Curiosité

théorie concernant la névrose obsessionnelle. Importance de ce cas pour Freud pour 4 raisons : 1. Rencontre à occasion succès thérapeutique. 2. troubles obsessionnels marqués. 3. Richesse symptomatique. 4. 1ère application association libre. 2. Curiosité sexuelle infantile et expériences précoces →Souffrance : symptômes obsessionnels => graves inhibitions, entrave vie quotidienne, avec difficultés pour finir ses études, sur plan professionnel, sentimental (repousse son mariage) et sexuel. →Troubles

étudier, l'un des Persans raconte une aventure personnelle. A travers le genre épistolaire et le thème du regard, ce texte propose une réflexion philosophique. Lecture du texte RICA AU MEME.   

A Smyrne.     Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel: vieillards, hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se mettait aux fenêtres; si j'étais aux Tuileries, je

et c'est apparemment ce qui excite la curiosité de ces bons paysans. J'aurais passé après cette explication, si je n'eusse été arrêté par les exclamations d'une vieille femme qui sortait de l'hôtellerie en joignant les mains, et criant que c'était une chose barbare, une chose qui faisait horreur et compassion. De quoi s'agit-il donc ? lui dis-je. Ah ! monsieur, entrez, répondit-elle, et voyez si ce spectacle n'est pas capable de fendre le cœur ! La curiosité me fit descendre de mon cheval, que je

Micromégas. C. La rencontre de deux univers. Le dialogue n'amène pas à une confrontation mais à une rencontre, un échange. Il y a une curiosité intellectuelle qui amène l'instruction mutuelle, à un échange d'information. La structure du dialogue est très claire. Cette rencontre et cette curiosité est à mettre sur le compte de la philosophie (tolérance et curiosité intellectuelle). II - Le propos explicite A. La diversité de la nature. Cette diversité est le fil conducteur de la conversation : Elle

Mme Arnoux • Un portrait pictural de l’inconnu • La maladresse de Frédéric • Un personnage qui apparait dans une certaines démesure (curiosité sans mesure, ..) I. Portrait de l’inconnu a. Une description extérieure de la femme b. La description idéalisée du personnage principal II. Une passion sans limite a. Le coup de foudre b. Le crescendo de la curiosité Gustave Flaubert (1821 - 1880) a marqué le XIXe siècle par son regard lucide sur le comportement des gens et de la société. Dans cet

de nos recherches un livre a attiré notre attention : « Jusqu’où le niveau de l’eau va-t-il monter ? » de Roland Paskoff. C’est en le lisant que nous nous sommes rendus compte de l’importance de cette montée des eaux si peu connue. C’est donc par curiosité, mais aussi pour l’amour de l’océan que nous avons décidé d’étudier ce sujet. Le choix du type de production s’est fait collectivement. Nous avons décidé de rendre notre TPE sous la forme d’un livret. Cela nous semblait plus clair et plus plaisant

projeter dans un monde de privations et d’isolement, il tente de se mettre à l’épreuve. L’artiste exploite les variantes de l’enfermement. II/UN THEME DE CURIOSITE a/ ENFERMEMENTPHYSIQUE La prison est l’objet même de l’enfermement physique et reste un lieu de fascination puisqu’elle est méconnue de la majorité de la population. Cette curiosité est due à des craintes et des idées reçues sur ce qui s'y passe et sur ce qui ne s'y passe pas. L’artiste va s’appuyer sur la prison pour promouvoir la

auparavant. C’est une étrange rencontre que fait ici Nicolas Poussin qui, tout jeune homme, n’est pas encore un peintre reconnu. Dans l’escalier qui le mène chez Porbus, un célèbre peintre de cour, il aperçoit un vieillard mystérieux qu’il observe avec curiosité. Balzac présente au lecteur ce curieux personnage à travers un double regard : le sien propre t celui de Nicolas Poussin. Ce portrait permet de voir à l’œuvre le réalisme balzacien qui, tout en partant du réel, cherche à le dépasser et peut prendre

aventures est son insatiable curiosité : il a appris une autre langue (I, 1), seul ; il écoute les conversations sur la route (I, 2), avide de nouveauté (I, 2), il désire tout savoir (I, 2). Son attitude face au récit d'Aristomène "je crois qu'il n'y a rien d'impossible (I, 20), puis face à la mise en garde de Byrrhène à l'encontre de Pamphile et de ses maléfices (II, 5), loin de l'effrayer, ne font qu'attiser sa curiosité (II, 6). La magie, plus particulièrement

», elle est intéressée, le stratagème de Dubois fonctionne, elle montre de l’intérêt, pique sa curiosité, elle jour l’indifférence ne veut pas se l’avouer, flatteur pour elle - « Très piquante », portrait de la jeune femme mélioratif, très belle femme - « Et », conjonction de coordination, valeur d’opposition - « Il refuse tout », met ne avant