que le chef De notre Cité vient, à ce qu'on dit, de faire

et Ismène. Les dieux, qui ont longtemps favoriser le règne d'Œdipe, s'aperçoivent soudain, dans un spectaculaire accès de mauvaise foi, que ce roi est un meurtrier. Jusqu'au jour où la peste ravagea le pays. Œdipe, innocemment, envoie son oncle Créon à Delphes, et l'oracle de Delphes proclama que le meurtre de Laïos devait être puni et que la maladie ravagera la cité tant que son meurtre ne sera pas vengé. Œdipe prononce alors contre le meurtrier une malédiction sauvage, et consulte le devin Tirésias