Dan Flavin

 Présentation Dan Flavin, précurseur de l’art optique et cinétique 1) Carte d’identité Le travail lumineux de Dan Flavin A partir de 1963 Support : installations à base de tubes de néons fluorescents industriels, choix de couleurs limité, disposition dans l’espace, installations in situ, création d’un environnement lumineux, rapport à l’architecture, la perception optique Courant artistique : œuvre en 3D, minimalisme, « art minimal » selon Judd dans « specific objects » 2) Description

perso.neuf.fr//agam.htm Dan Flavin (1933-1996) Une œuvre de Dan Flavin est définie dans un premier temps, par la disposition de tubes de lumière fluorescente puis c’est l’extension lumineuse qui a déterminé sa structure, son épaisseur, son volume Comme le dit Donald Judd, Flavin crée « des états visuels particuliers », des perceptions singulières qui rassemblent, dans la fragilité de la lumière, couleur, structure et espace. En envahissant l’espace, la lumière de Flavin le transforme et le dématérialise

de la Maison de champagne pommery à reims). cathédrale de chaises, 2007, reims carton Workshop, 2010, centre pompidou paris Gandamaison, 2008, École nationale supérieure d’architecture de versailles 3 dan graham http://mariangoodman.com/mg/artists/graham/pr_fr.html dan Graham réalise des œuvres conceptuelles, mêlant le cinéma, la vidéo, la performance, l’architecture, le verre, les miroirs. il s’est également attaché à créer des installations ou "dispositifs" critiquant les catégories

perdent leur statut d'art. Les oeuvres de Dan Flavin, un autre artiste de cette tendance, sont définies dans un premier temps par l'agencement de tubes de néon puis leur structure et leur volume sont déterminés par l'extension lumineuse qui en résulte; en ce sens, la dimension de l'oeuvre est réglée par l'architecture (murs, plafond, sol) qui la délimite. En envahissant l'espace, la lumière colorée de Dan Flavin le transforme et crée un bain lumineux qui abolit les frontières

qu’à la peinture ». Carl Andre, Preface to Stripe Painting, 1959. Exposition Primary Structures : Younger American and British Sculptors, New York, 1966. Artistes US : Dan Flavin, Sol LeWitt, Donald Judd, Robert Morris, Carl Andre. Carl Andre, Herm, 1960. Robert Morris, Column, 1961. Tony Smith, Die, 1962. Dan Flavin, The Diagonale of May 25, 1963. Sol LeWitt, Suite 789 en trois parties, 1968. A droite : Donald, Judd, Stark, 1965. Sol LeWitt, Wall Structure, Black, huile sur

même jouant avec une tête de mort ce qui se rapproche vraiment d'une vanité ! D'une opposition entre le début de la vie et la fin ? Grâce à un remarquable travail sur la lumière et le son, Claude Lévêque (ci contre) joue avec nos sens comme Dan Flavin (ci dessus) pour nous donner à voir le décor et son envers le plus sombre Si la scénographie de l'exposition Peintures à histoires fonctionne, c'est parce qu'elle permet au regard de rebondir d'une œuvre à l'autre, d'un artiste à l'autre. En

minimalisme entre dans le monde artistique. C’est une évolution du Modernisme (courant artistique qui cherche à mettre en avant la forme, la fonction et l’exploration des techniques) et du Bahaus (école d’architecture et d’arts appliqués).Kenneth Noland, Dan Flavin, Donald Judd, Tony Smith et Frank Stella sont les premiers artistes à réaliser des œuvres minimalistes. Des expositions à la Green Galery de Manhattan en 1963 fait connaitre entre autres le minimalisme au public. La Green Galery était une galerie

« Duchamp, 1917 Christo et Jeanne-Claude, 1995 Nam June Paik, 1989 » L'installation est un genre de l'art contemporain qui désigne une œuvre combinant différents médias en vue de modifier l'expérience que peut faire le spectateur d'un espace singulier. C'est est une discipline artistique inépuisable, souvent de très grandes dimensions, parfois spirituelle et subversive, en général éphémère. C'est une forme d'art en perpétuelle évolution. L'installation constitue sans aucun

considèrent pas vraiment comme un artiste minimaliste à part entière. II/ Des artistes minimalistes en apparence. Il existe en peinture des positions tout à fait proches de l’Art minimal mais ne sont pas associés à Carl André, Donald Judd, Flavin, LeWitt et Morris même s’ils sont souvent admis dans le cercle des minimalistes, c'est le cas par exemple de Brice Marden, Robert Ryman, Agnès Martin ou encore Jo Baer. * BRICE MARDEN, il peint des tableaux monochromes dans les années 60 avant

s'y enfermer, comme Oxia ou Agoria. Il n’y a pas qu’en musique que nous pouvons trouver des minimalistes. Ce terme existe aussi pour les arts plastiques. Le terme d'art minimal regroupe des artistes (Robert Morris, Carl Andre, Donald Judd, Dan Flavin, Sol LeWitt...) qui, à la suite de Constantin Brancusi, poursuivent et illustrent la formule : "Less is more" de l'architecte Mies van der Rohe. Le choix des volumes géométriques simples se justifie par le fait qu'ils sont appréhendés immédiatement