Cupidon

restaurée en 1982 * Technique : tempera sur bois * Analyse : Vénus, illustrant la déesse de l’amour ; Flore, peinte dans une robe mêlant les imprimés florales et les vraies fleurs ; Zéphyr tirant Chloris ; les 3 Grâces formant une ronde ; Cupidon tirant une flèche sur les 3 Grâces ; Chloris soufflant sur Flore ; Mercure tirant un caducée vers les nuages. Décor : prairie semi-circulaire où abondent les herbes et les fleurs peintes sur un fond sombre. 8. La naissance de Vénus : première

un langage précieux, courtois qui a pour but de retarder l’aveu. Ce retardement de l’aveu est dû à la peur de celui-ci, à la crainte d’avoir un amour propre blessé et donc d’un rejet. Arlequin personnifie l’amour qu’il porte à Lisette (« Eros », « Cupidon », «petit ange »). Arlequin fait trois apartés dont le seul témoin est le spectateur parce qu’il sait qu’il peut être rejeté. Lisette à force de se frotter à sa maîtresse n’est ni une domestique ni une fille de condition, elle a acquis un vernis social

ici conçu comme un destin : c’est une force qui s’empare de nous et à laquelle il est illusoire de vouloir résister. Allusions très fréquentes à Cupidon avec les idées suivantes : l’amour est aveugle ; il est assimilable à un ange ou un oiseau (métaphore très fréquente dans la pièce : l’amour est alors léger et l’amant lui-même devient cette sorte de Cupidon capable de franchir les murs des vergers et de grimper au balcon de Juliette, « sur les ailes légères de l’amour » + l’amour réel est élévation

| |choix de 2 thèmes | | |allusion mythologique à Aphrodite ou Vénus, mère d'Eros ou | |reprises // | | |de Cupidon (qu'elle a eu avec son amant Arès ou Mars), | |v. 1, 2 - 5, 6, chacun | | |elle-même déesse de l'amour, née de l'écume de la mer | |des hémistiches du v. 2 |homophones

précipitation fait perdre le fil de l’intention. Dans la vie, la rencontre d’une difficulté ou d’un obstacle se manifeste par l’immobilité. Le mouvement est arrêté. Il en va de même pour tout moment fort, comportant un enjeu important. La flèche de Cupidon est édifiante à ce sujet. Ce sont des moments qui nous ramènent à nous, loin des codes, et qui s’abordent avec patience et lucidité. La danse Butô est l’expression du Duende, décrit par Frederico Garcia Lorca.

Cour. «Plaire et instruire» (Horace, «placere et docere»), tel est le but de La Fontaine. En 1669, il publie un roman révolutionnaire, mêlant mythologie et conversations littéraires, vers et prose, parut sous le nom de Les Amours de Psyché et de Cupidon. Suite à cette publication, il écrira Les Nouveaux Contes qui seront interdits. En réponse à cette censure, il publiera des poèmes religieux comme Daphné, bénéficiant de la pension de Madame de La Sablière, sa nouvelle protectrice. En 1684, il atteint

consiste à parler d'un objet inanimé comme une personne. Ex: "Les livres dormaient sur la bibliothèque". IV) L’Allégorie : L'allégorie est la personnification de quelque chose d'abstrait, une idée, un sentiment, une raison,... Ex: L'amour: Cupidon Ex: la mort: « la grande faucheuse". PARTIE 2 : Les figures de substitution I) La métonymie La métonymie est aussi appelée "la partie dans le tous", c'est-à-dire évoquer un objet par une partie (symbolique) de celui-ci. Ex: "les voiles au

Sequence-Rabelais-rire.odtÉléments pour la Querelle des Anciens et des Modernes 1669 • La Fontaine, Les Amours de Psyché et de Cupidon 1674 • Querelle d’Alceste, opéra de Quinault et Lulli, représenté le 19 janvier au Palais Royal. → Charles Perrault, Critique de l’opéra ou examen de la tragédie intitulée Alceste ou le triomphe d’Alcide. Il prend la défense de l’opéra et montre sa supériorité sur la pièce d’Euripide dont il est inspiré. → Racine, préface d’Iphigénie. Tente de réconcilier les Modernes

ce thème avec l'existence des Dieux, ligne 8 « elle (Cosrou) a promis aux Dieux ». Quels vers pourraient illustrer parfaitement la gravure de Gustave Doré ? Je penses qu'au vers 2-3 « les ailes » pourraient être un synonyme des ailes de Cupidon caché derrière l'arbre, donc ces vers peuvent parfaitement illustrer la gravure de Gustave Doré.

la fausse mort d'Oreste. Ils profitèrent de l'agitation causé par la nouvelle pour pénétrer dans le palais et Orestre tua Egisthe et sa mère Clytemnestre. Pour ces actes Orestre fut condamné par le tribunal de l'Aréopage et Electre fut épargné par Cupidon. Profitant de sa liberté Electre protégea son frère des Erinyes. Les Erinyes sont les déesses de la vengeance du crime, ce sont les Furies chez les romains. Giraudoux : Jean Giraudoux naît en 1882 à Bellac en Haute Vienne. Il fréquente le lycée de