Damnation

philosophie : si dieu n’existe pas tout est permis. Dieu a toujours été considéré comme une instance suprême qui, par sa supériorité, inspirait la peur. Peur de la damnation, peur de la sanction toujours terrible dans la Bible si l’on pense aux sept plaies de l’Egypte. A l’inverse, l'absence d'une autorité suprême, une chose virtuelle, peut faire penser qu'il n'y a plus de règles et donc que  « tout est permis » puisqu’il n’y aura plus de sanction et donc plus de peur d’être puni. Cependant

adopta ces principes esthétiques comme une sorte de rempart qui l’ont protégée des difficultés de l’existence. En « badinant » sur la mort des autres et sur la sienne elle prend de la distance par rapport à un sujet que tout son siècle craint : la damnation. En cherchant « toujours à ne [se] point ennuyer », elle s’oppose en tout point à ce queBlaise Pascal préconise dans ses Pensées ; à savoir que le divertissement détourne l’homme de sa propre condition misérable et l’empêche de regarder vers Dieu

la promesse. • Il est accompagné d’un valet • La séduction est pour Don Juan moins un plaisir qu’une forme de révolte contre l’ordre social et/ou une loi/Je ne voudrais ni Dieu, père, maître, ni roi » Villiers, 1659). • Don Juan fait face à la damnation et meurt sans se repentir. • Il est toujours envisagé/présenté par ses auteurs de manière ambivalente, comme une sorte de monstre, en même temps qu’un personnage positif, d'où une certaine fascination. Les différents auteurs jouent sur la présence

scène 2 discours de Sganarelle « Monsieur, cette dernière-ci m’emporte(…) vous serez damné à tous les diables » J’ai choisi ce passage là car Sganarelle a de l’indignation qui le pousse à contredire son maître pour l’avertir de l’imminence de sa damnation, et son discours se transforme en une sorte de coq-à-l’âne qui est comique, il ma fait rire. ➢ Formulation d’un morceau choisi : Cette œuvre m’a plut car c’est une pièce de théâtre assez comique, il y a eu des passages qui m’ont fait rire

| |Jouvet (1947, Théâtre de l'Athénée, Paris) : Jouvet en Don Juan est un hidalgo inaccessible, cynique, impénétrable, solitaire et glacé, | |dénué de toute sensualité, défiant le destin : "C'est de salut et de damnation dont il est question dans le Dom Juan de Molière" dit-il.| | | |Sganarelle est écrasé par la stature de Don Juan

des épidémies, il persiste ce sentiment d’un temps qui est compté et où la mort peut être présente à chaque instant. Selon la croyance chrétienne, l’Homme est l’héritier de la faute d’Adam. Cette corruption le destine à une vie de misère et à la damnation éternelle. Pour faire pardonner ses péchés, le fidèle a besoin de protecteurs. Des cultes sont rendus au Christ, à la vierge Marie, aux saints… Tant de porteurs d’une vertu tutélaire auxquels peuvent s’adresser les fidèles ordinaires. Mais vouer

impossible entre différents personnages. Littérature dédiée à la patrie française. - Plaidoyer socialement: appel à l'humanité. Dénonce l'indifférence et un système répressif sans pitié. "Tant qu'il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale [...], tant qu'il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles". b- Le réalisme (1842) --> Le rouge et le noir, Stendhal - Étude sociale, politique, historique: Stendhal

interaction. Gide met en place un ensemble cosmologique bataille entre le bien et le mal dans l'espace rapporté entre Edouard et Passavant. Leurs domaines respectifs d'influence tracer les paramètres d'une épopée miniature du salut ou de la damnation de la jeunesse française. (Note 2) Passavant, et le cercle de ses démons, constituent l'ombre contre laquelle Edouard brille et contre qui triomphe Edouard bonté calme. Gide n'est pas sans ambiguïté dans son opposition d'Edouard et de Passavant qu'il

extraordinaires de la puissance divine, le crédule Sganarelle apparaît d’abord confirmé dans sa superstition (l. 5, 9, 14) puis tout à coup guéri : son commentaire final, même s’il commence par le Ciel l’énumération des « plaignants » satisfaits par la damnation de Dom Juan, ramène surtout le spectateur dans la sphère humaine, sociale de l’action. En faisant valoir l’harmonie familiale et le respect des lois, Sganarelle ajoute au dénouement tragique une moralité digne d’une comédie de mœurs, avec un refrain

| |Recherche sur les Misérables de Victor Hugo | 1- « Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme