Dahir berbère

retrouve a Meknès, a la sortie de l’autoroute on retrouve en grande route qui traverse des vastes terrains agricole, et de large vigne, les constructions des villages sur la route sont ancienne datent du colonialisme puisque cette région a connu le dahir berbère. 30 min après je prend un route étroite qui elle aussi est le fruit du coloniale, sur la route je remarque un bout de terrain ou se trouve du sel. Après 20 min j’arrive sur mon terrain d’observation qui se situe dans l’angle de deux routes perpendiculaires

donner aux pouvoirs publics un instrument de contrôle et de régulation des rapport sociaux … les zones dies de coutumes berbères. • Apres l’indépendance … ces règles on régressé avec …… d’un pays musulman + la suppression des tribunaux coutumiers. I : …. Du droit coutumier sous le régime de protectorat • Coutume présentée par les juristes fr comme un phénomène berbère. • Selon la région, les R appliquées par le tribunal coutumier, ou jmâa, étaient plus ou moins conformes à la charia

un droit principal, les autres droits réels immobiliers ne sont que des démembrements de celui-ci. Sur le plan théorique les droits réels immobiliers sont des droits qui coexistent, cela on peut le déduire par la simple lecture de l’article 8 du dahir 1915 relatif aux immeubles immatriculés. En revanche, sur le plan pratique seuls les droits reels immobiliers d’origine légale qui sont réglementés, car la loi a prévu les règles qui les régissent d’une manière précise. Par contre, les règles qui régissent

conséquence immédiate de ses obligations politiques. La situation des agents français au Maroc était en effet assez ambiguë. Le résident général Lyautey, aristocrate légitimiste, proconsul autoritaire aux conceptions roya(1) Et surtout à la sociologie « berbère » comme le fait remarquer avec justesse Ch.-A. Julien dans son Histoire de l'Afrique du Nord, II, p. 321. (2) Jacques Berque nous a confié un jour que Michaux-Bellaire était le seul ancêtre qu'il se reconnaissait. (3) A propos du rôle d'Eugène Etienne

système, privilégier les Européens, récupérer la communauté juive, mais également créer des distinctions entre l’élite locale et les catégories défavorisées, entre la ville et la campagne et au sein de celle-ci, établir une séparation entre arabe et berbère. Chacune de ces catégories sociales eut droit à une forme de scolarité particulière ; c’est dire la complexité de la politique scolaire suivie, dont l’évocation nous permettra de rendre compte des facteurs qui sont à l’origine des formes modernes

caractérisée par deux traits apparemment contradictoires. D'un côté, nombre d'auteurs insistent sur son «insularité» géographique - doublée d'une histoire originale due à la persistance à travers plusieurs millénaires de la culture et de la langue berbères - et sur la continuité d'une monarchie qui remonte au VIIIe siècle. D'un autre côté, le Maroc apparaît comme le point de rencontre des mondes africain, oriental et européen. Véritable creuset de civilisations, il a réagi avec son caractère à la formation

Présentation PowerPointBIOGRAPHIE D'AHMED SEFROUIIMANE AKAOUIHIBA SARRAFLA VIE D'AHMED SEFRIOUINé EN 1915 à Fès , est un écrivain marocain d'expression française , issu d'une famille d'origine berbère , il grandit dans la Médina de Fès      . Comme la majorité des enfants de son âge à l'époque . Le souvenir du fqih , et de ses méthodes particulièrement violentes à l'égard des enfants , est très présent dans son œuvre      . Il fréquente également l'école française , puis le collège de Fès Après de

les décrets pris par lui-même avec approbation de l’autorité administrative centrale • Administration indigène Pendant la période d’avant le protectorat, l’administration locale était dotée d’une organisation spéciale. Les tribus dites de coutume berbère, dont les djemaa ont été maintenues avec leurs attributions juridiques auxquelles les communautés israélites administrées par un comité mi-partie religieux, mi-partie laïque. Section3.Administration municipale Quant à l’administration municipale

monde. Dans ce cas, les docteurs de la loi musulmane, Ahl Al Hal oua Al Aqd, essayèrent de légiférer ... À l'époque, la législation territoriale et (ou) administrative makhzenienne, se référant à ces bases, se produisait sous forme essentiellement de dahir sultanien (décret royal) ayant comme objectifs la défense du trône et les intérêts de la communauté. Ce sont ces dahirs qui délimitèrent les territoires, désignèrent les représentants du Sultan commandeur des croyants. À la suite des grands changements

la presse avec le débarquement français en Chaouia, en 1907. Une année plus tard, naît le premier journal casablancais, « La vigie marocaine ». Une nouvelle ère de la presse s’ouvre avec le dahir du 27 avril 1914 qui vient annihiler toute velléité des Marocains de se défendre à travers la presse. Ce dahir se caractérise par une obligation de déclaration préalable de tout périodique naissant, et surtout une caution de 6000 francs (une fortune à l’époque) pour toute parution en arabe. Dans les