Culturalisme

donc pas des cultures qui se trouvent en contact, mais des individus en interaction, et chacun réagit différemment aux stimuli qui lui viennent des individus porteurs d'autres civilisations ; ainsi la perspective psychologique se glissait dans le culturalisme nord-américain et allait donner lieu à bien des travaux. Certains ont insisté sur la « personnalité de base » (Kardiner) ; aux première et deuxième générations, les changements de comportements restent à la superficie de la personnalité qui n'est

vierge, et on s’oriente vers un genre. Preuve : lorsque l’on adopte un enfant d’une culture étrangère, l’adoption sera d’autant mieux réussi que l’enfant est adopté en bas âge. Ce courant est né pour contrecarrer certains mouvements racistes. Le culturalisme s’accompagne d’un relativisme culturel. Si on considère que tout est culturel à nous, alors on admet l’idée que à chacun sa propre culture, ses valeurs culturelles. D’où on s’interdit de juger des cultures dont les valeurs sont différentes des

(matrilinéaire) Résidence : matrilocale (lorsque l’on vit au sein du groupe de la femme après le mariage. III Néo évolutionnisme, aux USA au XX°s De nombreux auteurs s’opposent à la manière dont l’anthropologie pense l’histoire de l’humanité. S’oppose au Culturalisme. S’intéresse plus à l’environnement, des relations entre les êtres humains et leur environnement. CF Leslie White (1900-1975) : Matérialisme culturel : perspective énergétiste de l’évolution. =Sources de production d’énergie par les membres d’une

pour le tracé de l’Avenue de Tervuren ou du boulevard du Souverain. On peut remarquer que les projets de Besme seront bien mieux réalisés à l’Est qu’à l’Ouest. 19. Un débat urbanistique au 19ième siècle et au début du 20ième : Modernisme vs culturalisme Face aux grands projets urbanistiques massifs de la grande bourgeoisie et de Léopold II, voulant faire de Bruxelles une grande ville bourgeoise reflétant la réussite internationale de la Belgique, une réaction bourgeoise va se créer en 1880 avec

Apparudai, si la mondialisation permet la création de nouveaux territoires ethniques, et favorise l’hybridation culturelle, elle n’est donc pas, en dépit des idées reçues, une uniformisation culturelle. Il critique en ce point la vision déterministe du culturalisme, en effet la culture n’est pas à prendre comme un objet mais se révèle être un « instrument utilisé par les groupes culturels ».

mondiaux et grâce aux luttes menées par les colonies pour leur indépendance et leur droit à la différence, les sciences humaines se sont remises en question et ont partiellement remplacé le concept d’évolutionnisme par ceux de relativisme et de culturalisme. Il s’agit de reconnaître que toutes les cultures sont dignes et qu’il n’y a pas de hiérarchie entre elles. On tente de dépasser l’ethnocentrisme, cette attitude qui consiste à juger la culture de l’autre à partir de nos propres critères culturels

reconnaître parmi les sociétés contemporaines des cultures hautement civilisées et d'autres qui le sont moins. » III. Les différentes approches de la socialisation B. Les cultures sont-elles rigides ou en constantes évolutions ? 1. Le culturalisme  Le culturalisme se développe aux États-Unis dans les années 1920, il conçoit la culture comme rigide et modelant la personnalité des individus. Ce courant tire ses conclusions de l'observation de sociétés primitives. Ruth Benedict, une des figures

autrui est marqué par la différence et non la ressemblance de comportement. L’éthique basée sur des différences ne peut être que différente. 6) Différences « culturelles » et culturalisme p51 L’éthique contemporaine : L’autre est identifié comme différent. Le fondement de l’éthique contemporaine est le culturalisme et sa fascination pour les différentes cultures existantes. Ces différences n’apportent rien à la pensée en tant qu’elles marquent une évidente multiplicité de l’être humain. L’éthique

fin des années 60 : asseoir les ambitions de la sociologie C – La sociologie contemporaine : explosion de paradigmes II. De la macro à la microsociologie, les principaux courants investis aux Etats-Unis. A – Fonctionnalisme B – Culturalisme C – Interactionnisme symbolique D - L’ethnométhodologie III. Dépasser les oppositions et les réflexions des sociologues français Opposition en Bourdieu et Boudon, opposition entre les manières de comprendre les problèmes français

rajoute les européens du sud et de l'est (catholique et orthodoxe). Puis viennent ensuite s'ajouter les autres populations, qui forment les minorités (Afro-américains, hispaniques, asiatiques et natives) qui renforcent considérablement le multi-culturalisme et surtout, le rendent visible. En 1914, les États-Unis adoptent une politique de quotas, qui leur permet de réguler l'immigration, mais surtout d'un apport d'une élite attirée par le "brain drain". Tout ces factures, font des USA, un "melting