Cycle de Doha

commerciale * i) Du GATT à l’OMC * La principale de ces organisations est le GATT * = * General Agreement on Tariffs and Trade (1947) * devenu l’OMC * = * l’objectif est le développement des échanges. Actuellement = cycle de Doha débuté en 2001, il aurait dû s’achever fin 2004, mais bataille Nord-Sud à propos du commerce des produits agricoles et industriels Les pays signataires de ces accords s’engagent à respecter 4 principes au nom d’un code de bonne conduite

filière Coordonnateur : Mohammed CHIGUEUR Spécialité(s) : Economie et finance internationale Économiques Tél. : 06.62.30.00.38 Fax : 05.36.50.06.00 Grade : PES Département : Sciences E. Mail : chigueur2000@yahoo.com 1.3. Identification du Master Cycle : MASTER DE RECHERCHES Intitulé : Economie et finance internationales Domaine : Économie et Gestion Champ(s) disciplinaire(s) (par ordre d’importance relative) : Théories du commerce international, techniques du commerce international, organisation

commerciaux qui lui sont soumis. Son directeur général est depuis 2005 le français Pascal Lamy, et ce pour quatre ans. En vert, Etats membres de l’OMC Ses succès Le principal succès de l’organisation de ses dernières années est la déclaration de Doha, qui donne une dérogation aux sociétés nationales pour fabriquer des médicaments génériques contre des maladies telles que le SIDA ou le paludisme. Bien que critiquée pour sa difficulté de mise en œuvre, la déclaration a permis au Rwanda d’importer

différents cultures locales. La mondialisation contestée A) Une mondialisation sans pilote ? Les agences mondiales de l'ONU oeuvrent pour la libéralisation des échanges sans avoir de vision mondial globale. L'OMC est dans l'impasse du cycle de Doha. Le FMI voit son rôle de prêteur se réduire face à la chine et aux pays pétroliers. La régulation de la mondialisation est donc insuffisante et incertaine. En cas de conflit, il n'existe pas d'organisme susceptible d'arbitrer, sauf l'OMC pour

1947 à 1962. Mais aussi le « Kennedy Round » (1963-1967) qui est un cycle long et unique de négociation, va s'attaquer aux questions non-tarifaires et va mettre au point un code de conduite concernant le dumping qui désigne la pratique consistant, pour une entreprise ou pour un État, à vendre un produit déterminé moins cher à l'étranger que sur le marché intérieur. La période du « Tokyo Round » (1973-1979) qui lui aussi est un cycle long, va engager des négociations sur des domaines non-tarifaires

libre-échange nord-américain (ALENA). Il a aussi été ravivé en Europe par l’initiative du Marché unique européen et par la désintégration de l’Union soviétique. À l’époque, les perspectives d’une conclusion rapide et complète du Cycle d’Uruguay étaient très incertaines. L’existence possible d’un lien de causalité entre l’essor du régionalisme et la difficulté de conclure les négociations multilatérales ne pouvait être ignorée. C’est pourquoi le débat sur

obstacles au libre-échange, d'aider les gouvernements à régler leurs différends commerciaux et d'assister les exportateurs, les importateurs, et les producteurs de marchandises et de services dans leurs activités. Depuis 2001, le cycle de négociation mené par l'OMC est le Cycle de Doha. Bien que l'OMC ne soit pas une agence spécialisée de l'ONU, elle entretient des liens avec cette dernière. Le siège de l'OMC est au Centre William Rappard, à Genève. Le 26 mai 2005, le Français Pascal Lamy obtient le poste

spécialiser dans la production qui demande le facteur dont il dispose en abondance et à importer les produits utilisant le facteur de production qu’il possède en quantité moindre. 2) Le cycle du produit dans les échanges internationaux : La théorie de Vernon montre que tout produit suit un cycle de production. Si un pays n’a pas au départ les moyens de le fabriquer lui-même (pas de brevet), il l’importe. Il arrive un moment où le marché intérieur est saturé. Pour accroitre la demande

norme iso 2000, livre vert sur responsabilité des E,... cette conception large du dvt durable est reprise et confirmée en 2002 Johannesburg. l’OMC ne veut pas s’occuper du social mais veut essayer de rééquilibrer rapport N/S par commerce --> cycle de Doha consensus «mou» qui va amener une approche plus dure du dvt durable (altermondialisme). rapport Brundtland ne tranche pas nettement entre les deux conceptions largement opposées de la durabilité, que les économistes de l’environnement désigne

moyen des droits douanes sur les produits industriels Aujourd'hui les droits de douanes sont devenus très bas, de 3 à 4% en moyenne du prix de vente. B. Les limites à la gouvernance des échanges mondiaux 1. Exemple d'un cycle important Doha (2008) : Le programme de Doha Tableau les objectifs Domaine de négociation - AGRICULTURE : Réduire progressivement jusqu'à leur élimination les subventions aux exportations et diminuer les aides intérieures qui favorisent les producteurs nationaux.