Danaides

que Socrate plaide en faveur d’une vie réglée et ordonnée en vue d’obtenir un certain bonheur, Calliclès fait l’éloge du désir, du dérèglement et de la liberté. Face à cette exaltation du désir sans limite, Socrate convoque l’image du tonneau des Danaïdes pour illustrer la thèse de son adversaire : alors que l’homme réglé trouve un terme à son désir, et donc une satisfaction, l’homme obsédé par le désir est semblable à un homme remplissant sans fin un tonneau percé. « Comme ses récipients sont percés

toujours exigeante, sous quelque forme qu'elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience : or sans repos le véritable bonheur est impossible.Ainsi le sujet du vouloir ressemble a ixion attaché sur une roue qui ne cesse de tourner,aux Danaides qui puisent toujours pour emplir leur tonneau , à Tantale éternellement altéré." En ce qui est des pistes à explorer j'ai toujours du mal,et je n'arrive pas a constituer un plan qui puisse parler de tout le texte.je n'arrive pas vraiment a comprendre

Le désir est il la marque de la misère de l’homme ? Le désir souvent se comprend suivant l’image du tonneau des Danaïdes, c’est-à-dire comme un manque inassouvible. Cet inassouvissement du désir a souvent valu au désir les plus vives critiques de l’opinion commune. Et en effet, ces critiques notamment se sont faites au nom de la misère dans laquelle il plongeait l’homme. Le désir serait ici, la marque de la misère de l’homme. Cependant, le désir possède de très nombreux emplois qui lui donnent

l'expression « réaliser tous ses désirs ». Réaliser tous ses désirs serait les satisfaire sans exception, sans relâche, au fur et à mesure qu'ils apparaissent. Mais n’est ce pas un processus sans fin ? Platon compare le désir au tonneau des Danaïdes (Danaïdes condamnées à remplir des tonneaux troués) Cette allusion montre à quel point réaliser tout ses désirs relèvent de l’impossible. De la même façon que le tonneau ne sera jamais rempli, le désir n'est jamais satisfait. Tout juste réalisé, il renaît

Aller de Charybde en Scylla - Jouer les Cassandre - Ouvrir la boite de Pandore - Des paroles sibyllines - Une odyssée - Etre tel le phénix - Un dédale - Un chaos - Un supplice de tantale - Le tonneau des danaïdes

il semble qu’autrui ne soit que l’occasion, pour mon désir, de se déployer. Le désir, alors, précéderait mon objet de désir et le dépasserait toujours. C’est finalement ce qu’illustre Platon en comparant, dans le Gorgias, le désir au tonneau des Danaïdes, ce tonneau percé qui se vide à mesure qu’on le remplit. C’est que le désir est par nature insatiable : plus je le satisfais, plus il me réclame de nouveaux objets. L’autre n’est que l’occasion, pour lui, de se déployer, et une fois l’objet possédé

Schopenhauer Spinoza et/ou Nietzsche. Les références pertinentes : Pour aller dans le sens de Schopenhauer, il faut une bonne connaissance de la théorie de Schopenhauer, quoiqu’on en dise. D’autre part, les références utiles sont Platon (tonneau des Danaïdes, désir comme manque), Freud (le plaisir n’est que par contraste), et « Malheur à celui qui n’a plus rien à désirer » de Rousseau. Pour le sens critique : Spinoza et le désir comme puissance. Le plan : De manière générale, l'explication

L'homme est condamné à toujours en vouloir plus sans jamais atteindre le bout du tunnel, il est impossible d'atteindre le désir. Il fait donc partis d'un sentiment infini en l'homme. Platon compare le désir au Tonneau des Danaïdes, en effet, selon la mythologie, les Danaïdes ont étés condamnés à verser de l'eau dans un tonneau percer jusqu'à temps qu'il soit remplis. Or ceci est impossible, puisque le tonneau est percé, l'eau s'en va. Donc le tonneau ne sera jamais rempli tel que le désir ne sera

superflu Réaliste Imaginaire Limité Illimité (demesure en grec : l’hybris (ubrisse) Insatiable, le désir est renforcé dans sa propre satisfaction. Plus on le satisfait plus il renait. Don juan incarne l’hybris, la démesure. Platon tonneau des Danaïdes (tonneau percé, à la fois toujours pleins et toujours vide, et impossibe à remplir. Le désir : relation entre désir et temps : le désir est ouverture de la conscience à la dimension du temps. Car désirer c’est se projeter dans l’avenir. Si l’animal

Le désir souvent se comprend suivant l’image du tonneau des Danaïdes, c’est-à-dire comme un manque inassouvible. Cet inassouvissement du désir a souvent valu au désir les plus vives critiques notamment du point de vue de la condition humaine. Et en effet, ces critiques notamment se sont faites au nom de la misère dans laquelle il plongeait l’homme. Le désir serait ici, le signe (la marque) de la misère de l’homme. Cependant, le désir exprime un rapport au manque, mais aussi une création authentique