Cycle de Doha

primordiaux tout comme la production afin qu’une croissance économique est lieu. Figer les flux n’est pas une solution et adopter un plan protectionniste peut amener à long terme un fossé vers une économie croissante. Il faudrait se pencher sur le cycle de Doha, pour penser à une prochaine remontée. Cette ronde de négociations porte sur la libération du commerce international.

ELEMENTS DE REFLEXION SUR LE SUJET : « CROISSANCE INTERNE ET COMMERCE INTERNATIONAL » INTRODUCTION En novembre 2001 s’est ouvert un cycle de négociation internationale sous l’égide de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) : « le Cycle du développement » encore connu sous le nom de « Cycle de Doha ». L’objectif premier était d’assurer une meilleure insertion des Pays en Voie de Développement (PVD) dans les échanges internationaux, ceci pour tirer leur croissance. La participation des

est la réduction progressive des barrières protectionnistes pour favoriser la croissance mondiale sans nuire aux industries naissantes ou en difficultés. Après l’échec de la conférence de Seattle (1999), L'OMC a lancé un nouveau cycle de négociations (Conférence de Doha de 2001). I. Instruments protectionnistes On classe les instruments protectionnistes en deux grandes catégories : les droits de douane et les nouveaux instruments protectionnistes (ou instruments non-tarifaires). Cette dernière

justifier dès lors que les raisons dépassent ce principe de précaution. C'est l'idée de l'agriculture "durable", qui nécessite un respect par les producteurs d'un ensemble de conditions sociales et environnementales, relevant d'un choix politique. Le cycle de Doha a ainsi permis de niveler certaines pratiques à l'échelle internationale pour déréguler certains marchés. Cependant de nombreux pays, et pas seulement ceux qui composent l'Union Européenne, utilisent des barrières tarifaires ou non-tarifaires.

Master : Management Audit et contrôle Présenté par : ➢ JAOUAD El BATHA ➢ AHLAM ELFATMI ➢ CHAMSS DOHA ELHAISS ➢ YOUSSEF LAABAD ➢ LAMYAA ITQIQ ➢ ELBACHRAOUY DOHA ➢ OUISSAL FKIHI Encadré par : Mme. Safae Laamrani Elidrissi La méthode de répartition proportionnelle Sommaire : ❖ Introduction ❖ Définition ❖ Modalités ❖ Méthodologies o Cas de charge complémentaires o Cas de la mise en œuvre ❖ Estimation paramétrique o Le modèle COCOMO ❖ Etude de cas

Troisièmement, le G20 peut plaider pour l’augmentation des ressources de développement allouées à l’Afrique, notamment par le canal de ses banques de développement régionales. Enfin, le G20 peut apporter un appui ferme en faveur de la conclusion du Cycle de Doha pour le développement et de l’avancement du programme d’action sur l’Aide pour le commerce. 3.2 Quant aux banques multilatérales de développement (BMD), elles peuvent soutenir les gouvernements africains en matière de réformes et de renforcement

règles (exemple de la Chine qui depuis 2005 inonde les marchés avec son textile depuis qu’elle a finalement refusé d’appliquer les restrictions des accords multifibres existant depuis 30 ans). L’OMC est bloquée : avec l’échec des négociations du cycle de Doha lancé en 2001. En cause : [pic] Le protectionnisme agricole des UE (PAC) et USA… [pic] Le protectionnisme des pays émergents à l’entrée des produits venant des pays riches. (Donc : l’OMC est en crise : son principe du commerce libéré favorisant

précipitée qu’il convient de mettre en perspective avec l’évolution très progressive des pays riches. En l’absence de mécanismes d’accompagnement et de moyens financiers suffisants, ils pourront difficilement atteindre les objectifs du cycle de Doha, pourtant considéré comme le cycle du développement. L’exode rural est toujours un déchirement pour ceux dont le travail ne suffit plus à assurer la subsistance. Il constitue également un problème majeur dans les PED dans la mesure où il favorise l’émergence

promesses faites aux pays les plus pauvres de l’OMC n’ont été que paroles – les faits concrets doivent encore venir. En novembre 2001, la quatrième Conférence ministérielle de l’OMC qui s’est tenue à Doha (Qatar) a esquissé le cadre des efforts futurs et fixé au 1er janvier 2005 la fin du neuvième cycle de négociations commerciales. Les représentants du Nord ont imposé un marché libre plus vaste, en particulier dans les domaines de l’agriculture, des services, de l’approvisionnement public et ont lancé

a estimé Donald Kaberuka. M. Kaberuka a enfin appelé les donateurs à "tenir" leurs engagements en matière d'aide au développement, et notamment celui de doubler l'aide et d'en améliorer l'efficacité. Il a également réclamé la conclusion du cycle de Doha pour la libéralisation des échanges.