Dais

amour et votre fier dédain. Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. Pierre de Ronsard, Sonnets pour Hélène, 1587 A une Dame créole Au pays parfumé que le soleil caresse, J’ai connu, sous un dais d’arbres tout empourprés Et de palmiers d’où pleut sur les yeux la paresse, Une dame créole aux charmes ignorés. Son teint est pâle et chaud; la brune enchanteresse A dans le cou des airs noblement maniérés; Grande et svelte en marchant comme

- la « main de justice » symbolise l’autorité judiciaire du roi - le collier de l’ordre du saint Esprit (avec une colombe en son centre) est le symbole de la religion (roi de droit divin) - la couronne, symbole royal suprême. Le décor : - dais ou baldaquin brodé d’or de couleur pourpre, couleur de la puissance et de la richesse depuis l’Antiquité (Rome) - riche tapis - colonne sur un haut piédestal faisant référence à l’Antiquité La pose : Elle est très étudiée. - le roi porte son

modèle. Le fond comporte fréquemment des éléments d’architecture à l’Antique aux dimensions imposantes aptes à évoquer l’intérieur d’un palais. Le personnage central est généralement placé devant d’immenses tentures de velours drapé formant un dais et retombant jusqu’au sol. S’il est représenté à l’extérieur dans son environnement familier, il se tient le plus souvent sur une terrasse adossée à un parc planté d’arbres centenaires. Au contraire, s’il s’agit de représenter un prince menant ses

dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! A une dame créoleAu pays parfumé que le soleil caresse,J'ai connu, sous un dais d'arbres tout empourprésEt de palmiers d'où pleut sur les yeux la paresse,Une dame créole aux charmes ignorés.Son teint est pâle et chaud ; la brune enchanteresseA dans le cou des airs noblement maniérés ;Grande et svelte en marchant comme une chasseresse

savoir VER...voir CABER..contenir HABER,,avoir (aux) Doy Voy Soy Estoy Sé Veo Quepo He Das Vas Eres Estás Sabes Ves Cabes Has Da Va Es Está Sabe Ve Cabe Ha Damos Vamos Somos Estamos Sabemos Vemos Cabemos Hemos Dais Vais Sois Estáis Sabéis Veis Cabéis Habéis Dan Van Son Están Saben Ven Caben Han Les irréguliers en Go Attention leurs composés ont la même irrégularité  ex Provenir = provengo PONER ..Mettre VALER...valoir SALIR...sortir VENIR

pour le glaive. Sa présence rappelle le rôle du roi-arbitre, celui qui dirige. - Le trône : il symbolise le pouvoir. - L'estrade : le trône se retrouve ainsi rehaussé. Le roi est mis en scène comme une danseur ou acteur sur son estrade. - Le dais ( tissus qui sert à couvrir le trône ) : Sa présence limite l'espace du roi: - avec l'espace sacré au dessus de lui. - lui sert de cadre et le met en valeur. des couleurs vives sont présentes : - Le bleu : dès le XIème siècle, le

divertir les hôtes, et contribue à renforcer les histoires qui circulent déjà. Le « pain », le « vin » et la « viande » sont caractéristiques des Hommes, comme le lait est caractéristique du cyclope et l’ambroisie des Dieux. Banquet Homérique (Dais) : rituel d’hospitalité consacré à rassasier les autres qui te clôturait par un chant de l’aède. A travers les figures de l’aède dans l’Iliade et l’Odyssée, on peut reconstituer les conditions dans lesquelles étaient énoncés les chants de l’aède.

curieux spectacle. Allons donc, chien ! rends des honneurs au chien qui pourrit sur la borne ! Allons donc, société ! rends donc des honneurs au riche qui passe dans un corbillard ; les chevaux, tout couverts d'argent, font étinceler le pavé ; les dais, reluisants d'or et de pierreries, sont magnifiques ; on fait des discours sur les vertus du défunt ; il était libéral sans doute, et magnifique ; les pauvres ont deux sous, un pain et un cierge ; il dépensait splendidement son argent. Allons donc

que l’on va torturer, mais qui a à peine une apparence humaine ; enfin Badinter nous fait entrer dans une cours d’assise, avec « douze hommes et femmes », pendant « deux jours d’audience », et il nous fait assister à une exécution « à l’aube, sous le dais noir  dans [une] prison française ». Ce procédé rhétorique a pour but l’évocation pathétique et réaliste de la condition des hommes. Ainsi, les quatre textes du corpus évoquent l’engagement des hommes dans le combat pour leurs droits : ils

qu’il foule ; Courbe son front pensif sur l’empire qui croule ! ; Ce pays qui fut pourpre ; ce siècle funeste ;ce grand peuple espagnol ;qui s’est couché dans l’ombre ; triste comme un lion ; Charles Quint, dans ces temps d’opprobre et de terreur ; Que dais tu dans ta tombe, o puissant empereur ? ; ce royaume effrayant, fait d’un amas d’empire ; Car l’Espagne se meurt, car l’Espagne s’éteint ; Ton globe, qui brillait dans ta droite profonde, soleil éblouissant qui faisait croire au monde ; que le jour