Vœu d'obéissance

Obéir, est-ce renoncer à sa liberté ? La liberté est chérie des poètes, qui écrivent son nom sur des pages tremblantes, des sculpteurs, qui l'érigent illuminant le monde, des peintres, qui la dessinent guidant le peuple. Chez les philosophes aussi, elle a de nombreuses émules qui cherchent à libérer l'homme de ses chaînes, notamment de celles de l'ignorance. Mais comment concilier l'idée de liberté et la nécessité d'obéir ? Car toute notre vie, nous devons faire face à des contraintes, à des ordres

L'Homme ne vit pas seul dans la société. Ses relations avec l'autrui nécessitent un certain nombre de comportements et d'obligations. Mais, comment peut-il être le citoyen parfait? Est-ce qu'en obéissant aux ordres? Ou plutôt en résistant à ces derniers? Et quelle est la relation entre l'obéissance et la résistance? L'Homme maintient des relations avec les autres, ces relations rendent la société un ensemble très complexe. Qu'il faut gérer, organiser et guider. Pour ce, il existe des lois. L'Homme

servitude. La liberté ne serait-elle pas une forme d’obéissance ? Par conséquent l’obéissance ne semble pas entièrement compatible avec la liberté mais nous allons tenter de démontrer le contraire. On peut opposer l’obéissance avec le refus, la servitude. De même pour la liberté qui peut s’opposer à la contrainte. Alors serait-il possible qu’une société puisse accorder l’obéissance avec la liberté ? A contrario, n’existe-t-il pas de formes marginales d’obéissance qui puissent pousser les individus à ne plus

2. Pouvoir et obéissance : pourquoi acceptons nous d’obéir ? Ici il est question du « pouvoir sur », exercé sur les autres alors que le « pouvoir de » est exercé sur les choses. L’obéissance semble restrictive de ma liberté puisqu’obéir, c’est toujours se soumettre et en particulier à la volonté des autres. Alors pourquoi acceptons-nous d’obéir ? « Obéir » c’est se soumettre à la volonté d’un autre qui exerce sur nous un pouvoir ie une relation entre deux individus tel que l’un dirige la conduite

liberté 2- la vertu naturelle 3- la relation à l'autre 4- le plaisir du divertissement : 2e § 5- le savoir III- Une société idéale 1- La critique en creux de l'ordre religieux a- la liberté contre le vœu d'obéissance b- la communauté des sexes contre le vœu de chasteté c- la richesse contre le vœu de pauvreté 2- Un ordre moral et social idéal a- rhétorique de l'utopie caractéristique du projet de Rabelais b- le rêve d'une religion proche de la nature humaine et de ses réalités c- un rêve "démocratique"

de Victime et de Vilain par les Vicissitudes de la Vie. Ce Visage, plus qu’un Vil Vernis de Vanité est un Vestige de la Vox populi aujourd’hui Vacante, éVanouie. Cependant cette Vaillante Visite d’une Vexation passée se retrouve ViVifiée et a fait Voeu de Vaincre cette Vénale et Virulente Vermine Vantant le Vice et Versant dans la Vicieusement Violente et Vorace Violation de la Volition ! Un seul Verdict : la Vengeance. Une Vendetta telle une offrande VotiVe mais pas en Vain. Car sa Valeur et sa

construction du château. C’est ce qu’a reproduit ici Rabelais, à travers la fiction. En outre, l’abbaye montre la volonté d’un renversement des trois vertus monastiques (chap L, p ) : La richesse matérielle s’oppose au vœu de pauvreté ; l’entente entre hommes et femmes relègue le vœu de chasteté au rang d’inutilité ; la liberté est totale, puisque tout est fait dans la mesure. Pour Rabelais, les vrais chrétiens sont donc ceux qui n’obéissent pas à d’innombrables règles hypocrites, mais qui prétendent

locaux. Vœux prononcé : Chaque religieux prononce trois vœux qui sont autant d’engagements à vivre quotidiennement : le vœu d’obéissance, le vœu de pauvreté, le vœu de chasteté.« La Règle et la vie des frères mineurs est celle-ci : observer le saint Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ,vivant en obéissance, sans rien en propre et en chasteté ». Le vœu d’obéissanceL’obéissance est fondamentalement accordée à ce que l’homme est en vérité. Elle est une manière de vivre au monde une

contentement. En vain. "Mais quand on vit qu'il était inutile de le solliciter, on prit le parti de s'en passer. "C'est donc sous la contrainte, au cours d'une cérémonie clandestine et dans un état de semi-conscience que Suzanne fait vœu de pauvreté, de chasteté et d'obéissance, au couvent de Longchamp. COMMENTAIRE DE L'OEUVRE : Le naturel franc et intègre de cette jeune religieuse sans vocation lui vaut très vite l'aversion de sa supérieure. Conduite par celle-ci, toute la communauté

par la parole et par l'exemple. St. Dominique fonde en 1216 L’Ordre des Prêcheurs. Cet ordre fut créer dans le but de prêcher et de convertir les hérétiques. Les dominicains sont des religieux qui font vœu de pauvreté, de chasteté et d’obéissance mais contrairement aux moines, ils ne font pas vœu de stabilité. Ils ne vivent pas dans des monastères mais dans couvents qui se trouvent dans des villes plutôt importantes. Afin de se consacres totalement leur tâches, les dominicains sont contraint à certaines