Culte des ancêtres

unité, la constitution de règles entre les hommes. En effet, une « société » est un regroupement d'individualités structuré par des liens de dépendance réciproques. La religion, de l'étymologie "religare" signifiant "relier", quant à elle est le culte rendu à la divinité, elle repose sur un corps de doctrines qui sont objets de foi qu'on appelle dogmes. Ce sont des contenus spirituels auxquels le croyant adhère sans les remettre en cause car le divin s'est révélé en eux. Chaque religion a son orthodoxie :

terme qui désigne la maison). La grande maison est en fait constituée de plusieurs bâtiments, chaque ménage ayant son intimité. Ils sont regroupés autour d'une cour commune. Thakkarrubth, la fraction, est un groupe de familles étendues ayant un ancêtre commun masculin de 4ème ou de 5ème génération. Les membres masculins de cette cellule sociale se considèrent comme des frères. Parfois autour de celle-ci se trouvent des groupes clients, portant d’autres noms de famille, mais intégrés de longue date

restreint que toute représentation impose en limitant les virtualités du texte à une vision unique. À l'inverse, des auteurs comme Antonin Artaud tentent de retrouver l'identité autonome du théâtre : les mouvements gestuels et la danse seraient les ancêtres du théâtre oriental et occidental. On trouve à l'origine du théâtre toutes sortes de rites et de danses magiques, ayant un rôle religieux, et qui subsistent encore chez certains peuples dits primitifs. L'emploi de la danse d'abord, avec ce qu'elle

épique puisqu’il se compare à Alexandre le Grand et il termine avec une envolée lyrique et hyperbolique « je souhaiterai…amoureuses ». Dom Juan détourne les préceptes de la noblesse d’une façon ironique car il détourne en faite les préceptes de ces ancêtres chevaliers qui nous montre à quel point ce personnage est pervers. II Un autoportrait paradoxal Le paradoxe se joue en Dom Juan dans le fait qu’il se représente en victime de la beauté féminine mais aussi il se compare à Alexandre le Grand

citoyens sont supérieurs aux autres habitants libres. Dans le groupe des citoyens, plus une famille est ancienne, plus elle est prestigieuse. Pour montrer cette ancienneté, les patriciens se faisaient toujours représenter avec les bustes de leurs ancêtres. 2) Dans l'empire romain, la société est très hiérarchisé. On peut représenter cette hiérarchisation dans une pyramide. En bas de la pyramide se trouve les habitants libres, ils ne possèdent aucun droits. Au dessus d'eux, se trouve les plébéiens

nouveau, le monde né de la colonisation, l’espace, y compris l’espace religieux, se recomposait. Pour leur part, ils ont essayé de reconstituer quelque chose de la double centralité exprimée par le christianisme : centralité dans l’organisation du culte lui-même (l’autel), dans l’organisation du paysage (l’église) et centralité planétaire (allusion à la Nouvelle Jérusalem, résurrection d’un nouveau Christ ou tentative d’adhésion à une église existante). J’ai mieux compris la nature de ces enjeux lorsque

polythéiste. Cf ouvrage sur la Nature des Dieux en -44 -> attitude des Romains face à la divinité et aux dieux, à l’empereur (sans qu’il soit pour autant un dieu -> culte rendu à l’emp sans qu’il soit dieu). Religere=relire -> religio, c’est ce qui s’accomplit qd on pratique un certain nb de rites dans la mémoire, dans la tradition de ses ancêtres. Pour C, on est dans une mémoire et dans une pratique, pas du tout comme aujourd’hui, dans une croyance. P. Veyne -> Les Grecs coryaient-ils à leurs mythes

permettent de voir les sujets de préoccupation. Ces os vont aussi nous donner les noms des devins, et le calendrier. Tous ces os vont aider aussi à connaître le panthéon divin. La divinité suprême est Di, qui contrôle un peu tout. Un culte va également être rendu aux ancêtres, qui peuvent influer sur la vie des gens. Ces rites vont être rendu avec une vaisselle de vases de bronze. Ils vont recevoir des inscriptions à l'intérieur. L'écriture fait son apparition à peu près en même temps sur les os et sur

cours royale pour montrer à VIDAHO LES BIEN FONDE de la culture DAHOMEENNE . En effet le roi conta L’histoire selon laquelle son ancêtre qui a tué ‘’dan’’ pour justifier la colère et les tueries des rois de DANHOMEY .ainsi dit –il : « … TON amoralité a dépassé le seuil du tolérable. Notre royaume est fondé sur la punition de l’insolence de DAN… qui a osé dire à mon ancêtre qui réclamait un peu de terre pour l’extension de son domaine, de venir bâtir dans son ventre. »Il va plus loin et ajouta « 

Révolution économique et culturelle ( Adaptation I. LE PALEOLITHIQUE (100’000 à 12’000ans) Durant cette période l’Homme évolue. 2 types de populations : - Neandertal : le Neandertal a disparu. - Cro-Magnon : le Cro-Magnon = ancêtre des Hommes Disparition de Neandertal qui laisse la place à Cro-Magnon. (Volumes crâniens équivalents mais connexions C-M >> Neandertal) Plus y il a de connexions, plus les hommes s’adaptent ! Ces deux catégories connaissent le feu :