Culture Homme Instincts

4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible

héréditaire de certains comportements. Par exemple le comportement particulier présenté par chaque espèce pour se reproduire ou élever ses jeunes. Mais à cette définition, somme toute descriptive, la nouvelle théorie ajoute plusieurs propriétés: les instincts (i) font partie de l'adaptation des espèces à leurs milieux, (ii) ils peuvent être analysés dans les termes d'"inné" et d'"acquis", (iii) enfin, seulement disponibles à des phases précises du développement de l'individu, chacun dépend d'une "énergie

ce qu’il pense et, bientôt, refus de l’autre parce qu’il est. (….) L’intolérance n’est sans doute pas plus répandue qu’elle ne l’était jadis au contraire même elle marque depuis toujours l’histoire de l’espèce. Elle s’apparente peut-être à cet instinct de possession et de sécurité qui pousse l’animal à défendre son territoire contre toute intrusion. Allant au-delà de l’esprit de conquête qui s’en prend aux biens, elle conduit à la domination*. A l’extermination car dès lors qu’il existe. L’autre

l’Homme ? Qu’est-ce qui va l’a guidé vers ce qui est bien et l’éloigner de ce qui est mauvais ? La bonté désigne un caractère de ce qui est conforme à l’homme, et suppose quelque part un altruisme. Cette bonté peut avoir des origines diverses, car tout Homme, est la position et dispose de la liberté de pouvoir choisir, vers où s’orienter. Dans le cas, où le religieux intervient, cela en effet fixe, une certaine limite assez claire. Mais en dehors de cela qu’est-ce qui va permettre, à l’homme livrée à lui-même

le désir de connaissance est un désir purement intellectuel. Ainsi, en suivant cette pensée construite sur une gradation d’intensité allons-nous mesurer le risque philosophique mais aussi l’intensité de la vie du penseur. « Il vient pour tout homme une heure où il se demande avec stupéfaction » : c’est par la nécessité de l’étonnement que s’ouvre le texte, étonnement exclamatif portant sur la possibilité de la vie : « Comment peut-on vivre ? » Cette question-exclamation souligne le caractère

(Marx) 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) II. La liberté intérieure A. L’origine du concept de liberté intérieure B. La liberté de vouloir 1. La liberté des Stoïciens 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) C. La liberté de penser 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 2. La libération par la raison (Spinoza) 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant)

RHINOCÉROS DE EUGÈNE IONESCO Biographie • Eugène Ionesco est né en 1909 d'un père Roumain et d'une mère Française. Ses parents se séparent quand il a 6 ans, et il est ballotté entre la France (Paris où il découvre le cinéma, la culture) et la Roumanie. Finalement, il s'installe en France en 1942. • Très tôt, Eugène découvre le théâtre guignol (~ farce, bruits, se tape dessus, exagération, comique...) et il reprend certains de ces éléments. • Vers 10 ans, il écrit déjà de la poésie en roumain

Jugement morale de DJ Accumulat ° d’expressions « je t’apprends inter nos […] hérétique » ► forme le portrait de DJ « Chien, pouceau, bête brute » ►comportement animale Il est représenté mi-homme, mi-bête « loup-garou » ► a un caractère monstrueux « scélérat », du latin scelus (=crime) ► a aucune morale et suit ses instincts Il ne respect pas la religion commune : → « hérétique qui ne croit ni ciel ni enfer » → « Pourceau d’épicure » ► celui qui crée libertinage au sens morale (= monde pas par religion

conservation est l’expression d’un conservatisme appelé « mauvaise conscience ». Les instincts animales de l’’homme vont s’exercer contre soi et devenir morale social, l’interdit qui porte sur le meurtre ou le désir fait que les instincts de vie devienne de conscience social. Les instincts retournés contre lui même deviennent loi intérieure. La société est un enclos de domestication de l’homme par l’homme où les instincts se retourne contre l’homme lui même. De sorte tout ce que je désire va créer « 

et une collectivité, car choisit-on qui l’on est, qui l’on veut être, et peut-on devenir un autre ? En d’autres termes, il s’agit d’envisager l’identité à partir de ce constat : l’individu n’existe pas en dehors d’un collectif (famille,société, culture, époque) qui détermine ce qu’il peut être ou devenir. Cependant, l’expression « devenir soi-même » nous amènera à nous interroger sur la part d’initiative de l’individu dans la construction de soi : dans quelle mesure puis-je être tenu pour responsable