Cybèle

grâce à l’utilisation d’une majuscule comme dans la mort (XIX): « La Mort nous tient souvent par des liens subtiles ». Il fait également référence à certaines femmes de la littérature et de la Mythologie grecque: Eurydice, Echo, Circé, Diane, Vénus, Cybèle, Lady Macbeth. Et également nombre de ses poèmes font référence à trois femmes (Jeanne Duval, Apollonie Sabatier et Marie Daubrun), ses trois muses et amantes qu’il a eues tout au long de sa vie de poète et qui l’ont inspirés. Il y a donc trois

les Mois (termes et jeunes hommes), leurs productions (bas reliefs d'or et festons de fruits et de fleurs) et les animaux attribués aux dieux qui président sur chaque mois, enfin la terre et l'eau avec les peintures des triomphes de Neptune et de Cybèle. Pour finir, il évoque deux figures en stuc posées devant les Triomphes, à savoir Hippocrène et Calliope (à chaque extrémité - diapo). Ainsi, Nivelon montre bien la cohérence du décor cependant il faut garder en tête que, même si son discours nous

l’abstrait). © Hatier, Méthodes & Pratiques, Français 2de / 1re, 2011 – Photocopies autorisées Chapitre 20 Étudier l’humanisme pendant la Renaissance COUPS DE POUCE Livre de l’élève, pp. 164-165 * 1. Repérer les références à l’Antiquité a. Cybèle était la déesse-mère de tous les dieux, adorée sur le mont Bérécynthe en Phrygie (Asie mineure), que l'on représentait souvent avec une couronne en forme de muraille fortifiée et assise sur un char traîné par des lions. C'est aussi la déesse de la

à l’abstrait). © Hatier, Méthodes & Pratiques, Français 2de / 1re, 2011 – Photocopies autorisées Chapitre 20 Étudier l’humanisme pendant la Renaissance COUPS DE POUCE Livre de l’élève, pp. 164-165 * 1. Repérer les références à l’Antiquité a. Cybèle était la déesse-mère de tous les dieux, adorée sur le mont Bérécynthe en Phrygie (Asie mineure), que l'on représentait souvent avec une couronne en forme de muraille fortifiée et assise sur un char traîné par des lions. C'est aussi la déesse de la

de ces époques nues, Dont Phoebus se plaisait à dorer les statues. Alors l'homme et la femme en leur agilité Jouissaient sans mensonge et sans anxiété, Et, le ciel amoureux leur caressant l'échine, Exerçaient la santé de leur noble machine. Cybèle alors, fertile en produits généreux, Ne trouvait point ses fils un poids trop onéreux, Mais, louve au coeur gonflé de tendresses communes Abreuvait l'univers à ses tétines brunes. L'homme, élégant, robuste et fort, avait le droit D'être fier

serre et les émotions, de « odeur d'amour » qui fait le lien entre sens et désir, ou encore de «épanouissement » qui raccroche la végétation à la femme. Puis, la métaphore «noces puissantes de la terre », fait allusion aux rites païens qui honoraient Cybelle, et la citation « nef close » apporte une connotation chrétienne. Enfin, nous pouvons affirmer que le passage clé de cet extrait est «pareille à des ébauches de monstre » qui révèle la monstruosité de Renée qui ressent du désir pour son beau fils

s’en remet à un maître doué d’une âme (cf. « L’âme du vin »), car le vin, grâce à ses dons trompeurs devient comme un roi : c’est lui qui chante ses exploits en se servant du gosier des hommes ; ce n’est plus l’homme robuste de Cybèle, qui n’avait pas besoin du vin. Syntaxiquement = le vin est sujet des V « chanter » et « régner », alors que l’homme est CC de moyen du V « chanter » / ( vin supérieur à l’H) Musicalement = rime entre « ses exploits » et « vrais rois

doux les yeux et le teint éclatant ; Je trouve un plaisir de la même sorte A vous voir, beaux oliviers du printemps. La mer de sa fraiche et lente salive Imprégna le sol du rivage grec, Pour que votre fruit ambigu, l'olive, Contienne Vénus et Cybèle avec. Tout de votre adolescence chenue Me plaît, moi qui suis le soleil d'hiver, Et qui, comme vous, sur la rose nue, Penche un jeune front de cendres couvert. Jean Cocteau (1889-1963) L'Avis (1944) Recueil : Au rendez-vous Allemand La nuit

Louis XIV. Après cette description succincte, la grenade à une forte valeur symbolique, pleine de significations qui vont de la prospérité, de la fertilité et de la mort. Dans la Grèce antique il ne manque pas de références à la grenade. Ainsi, Cybèle déesse de la terre serait devenue enceinte en touchant un grenadier, Héra épouse fidèle à son mari et frère de Zeus, fut considérée comme la protectrice du mariage légitime et de fait représentée avec des pommes et des grenades. Au symbolisme de

demandant seulement que son nom fut mentionné dans les hymnes que chantaient les prêtres de Mars. Nous savons aujourd'hui que cette pierre était un météorite, un aérolithe, au même titre que la pierre noire tombée en Grèce et qu'on adorait sous le nom de Cybèle.